Les oiseaux me passionnent depuis mon enfance. En 2004, j’ai commencé à les photographier, avec une méthode appelée « digiscopie », consistant à combiner un appareil photo numérique et une longue-vue d’observation. Après avoir utilisé cette technique particulière, je me suis progressivement équipé d’un matériel photographique reflex performant entre 2010 et 2013, qui maintenant m’accompagne le plus souvent.

J’aime particulièrement photographier les oiseaux juste à côté de chez moi. Je réalise mes images le plus naturellement possible. Je n’utilise pas d’appâts, je ne crée pas de perchoirs ou de décors artificiels. Je n’utilise pas de repasse ou d’imitations de chants pour attirer un sujet. Je reste toujours prudent vis-à-vis du dérangement que je provoque chez les animaux. Je fais essentiellement des séances d’affût de plusieurs heures pour les approcher.

Photographe amateur, j’utilise mes images pour sensibiliser le grand public à la beauté de la nature qui nous entoure. Je réalise des expositions et des conférences pour diverses associations de protection de la nature.

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Je suis un photographe de nature lorrain (près de Metz). Après de nombreux festivals (Namur, Camargue, Suisse, St Jean de Losnes, Barr, Montbrun etc… où j’ai présenté une exposition sur les flamants de Camargue, puis les 3 dernières années, le triptyque assez militant “Histoires d’ oeil, rencontres en chemins” mettant en lumières le monde animalier, puis ensuite l’arbre et enfin l’eau, trois éléments naturels très maltraités en France, j’ai voulu voir ce qu’il en était dans ces contrées scandinaves aux paysages majestueux, oniriques et troublants. 2 mois à vadrouiller, observer, 90 % de bivouacs isolés, sans nuit, 35 randonnées au milieu d’une nature sauvage où les ciels et l’eau des fjords se marient à merveille, surtout par des temps chargés. Des images oniriques et troublantes plein les yeux, plein la tête. J’en partage une quinzaine parmi tant d’autres.
2 mois aussi pour confirmer que les hommes, peu nombreux, semblent tout petits à côté d’un environnement naturel dominant, grandiose et rude. Ils savent qu’ils en font partie et sont discrets, humbles, respectueux, émerveillés et protecteurs.
Pour que chaque visiteur baigne encore plus dans ce ressenti, cette ambiance, un diaporama de 15 mn sonorisé avec des musiques traditionnelles scandinaves est projeté sur le stand “Balade scandinave entre ciels et eaux de vies”.

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Née en 1993 dans le sud de la Loire, c’est déjà pour immortaliser les paysages de mon enfance que je me saisis d’un appareil photographique pour la première fois à l’âge de quatorze ans. Immergée alors dans la découverte d’une crise écologique, photographie et nature deviennent très rapidement indissociables pour moi. L’image, bien au-delà d’une fin, se fait moyen d’œuvrer à la sensibilisation du public pour la protection de l’environnement.
Profondément inspirée par le monde sauvage, ma photographie est avant-tout guidée par l’intuition, par le beau, par le cœur et par ce qui l’émeut. L’approche, presque picturale, se veut essentiellement sensible et sensuelle, guidée par l’émotion pour s’adresser directement au cœur. En donnant à voir au public ce qu’il ne côtoie plus, elle œuvre à faire éclore un intérêt nouveau à l’égard de cette part sauvage du monde.
Devenue photographe professionnelle à l’issue d’une formation en école de photographie, je mets aujourd’hui mes compétences à disposition de parcs nationaux, parcs régionaux et m’engage bénévolement auprès de diverses associations. À travers de nombreuses expositions, j’utilise la beauté des espaces de nature sauvage et la capacité d’émerveillement pour faire naître le désir de protection.
Récompensée en 2018 par la Bourse Iris – Terre Sauvage, remise par Vincent Munier à l’occasion du Festival International de la Photographie de Nature de Montier-en-Der, je poursuis mon travail photographique au travers de nouveaux projets qui toujours repensent les frontières entre l’homme et la nature.

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Deux regards différents, une passion commune et une même volonté : partager la beauté de la nature nous entourant, elle pourtant si fragile et qui jour après jour disparait. Au travers de nos images nous espérons témoigner des instants furtifs et émouvants que peut nous offrir le monde sauvage. Suggérer sans forcément tout dévoiler. Chaque voyage est une occasion de se confronter à la grandeur des éléments, de s’immerger dans le vivant, et de se souvenir que nous appartenons à ce monde naturel.

Des projets fous, des rencontres exceptionnelles, des ambiances rêvées, nous en avons plein la tête. La plupart ne se réaliseront peut-être pas, mais qu’importe, l’essentiel réside dans la démarche de cette longue quête.

Plumes et visages présente ici le travail de plusieurs printemps passés auprès des colonies d’oiseaux marins sur les côtes Ecossaises. Fascinés par la beauté de leur plumage et par leur agilité à braver les éléments, nous avons alternativement travaillé en portrait serré et en plan large.

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Né en 1972, je grandis entre la ville de Bordeaux et le bassin d’Arcachon où je découvre très jeune la quiétude de l’environnement marin. Mais les séjours répétés dès l’âge de 3 ans sur les pistes de ski ou les sentiers pédestres d’altitude, d’abord dans les Pyrénées, puis dans les Alpes, me font tomber littéralement amoureux du milieu montagnard. J’emménage dans les Alpes Maritimes en 1998. Je passe alors la majorité de mon temps libre dans le Parc National du Mercantour où la photographie de nature va prendre une place très importante dans ma vie. Je fais mes premiers portraits d’espèces emblématiques comme cerfs, chamois, bouquetins, et marmottes principalement dans la vallée de la Vésubie. Avec les années, je perfectionne mes techniques de repérage, d’approche et d’affût afin de photographier des espèces plus rares et plus farouches. Je cherche désormais à placer le sujet dans son environnement et à ajouter dans la mesure du possible une touche artistique à mes images. Pendant plus de 15 ans, Je fréquente un secteur particulier de cette vallée pour y photographier principalement l’hermine qui deviendra un de mes animaux fétiches, pour lequel je dédie une exposition dans divers festivals photos depuis 2016. Avec l’expérience je commence à rédiger des reportages photos qui seront publiés à plusieurs reprises principalement dans le bi-mensuel Nat’Image (faucon pélerin, aigle royal, hermine, livre du mois….). J’ai aussi la chance au cours de cette période d’être nommé ou primé à quelques concours nationaux et internationaux.
Si j’ai eu la chance d’admirer la faune d’outre frontière à plusieurs reprises (Alaska, Canada, Kenya, Rwanda, Ecosse, Norvège/Svalbard…..), je suis toujours heureux de retrouver cette faune de nos montagnes françaises qui me fascine tant depuis mon plus jeune âge.
Depuis toujours, l’Aigle royal me transperce de son regard, me berce de son vol majestueux, me captive par son côté prédateur. Mes premières rencontres imprévues suivies de nombreux repérages, observations et affûts au fil des années ont contribué à l’évolution d’une véritable histoire d’amour et de fascination envers ce majestueux rapace, emblème de nos massifs montagneux. Tout au long de l’année, l’Aigle royal obsède mon regard et mon objectif. En résulte une exposition intitulée « Les Ailes du Vent », inspirée du livre photo du même nom paru en août 2019 en auto édition et qui présente ce super prédateur des airs dans son environnement alpin minéral, forestier, enneigé…le milieu montagnard de cet oiseau mythique offrant de multiples variations esthétiques selon les saisons. Quelques aquarelles réalisées par ma mère Danièle Bonnet et représentant l’aigle royal, son environnement ainsi que des espèces qui constituent ses proies potentielles agrémentent l’ouvrage et l’exposition.

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Je m’appelle Marc Bidoul, j’ai 34 ans.
J’habite à Lyon depuis quelques années mais je suis originaire de Gesves, un petit village situé dans les campagnes belges.
C’est grâce à une enfance passée dans les champs et dans les bois que ce très fort attachement à la nature qui m’anime aujourd’hui a très rapidement fait partie de moi.
Le travail m’ayant amené en ville, les sentiers de terre et les forêts que je connaissais se sont transformés en routes asphaltées entourées d’immeubles,…ce changement je ne l’ai pas bien vécu et j’ai très vite ressenti le besoin de m’en échapper ; ces espaces naturels non oppressants et reposants me manquaient.
C’est lors de ces sorties que j’ai commencé à m’intéresser au monde du tout petit qui nous entoure et auquel peu d’entre nous y prêtent attention ; plus je l’observais et plus je le trouvais riche et passionnant.
Avec le temps j’ai eu envie d’immortaliser ce que je voyais, un peu comme si je voulais revenir avec un souvenir de ces sorties.
Pour cela, j’ai commencé avec un petit appareil numérique mais très rapidement je me suis orienté vers mon premier réflex couplé à un objectif macro.
Bien qu’au début mes photos avaient une approche très naturaliste, j’ai rapidement et naturellement évolué vers une approche artistique.
Je ne voulais plus seulement prendre une photo pour prendre une photo mais je cherchais à transposer à travers mes images ces sentiments qui m’animaient quand je me retrouvais dans ma bulle d’oxygène à observer tout ce petit monde.
C’est donc à travers mes photos empruntes de sentiments personnels que je vous invite à voyager dans mon univers.

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Créée en 1990, l’association des “Amis de la Réserve Naturelle du Marais de Lavours – Bugey Nature” a assuré pendant 15 ans l’accueil du public sur la RN du Marais de Lavours, dans le cadre d’une convention tripartite avec l’Etat et le Gestionnaire de la Réserve (EID). Dans ce cadre, elle a largement contribué à faire aboutir le projet de Maison du marais (Ceyzérieu) et en a assuré la gestion jusqu’à fin 2005.
Aujourd’hui l’association reste fidèle à sa vocation initiale – faire connaître et protéger la nature – mais sur un cadre élargi à l’ensemble du Bugey.
Elle porte le projet de site “bugeynature.org”. L’ambition est de rendre visibles les initiatives associatives, de faciliter la connaissance et la découverte de la nature en proposant des outils adaptés, de contribuer à sa préservation.
Les ARNML-BN sont membres de France Nature Environnement (FNE Ain) et collaborent régulièrement avec les associations locales et départementales agissant dans les domaines de la connaissance et la protection de la nature.

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Auteur de neuf livres, dont huit, “ Durance, entre Alpes et Provence ”,
“ Loiret, petite Loire de région Centre ”, “ Belles et sauvages, les orchidées françaises ”, “ Entre Seine et forêt ”, “ Kama-Sutra des petites bêtes ”,
“ Papillons tout naturellement ” et “ Lions rois du Mara ” chez Oiseau Plume éditions qu’elle crée en 2009.
Vient de paraître “ Madagascar un paradis aux abois ”, un travail de plus de 10 ans sur la grande île dans un livre de 428 pages.

Madagascar un paradis aux abois

Madagascar est une île merveilleuse où la nature, lorsqu’elle est préservée, est d’une richesse hors du commun. Avec un taux d’endémisme dépassant les 85 %, cette île légèrement plus grande que la France métropolitaine est un paradis pour tous les naturalistes de la planète.
À elle seule elle abrite 22 % des primates du monde, ses célèbres lémuriens, pourtant en grande détresse avec 95 % d’entre eux jugés en danger d’extinction, 119 espèces d’oiseaux dont trois familles entières ne se retrouvent nulle part ailleurs, ainsi que des “petites bêtes” toutes plus étonnantes les unes que les autres. Et la liste ne s’arrête évidemment pas là !
Cette exposition est extraite du livre “Madagascar un paradis aux abois” qui présente huit voyages répartis sur plus de dix ans de prises de vue. Livre, exposition et conférence ont pour objectif d’imager et de documenter la faune, la flore, les paysages et la population de la grande île.
Je vous propose de vous accompagner au cœur de cette île où l’exubérante nature vous surprendra j’en suis sûre.

Profondément enraciné dans le Jura, j’aime me fondre dans son atmosphère sauvage. C’est ici que j’ai pris mes premières images de nature, j’avais 14 ans. Mon appareil photo aujourd’hui ne me quitte plus. Si les mammifères sont mes sujets de prédilection, j’aime me consacrer au vivant sous toutes ses formes et ses couleurs.

  En tout lieu et en toute saison, je garde toujours en tête le respect de l’animal. Je prends la plupart de mes images à l’affût. Je consacre des centaines d’heures chaque année à me cacher de mille manières pour attendre la bête… qui ne viendra peut-être pas. Cette méthode, qui est peu dérangeante lorsqu’elle est faite avec estime et considération, peut permettre de belles observations. A condition de persévérer, d’oublier le temps et de croire aux surprises.
Photographier à l’affût, sans appât ni « trucage », c’est avoir soif de nature avant d’avoir soif d’images, c’est porter mon regard sur cet horizon de cimes pointues et mystérieuses. Je veux partager mon expérience, les moments d’émotions vécus.

  Éducateur à l’environnement par la photographie, j’envisage l’image comme une porte d’entrée pour accéder au monde qui nous entoure. J’invite les personnes que je côtoie à sortir découvrir leur espace extérieur, qu’il soit rural ou urbain, à s’y frotter et s’y confronter… à vivre cet environnement dans sa complexité, à le toucher, le sentir, le parcourir, l’imaginer, l’expérimenter et le réfléchir. Pour que les consciences sachent l’alchimie de la vie, pour que les cœurs l’apprécient.
Je propose des sorties d’initiation à la photo nature aux enfants scolarisés et aux familles. J’anime des stages de technique photographique, je collabore avec l’agence Natur’images et je travaille régulièrement avec la presse naturaliste et éducative. J’ai eu la joie d’exposer dans de grands festivals et de m’illustrer dans quelques concours internationaux.

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2019 dans le Massif jurassien : dimanche à 14h00 au Casino

Julien Arbez, photographe enraciné dans le Jura, vous propose un retour en images sur une année 2019 riche de rencontres naturalistes. Du mystérieux lynx aux curieuses chouettes de tengmalm en passant par l’insaisissable torcol fourmilier, les habitants de la montagne jurassienne vous livreront quelques-uns de leurs secrets. Venez nombreux assister aux spectacles de la nature et participer à la projection animée. Les enfants sont les bienvenus !

L’Association Photo Rhône-Alpes Natures (APRAN) a pour but de favoriser les rencontres entre photographes (novices ou plus expérimentés) désireux :
– d’échanger idées et connaissances dans tous les domaines de la photo nature,
– de contribuer à la sensibilisation du public aux problématiques environnementales par la valorisation d’images.
Cette valorisation pourra se faire par le biais d’organisation de rencontres, d’expositions, de publications et d’éditions.

Les Expositions :

Fort en moyenne d’une quinzaine de membres, nous avons exposé dans les lieux suivants :
– En 2012 : Bibliothèque de MARCELLAZ-ALBANAIS (74), Médiathèque Simone Veil à Jassans-Riottier(01), Villa Monderoux à Beynost (01),
– En 2013 : Collège de St Etienne de St Geoirs (38), Médiathèque Simone Veil à Jassans-Riottier(01), Centre culturel l’Allegro à Miribel (01),
– En 2014 : Galerie Impertinence à Montluel (01), 1er Festival “Lycée Photo Nature” à Bourg-en-Bresse, 1er festival “Reg’Arts Nature” à Chevigny Saint Sauveur (21),
– En 2015 : Salon de la Photo Nature du Val de Saône à St Jean de Losne (21), Festival “Lycée Photo Nature” à Bourg-en-Bresse, Festival “Cœur de France” au château d’Ainay le Vieil,
– En 2016 : Festival Nature Ain à Hauteville – Lompnes, Festival “Les silences du Ventoux” à Sault (84),
– En 2017 : Salon de la Photo Nature du Val de Saône à St Jean de Losne (21), Festival de la Camargue et du Delta du Rhône,
– En 2018 : Salon de la Photo Nature du Val de Saône à St Jean de Losne (21), Festival “Lycée Photo Nature” à Bourg-en-Bresse, Festival Nature Ain à Hauteville – Lompnes,
Phot’Aubrac 2018, Festival Natur’Varennis à Varennes-lès-Mâcon
– En 2019 : Salon de la Photo Nature du Val de Saône à St Jean de Losne (21), Phot’Aubrac 2019, 4ème édition du salon photo nature Photof’Ill à La Wantzenau (Bas-Rhin)

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