Je suis un photographe de nature lorrain (près de Metz). Après de nombreux festivals (Namur, Camargue, Suisse, St Jean de Losnes, Barr, Montbrun etc… où j’ai présenté une exposition sur les flamants de Camargue, puis les 3 dernières années, le triptyque assez militant « Histoires d’ oeil, rencontres en chemins » mettant en lumières le monde animalier, puis ensuite l’arbre et enfin l’eau, trois éléments naturels très maltraités en France, j’ai voulu voir ce qu’il en était dans ces contrées scandinaves aux paysages majestueux, oniriques et troublants. 2 mois à vadrouiller, observer, 90 % de bivouacs isolés, sans nuit, 35 randonnées au milieu d’une nature sauvage où les ciels et l’eau des fjords se marient à merveille, surtout par des temps chargés. Des images oniriques et troublantes plein les yeux, plein la tête. J’en partage une quinzaine parmi tant d’autres.
2 mois aussi pour confirmer que les hommes, peu nombreux, semblent tout petits à côté d’un environnement naturel dominant, grandiose et rude. Ils savent qu’ils en font partie et sont discrets, humbles, respectueux, émerveillés et protecteurs.
Pour que chaque visiteur baigne encore plus dans ce ressenti, cette ambiance, un diaporama de 15 mn sonorisé avec des musiques traditionnelles scandinaves est projeté sur le stand « Balade scandinave entre ciels et eaux de vies ».
Benoit Colomb
J’ai découvert la photographie en 2004 lorsque je me suis acheté mon premier bridge. J’ai toujours été attiré par l’image et cela depuis mon enfance. Plus jeune, j’ai beaucoup dessiné, j’aime pouvoir retranscrire ce que je vois. Aujourd’hui, mon Reflex numérique a remplacé mes pastels et mes crayons. Ce qui me plait dans la photographie c’est qu’elle offre une multitudes de facettes. J’en ai découvert plusieurs, comme la macro, la photo de sport, le portrait… Mais depuis 3 ans, c’est véritablement la photo de paysage qui m’attire.
En vivant en Lozère, mes sources d’inspirations sont inépuisables et mon regard sur la nature est rempli d’admiration.
Ces paysages me procurent des moments d’émotions que je tente de retranscrire à travers mes images. Je suis particulièrement sensible aux ambiances nuageuses et tourmentées. Les paysages prennent alors une toute autre dimension lorsqu’une lumière furtive s’invite. Être au cœur d’un orage est quelque chose de très palpitant et de fascinant. Ces phénomènes naturels sont d’une rare puissance, j’aime ce sentiment d’humilité. J’affectionne également les ambiances nocturnes. La nuit, ma vue est réduite et tous mes autres sens se décuplent, les sensations sont grisantes.
A travers mes images, je souhaite vous transmettre mes émotions et vous sensibiliser sur la fragilité de la nature.
Afin que les générations futures puissent encore profiter de ces paysages, il est indispensable de la préserver.
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Cette exposition est le fruit de nombreuses errances hivernales à travers l’Aubrac, le Mont-Lozère, la Margeride, le Mont-Aigoual et le Causse Méjean.
Le blanc pur de la neige se teinte parfois d’une multitude de couleurs en fonction de la lumière.
Le fil conducteur de mon exposition m’est alors apparu comme une évidence. L’hiver est pour moi une saison incroyable car je redécouvre les paysages différemment. Lorsque la nature est emmitouflée sous son épais manteau de neige, j’admire ces décors féeriques dans un silence étourdissant, le moindre son est étouffé par la neige.
Mais parfois cet environnement prend une autre allure, car lorsque rugit la burle, les paysages si calmes peuvent devenir très hostiles comme si la nature vous mettait à l’épreuve. Les températures frôlent les -20° et le vent dépasse allègrement les 140km/h.
Léa Collober
Je m’appelle Léa Collober, je suis photographe naturaliste et cinéaste / vidéaste animalier.
J’ai 23 ans et je fais une école de documentaire animalier : l’Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute. Depuis toute petite j’ai eu la chance d’être sensibilisée à la nature par mon papa qui est naturaliste.
Depuis maintenant 4 ans j’ai le désir de partager ma passion, mes informations scientifiques et naturalistes sur les réseaux sociaux et à travers le documentaire animalier. J’ai commencé à créer des vidéos Youtube sur ma chaîne : « Enjoy nature with me » j’y parle de la faune locale et les méthodes pour l’observer.
Sensibiliser à la faune est devenu ma priorité, je veux faire connaître cette biodiversité pour mieux protéger les espèces locales qui disparaissent silencieusement sous nos yeux.
Les oiseaux, les insectes et araignées m’intéressent tout particulièrement, notamment les araignées sauteuses ou saltiques que j’étudie depuis 5 ans et sur lesquelles je réalise un prochain documentaire
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UN HIVER DE BARGE (18′)
En dix ans la population mondiale de la barge à queue noire a chuté de quarante pour cent. En cause la disparition des zones humides. L’hiver la Baie de l’Aiguillon et le marais poitevin accueillent 5000 barges. Plongez avec elles dans ces endroits encore protégés et passons ensemble : un hiver de barge !
Guillaume Collombet
Passionné de montagne et de vie sauvage, la quête d’images est devenue une passion à part entière. Aujourd’hui photographe animalier pro et réalisateur, j’aime partager cette passion autour d’échanges avec le public.
Ambassadeur du mouvement international « BePartOfTheMountain », j’essaye d’apporter des connaissances aux usagers de la montagne pour concilier leurs activités avec la survie de la faune alpine. L’éthique est donc au cœur de ma pratique pour photographier en dérangeant le moins possible.
En quelques années, j’ai pu réaliser plusieurs films sur la nature, dont : « Instinct Animal », « Le Lièvre Blanc, histoire de photographe animalier », « Ibex dans les pas du bouquetin », et participer à différents tournages de documentaires.
Ces images à travers des expositions, des films et des concours, ont été présentées, nominées et primées dans plusieurs festivals.
Le livre « Neige », mon premier ouvrage, est l’aboutissement de nombreuses années de photographie dans les rudes conditions de l’hiver en altitude où les animaux tentent de survivre.
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Survivre à l’hiver : Dimanche au Casino à 16h00
1h de projection débat avec photographies et séquences vidéos sur la survie de la faune des Alpes en hiver
Sur les sommets des Alpes, la neige, la glace et le froid ont figé le paysage. Tout est blanc, tout semble vide. Cela a commencé dès l’automne : certains sont descendus en altitude, d’autres sont partis pour une longue migration, et certains se sont endormis sous terre… Mais là-haut, il y en a qui vont rester et faire face à l’hiver ! Du bouquetin au lièvre variable, du gypaète barbu au loup, la faune de montagne tente de survivre. Seront-ils capables d’affronter les conditions extrêmes ?
Neige
Le livre « Neige », mon premier ouvrage, est l’aboutissement de nombreuses années de photographie dans les rudes conditions de l’hiver en altitude où les animaux tentent de survivre.

Chavand lucas
Après plusieurs années passées chez les Compagnons du Tour de France, je décide de m’intéresser à la marqueterie. Car ce métier mélange la minutie, la patience et la passion pour le bois que j’ai depuis tout jeune.
J’ai eu l’idée de créer mes œuvres à partir d’une photo ce qui permet d’avoir des œuvres uniques à chaque fois. Je travaille chaque petite pièce de bois pour leur donner la forme voulue, l’ombrage est aussi très important car il donne la profondeur à l’animal. Pour ce qui est du format libre à vous de choisir. Incrusté dans un meuble, au sol ou bien au mur les possibilités sont larges.
Que ce soit de face, de profil, ou en action je dessinerai votre tableau au plus près de la réalité. J’immortaliserai votre photo coup de cœur.
Après avoir fait quelques petites expositions et dernièrement le salon Artisa à Grenoble, l’idée de participer à un festival animalier m’a de suite intéressé.
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Conservatoire d’Espaces Naturels
Au cœur des territoires, il recherche la mobilisation et l’implication volontaire de tous les acteurs : propriétaires, usagers, collectivités, associations… Dans un esprit d’ouverture et de dialogue, il fait émerger des projets allant dans le sens d’une meilleure prise en compte de la biodiversité, en complément des outils réglementaires.
Le Conservatoire d’espaces naturels Rhône-Alpes intervient directement dans cinq départements (Ain, Ardèche, Drôme, Loire et Rhône) et en coordination avec les cinq autres Conservatoires partenaires sur la nouvelle région Auvergne Rhône-Alpes : Allier, Isère, Savoie, Haute-Savoie et Auvergne.
Membres d’un réseau national réunissant 29 CEN, ces six associations bénéficient d’un agrément de l’État et de la Région, qui reconnaît ainsi leur rôle dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques liées aux espaces naturels.
Lien internet : https://www.cen-rhonealpes.fr/
Page Twitter : https://twitter.com/@CenRhoneAlpes/
Temps forts du CEN pour cette édition :
- Inauguration (vendredi matin);
- Conférence (film et débat) au Casino (le samedi à 18h00 film + débat).
- Projection d’un film au cinéma Novelty
- Sortie Nature.
Sortie nature durant le Festival Nature Ain d’Hauteville-Lompnes
Dimanche 19 septembre à 14h00 (durée : de 2h00) :
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- Le conservatoire d’espaces naturels vous fait découvrir la richesse du Marais de Vaux lors du festival, 15 places.
Centre ATHENAS
Le Centre Athénas est un Centre de sauvegarde de la faune sauvage qui, depuis 1987, recueille, soigne et réhabilite des spécimens de la faune sauvage européenne, pour les relâcher dans le milieu naturel. Créé en avril 1987, et implanté sur la commune de L’Étoile (39) dans le département du Jura, le Centre a recueilli depuis 30 années, plus de 25 000 animaux sauvages blessés.
C’est le seul Centre de France spécialisé dans l’accueil des félidés. En 30 ans, il a traité 40 lynx et plus de 200 chats forestiers. À travers les soins prodigués et les relâchés effectués, (45% du total, soit 75% des animaux traités), et par la sensibilisation du public à la protection de la faune sauvage et du milieu naturel en général, le Centre participe activement à la protection de la faune et au maintien de la biodiversité.
Depuis le Jura, il a un rayon d’action interrégional, couvrant 11 départements de Bourgogne Franche-Comté et Rhône Alpes (Jura, Doubs, Haute-Saône, Territoire de Belfort, Côte d’Or, Saône et Loire, Ain et Nord de la Haute Savoie, nord du Rhône, sud de la Haute-Marne et Est de la Nièvre).
Lien internet : http://www.athenas.fr/
Page Facebook : https://www.facebook.com/Centre.ATHENAS.animaux.sauvages/

Hippolyte Burkhart-Uhlen
Originaire de la vallée de Munster, dans le parc Naturel Régional des Ballons des Vosges, j’ai d’abord fait des études de cinéma de fiction (Ciné-Sup à Nantes, Licence en histoire du cinéma en Sorbonne à Paris, l’INSAS à Bruxelles) avant d’intégrer l’IFFCAM en 2018.
J’ai réalisé plusieurs courts-métrages de fiction, toujours en rapport avec la forêt et les paysages des Vosges qui m’ont vu grandir. J’ai également été chef-opérateur sur plusieurs projets de fiction, tournés essentiellement en lumière naturelle.
J’ai également réalisé plusieurs documentaires, en milieu paysan, auquel je suis profondément attaché.
Je suis très attaché à la montagne vosgienne, aux paysages qui y existent, mais aussi aux Hommes et aux êtres qui la traversent.
2014-16 : Crucifixion / Nativité (2×5 minutes.)
2016 : Les fleurs (10 minutes.)
2017 : Le Trou (10 minutes.) Sélections au Festival Coupé-Court de Bordeaux, au Festival du Film Court de Troyes
2018 : L’anniversaire (18 minutes.)
2019 : Jour de Colère (10 minutes.)

Julien Buissart
Né dans le nord de la France, j’ai très tôt été passionné par la nature, par l’observation de la faune que j’aimais dessiner une fois rentré chez moi.
Après avoir fait des études dans l’illustration, j’ai travaillé pendant sept ans en tant que guide nature au parc ornithologique du Marquenterre, en baie de Somme. Là j’ai pu y faire découvrir la richesse de la faune et le plaisir d’observer la vie des oiseaux, de les dessiner durant des ateliers de croquis naturalistes.
Parallèlement à cela, j’ai toujours été attiré par le travail du bois et sculpte depuis mes 20 ans. C’est tout naturellement que, m’inspirant de mes rencontres naturalistes et m’aidant de mes croquis et photos, je crée des sculptures, en essayant toujours de représenter une attitude, une scène de vie sauvage que j’ai pu observer.
C’est durant ces années que j’ai pu exposer pour la première fois, et continuer ensuite lors de différent festivals et salons dans le nord de la France comme le salon nature et terroir de la LPO Pas-de-Calais, ainsi qu’au festival de la Salamandre en Suisse en 2017 et 2019.
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Jessica Buczek
Née en 1993 dans le sud de la Loire, c’est déjà pour immortaliser les paysages de mon enfance que je me saisis d’un appareil photographique pour la première fois à l’âge de quatorze ans. Immergée alors dans la découverte d’une crise écologique, photographie et nature deviennent très rapidement indissociables pour moi. L’image, bien au-delà d’une fin, se fait moyen d’œuvrer à la sensibilisation du public pour la protection de l’environnement.
Profondément inspirée par le monde sauvage, ma photographie est avant-tout guidée par l’intuition, par le beau, par le cœur et par ce qui l’émeut. L’approche, presque picturale, se veut essentiellement sensible et sensuelle, guidée par l’émotion pour s’adresser directement au cœur. En donnant à voir au public ce qu’il ne côtoie plus, elle œuvre à faire éclore un intérêt nouveau à l’égard de cette part sauvage du monde.
Devenue photographe professionnelle à l’issue d’une formation en école de photographie, je mets aujourd’hui mes compétences à disposition de parcs nationaux, parcs régionaux et m’engage bénévolement auprès de diverses associations. À travers de nombreuses expositions, j’utilise la beauté des espaces de nature sauvage et la capacité d’émerveillement pour faire naître le désir de protection.
Récompensée en 2018 par la Bourse Iris – Terre Sauvage, remise par Vincent Munier à l’occasion du Festival International de la Photographie de Nature de Montier-en-Der, je poursuis mon travail photographique au travers de nouveaux projets qui toujours repensent les frontières entre l’homme et la nature.
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Joël Brunet
Photographe depuis 25 ans, Joël Brunet est en recherche perpétuelle de créativité et d’originalité, ses images sont une quête de la belle lumière et du cadrage parfait. Passionné et naturaliste avant tout, il essaye de montrer la nature sous ses aspects les plus artistiques afin de sensibiliser le public à sa nécessaire préservation.Il a donc créé le Festival Nature Ain à Hauteville Lompnes afin d’éveiller le public à son patrimoine naturel.
Joël Brunet a travaillé avec le Département de l’Ain en 2013 et 2014 pour la réalisation de deux films tournés intégralement dans le département : « Des Prédateurs et des Hommes » consacré au rôle des prédateurs des mulots dans les prairies du Bugey et « Grand Tétras et Gélinotte » qui présente le plan d’action du Département relatif à ces espèces. Il a également réalisé un film destiné au public du Marais de Lavours.
En 2017 il a réalisé un film de 52 mn sur le chat sauvage, grande première en France entièrement réalisé dans le Bugey.
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Bugey sauvage : « Un Monde sous nos Yeux »
Bientôt sous presse, sortie prévue cet automne 2020.

Jean-Philippe et Léopold Bouveret
Deux regards différents, une passion commune et une même volonté : partager la beauté de la nature nous entourant, elle pourtant si fragile et qui jour après jour disparait. Au travers de nos images nous espérons témoigner des instants furtifs et émouvants que peut nous offrir le monde sauvage. Suggérer sans forcément tout dévoiler. Chaque voyage est une occasion de se confronter à la grandeur des éléments, de s’immerger dans le vivant, et de se souvenir que nous appartenons à ce monde naturel.
Des projets fous, des rencontres exceptionnelles, des ambiances rêvées, nous en avons plein la tête. La plupart ne se réaliseront peut-être pas, mais qu’importe, l’essentiel réside dans la démarche de cette longue quête.
Plumes et visages présente ici le travail de plusieurs printemps passés auprès des colonies d’oiseaux marins sur les côtes Ecossaises. Fascinés par la beauté de leur plumage et par leur agilité à braver les éléments, nous avons alternativement travaillé en portrait serré et en plan large.