Marcy Photo Club, situé dans l’ouest Lyonnais a été créé en janvier 2005. L’aventure a commencé à trois et réunie aujourd’hui une cinquantaine de membres actifs et passionnés.
Une antenne animalière s’est développée au fil du temps, animée par des naturalistes dont certains font partie de la LPO et d’autres associations protectrices des animaux.
Des sorties sont organisées régulièrement pour observer la faune locale de notre région et des voyages de prises de vue animalière sont réalisés annuellement depuis 2016. Après le Kenya, l’Ecosse, nous sommes partis en Roumanie, dans le Delta du Danube navigant dans les nombreux canaux, lacs et roselières sous la conduite de Petr VASILIU, ornithologue émérite domicilié à Crisan en plein cœur du Delta.
Ce séjour réalisé mi-mai 2018, période de la reproduction de nombreuses espèces mais pas encore pour les moustiques, fut l’occasion de découvrir des espèces inconnues comme la Rémiz penduline ou la panure à moustache.
MPC expose régulièrement ses œuvres dans les localités proches de Marcy l’étoile et participe à de nombreux concours. Certains membres ayant eu des distinctions, entre autres l’année dernière au festival d’Hauteville-Lompnes.
Allan L’HERITIER
Allan L’Héritier est un photographe de paysage, mais avant tout un photographe voyageur. C’est dans la région des Alpes et plus précisément dans le massif de la Chartreuse que nous avons suivi cet aventurier et randonneur hors du commun.
Sa passion pour la photo lui vient suite à la beauté des paysages qu’il a pu observer lors de son premier voyage en Australie et Indonésie, qui dura sept mois et demi.
Depuis Allan n’a pas cessé de voyager encore et toujours autour du monde seul avec pour unique compagnon son appareil. Que ce soit en mode routard, auto-stop, bus et même dormir dans la rue, il aime lors de ses déplacements saisir ces moments où il ne semble rien se passer mais qui pourtant retiennent toute son attention.
Cette série d’images a été réalisé lors d’un voyage de 4 mois à travers le Groenland, l’Islande et les îles Féroé.
L’aventure commença par l’Islande, terre de contraste ou se mêle feu et glace, parcouru entièrement en auto-stop sur presque trois mois, j’ai eu le temps d’aller presque partout où je souhaitais, faire quelques randonnées sur plusieurs jours, aller dans des endroits très peu fréquentés et surtout le temps de patienter, d’observer et de contempler parfois pendant des heures le moment ou ce paysage deviendra « La photographie » et il n’y aura plus qu’à déclencher l’appareil.
Je parti ensuite en avion un mois au sud du Groenland à la recherche de montagne spectaculaire, et oui je ne suis pas ici pour la glace. Je me dirige via hélicoptère dans un petit village au pied d’un somptueux fjord. Je fis plusieurs départs dans ce fameux fjord, accessible uniquement par petit bateau, une fois posé à terre, je fis plusieurs randos de plusieurs jours, le plus long fut un trek de 8 jours en autonomie totale à la recherche de belles images, de belles variations de lumières et d’observation des changements des paysages. Je fis un sommet qui fut certainement l’un des plus difficile de ma vie, car ici pas de sentier, tout se fait à l’œil, jusque la vous me direz » et alors ? « , le problème en fait vient du terrain, qui est fait pour repousser tout randonneur, on n’y trouve pas d’herbe mais seulement des arbustes tueurs plus ou moins gros qui ne manquent aucune occasion pour vous mettre à terre, des champs de rochers de taille moyenne jusqu’à des énormes qui ne demandent qu’’à être escaladés, enjambés, pour aussi parfois rouler sous vos pieds, des marécages qui essaient de vous volez vos chaussures et enfin des rivières à traverser essayant de vous engloutir, oui j’ai perdu pied…enfin c’est la misère ! Le tout accompagné 24h durant de milliers de moucherons et moustiques qui vous attaquent, filet indispensable.
Mais je vous assure que tous ces désagréments sont comblés par la beauté du paysage et sa sérénité, ici pas de touristes, on est la plupart du temps seul ou parfois on croise quelques grimpeurs à un coin spécifique du massif qui regorge d’énormes parois verticales.
Le reste du temps passé là-bas fut pour un autre trek de quelques jours dans un autre fjord qui fut plus » facile » car pas d’arbustes mais toujours pas de sentiers et j’ai pu y rencontrer un joli brouillard épais, idéal pour se repérer… mais aussi pour créer une ambiance éphémère.
On finit ce voyage par les îles Féroé où je suis resté une semaine, quand je pense à cet endroit, plusieurs choses me reviennent en tête notamment les mots » Pluie, vent, falaises, moutons, incroyables lumières » voilà un bon résumé de ces sept jours !
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Yannick LENOIR
La nature est le maître mot de mon parcours qui a commencé étrangement dans la banlieue de Paris.
Une banlieue relativement préservée, qui a eu de la chance d’avoir quelques poumons verts, de grand parcs, la Marne, et même de grandes forêts. J’ai toujours adoré observer, contempler et apprendre ce que la nature voulait me raconter : Une orchidée en plein Paris, des sangliers sur les ronds points, des chouettes au bord de l’autoroute . C’était super !
Depuis l’enfance j’ai toujours été sensible à dame nature et mes parents et mon frère m’ont éduqué vers son respect et vers son écoute. Mon père pratiquait la photo et mon grand-père était photographe ! Inutile de vous raconter la suite, mon parcours s’est ainsi dessiné comme une courbe naturelle.
A présent, je parcours avec humilité des bouts du monde et principalement les pays nordiques ou j’aime m’imprégner de l’authenticité des grands espaces et de leurs ambiances tumultueuses.
Fasciné par la faune et ses adaptations, j’aime partir à sa recherche par espoir d’en croiser ses regards sincères et enchanteurs.
Photographe pro, naturaliste dans l’âme, je vis en montagne. Ici, par le biais d’associations nature, je suis très investi dans la sensibilisation et la préservation des milieux et des espèces.
Je participe régulièrement à des inventaires, des comptages ou des suivis scientifiques en collaboration avec une réserve naturelle, et monte régulièrement des projets pédagogiques variés pour la sensibilisation à l’environnement tels que des expositions. En parallèle, j’organise diaporamas et conférences, racontant ma vision photographique autour des mes expériences de terrain. J’aime apprendre et j’aime partager.
La photo est pour moi un moyen d’expression unique qui permet à la fois de développer sa créativité de manière subjective, mais c’est aussi un outil fabuleux pour la communication et la préservation de la Nature.
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DAVID LÉDAN
David LÉDAN, ce photographe animalier autodidacte est un fou amoureux des oiseaux. Ornithologue au Parc Naturel Régional du Golfe du Morbihan, il a fait de sa passion, son métier. Dès les culottes courtes, sous la houlette de Pépé et de Papa, la passion des plumes est vite contagieuse. Au début des années 90, il troque les jumelles pour les boitiers et les téléobjectifs ; sa Bretagne sauvage devient alors un formidable terrain de jeu. Les limicoles du Golfe du Morbihan deviennent vite un prétexte aux voyages, pouvoir observer ces chevaliers au long cours en arctique et sous les tropiques. D’abord l’Inde, la Scandinavie puis très vite les Amériques, l’Australie et tant de destinations parfois luxuriantes, parfois hostiles … « Une passion qui donne des ailes » diront certains et bientôt la planète toute entière, pour révéler de nouvelles rencontres ornithologiques. L’année de ses 50 ans, un nouveau défi pour « l’homme qui parle aux oiseaux » (Demandez lui gentiment, il imite une bonne partie des espèces européennes) réunir dans une exposition : 1000 espèces d’oiseaux différentes des quatre coins du monde ; ainsi est né 1000 Becs, les ailes de la biodiversité.
Jean GUILLET
Né à Marseille en 1947, numéro cinq d’une famille de sept enfants, je fus le seul à ne pas me destiner à des études supérieures.
J’ai découvert la montagne en 1956 dans la vallée de Vallouise où nous passions toutes nos vacances dans le chalet familial et très vite, j’ai su que c’est là-haut que je vivrais. À quinze ans, mon plan de bataille était fait : je serais guide de haute montagne et moniteur de ski. Après un service militaire dans les chasseurs alpins, une formation à l’ENSA (école nationale de ski et alpinisme), je travaille de nombreuses années comme moniteur guide.
C’est ainsi que je m’intéresse à la faune. Et plus particulièrement, aux conditions de vie mystérieuses et peu connues de la gelinotte, et leur présence proche de chez moi ont piqué ma curiosité. Je décidais de me lancer dans LA QUÊTE DE LA GELINOTTE DES BOIS ne sachant pas à cette époque qu’une passion grandissante voire boulimique allait m’entrainer dans une si belle aventure. Vingt et un ans plus tard je décide de partager un témoignage écrit et photographique de cette expérience avec mes amis, et les amoureux de nature sauvage. La suite dans le livre …
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» La quête de la gelinotte des bois »
Venue du fond des âges la gelinotte des bois a trouvé les ressources pour survivre aux nombreuses difficultés et obstacles rencontrés dans ses errances. Relique de l’ère glaciaire elle vit encore de nos jours dans des forêts de l’est de la France et plus fréquemment en montagne ou elle trouve encore les conditions nécessaires à ses besoins. Particulièrement gourmande elle se nourrit, de baies, de graines, de bourgeons, de chatons et bien d’autres friandises. Elle est un emblème de la diversité, et c’est là que commencent pour elle les difficultés. Les besoins toujours plus grands de l’industrie du bois engendrent une sylviculture moderne, ou la monoculture du tout pin, ou tout sapin est de rigueur ; bref le contraire de ce qu’il faut pour les conditions vitales de nos tétras forestiers, et tout particulièrement de la gelinotte. Comme ses cousins tétras, elle disparaît de nombreuses forêts victime de la modification de son habitat originel. La déprise agricole de ces cinquante dernières années, a dans quelques très rares régions de régions de France, fait resurgir des milieux favorables ou dame gelinottes semble se plaire. Son habitat dans les sous-bois épais, sa monogamie, sa reproduction discrète et calme, et son extrême sauvagerie, en font d’après le photographe Suisse « Claude Morerod » le sujet le moins photographié des Alpes.
Laurent FIOL
Photographe professionnel autodidacte originaire du Gard et résidant en Côte d’or, dans la campagne dijonnaise. Éducateur spécialisé, j’ai laissé mon emploi pour me consacrer pleinement à la photo nature depuis 2 ans et plus particulièrement à la proxy macro. Si vous me cherchez, le plus souvent, vous me trouverez allongé dans l’herbe en train d’essayer de comprendre le monde à hauteur d’insectes. Je ne me redresse que pour dispenser mes conseils aux photographes curieux de nature à travers mon accompagnement sur le terrain. Si je ne suis pas en France, il est fort possible que j’encadre un groupe sur d’autres terres où le mot nature est encore rempli de sens, au Costa Rica ou ailleurs.
Après avoir été lauréat au concours du festival photo d’Hauteville-Lompnes, j’ai eu l’envie de venir exposer sur une prochaine édition, voilà que cette année j’aurais le plaisir de vous montrer mon exposition consacrée à divers insectes, possédant tous des ailes. Les ailes chez les insectes leur permettent d’être les premiers pollinisateurs mais cela contribue également à ceux-ci de se reproduire ou de fuir plus facilement un danger.
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Christian DELASTRE
J’ai été immergé dans l’univers de la montagne dès mon plus jeune âge, un espace qui m’est devenu ensuite indispensable. J’aime ces matins passés à chercher la lumière, à suivre les nuages, à guetter l’instant où les sommets vont s’éclairer. J’aime ressentir toute cette puissance et cette immensité.
La montagne, mon domaine de prédilection, mon altitude préférentielle, celle où je trouve mon oxygène le plus euphorisant. Alors j’ai choisi de ne présenter au public que des images de ma haute atmosphère !!, et principalement prisent dans les Alpes.
Je vous propose ici des photographies prisent sur 3 saisons. souvent à la levée du jour, souvent après une montée nocturne ou une nuit en bivouac sur place, lorsque la lumière magnifie le blanc, et lorsque le ciel apporte ces couleurs, pour des créations de tableaux naturels.
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Ambre de l’AlPe et Baptiste Gerbet
Ambre est une jeune photographe, attirée par les cimes depuis l’enfance, elle est accompagnatrice en montagne ; Baptiste est un amateur passionné, il s’est plongé dans les hauteurs à son arrivée dans les Alpes il y a quelques années.
Compagnons de vie et d’escapades, ils décident de mêler leurs travaux.
Rassemblés d’abord par leurs passions communes pour la montagne et les images -deux univers qui pour eux sont presque indissociables- ils partagent une attraction ineffable pour les contrées solitaires, escarpées et vierges de l’empreinte humaine. L’esthétisme n’a que faire de l’austère : ce sont ces paysages à la fois merveilleux et hostiles qui les fascinent le plus.
Sur le terrain, leurs approches se complètent et leurs regards divergent ou parfois se confondent…
Leurs photographies se veulent un témoignage de la beauté, et une incitation au respect de ces lieux.
Pour plus de cohérence avec leur vécu commun et leur démarche, ils ont choisi de présenter un coin de Paradis des Alpes françaises : toutes les images sont réalisées dans un périmètre d’une poignée de kilomètres (moins de 4 à vol d’oiseau entre les deux images les plus éloignées) et de centaines de mètres de dénivelée (points de vue entre 2500 et 2800 mètres d’altitude).
« Horizons Dentelés », c’est une exposition, mais aussi le livre d’Ambre, fraichement édité, qui rassemble en images accompagnées de ses écrits encore bien d’autres fractions de massifs vallonnés ou escarpés.
Florent DALAS
Né à Dijon en 1986, Florent Dalas est ingénieur de recherche et surtout un amoureux de la Nature. Il se passionne pour la photographie sportive dans un premier temps. Puis progressivement l’envie de photographier d’autres sujets le conduit dans les montagnes de France et d’ailleurs. Faune, flore, paysage, la lenteur de la marche est son meilleur outil pour composer les photographies de montagne et apprécier la force créatrice de la Nature. Il affectionne particulièrement le format panoramique qui permet de reproduire ce sentiment de plénitude ressenti dans ce milieu.
Toutes ces balades en montagne vont alimenter sa quête des terres sauvages et des paysages peu modifiés par l’Homme. La montagne forme une barrière visuelle presque oppressante quand l’Homme se trouve au plus bas dans la vallée. Mais au fur et à mesure de son ascension, le regard s’ouvre et la montagne devient un espace de liberté et de respiration. Ce sont tous ces sentiments qui lui donnent l’envie de partager la beauté de la montagne par des images. Ces paysages minéraux sont animés par la beauté des couleurs des saisons ou par une lumière fugace d’aube ou de crépuscule. Saisir ces instants éphémères va ainsi transformer l’acte photographique en un jeu avec la montagne.
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EDUARDO DA FORNO
Né en août 1972 à Valdivia, en Patagonie chilienne, où il a passé la première partie de sa vie en contact direct avec la nature et les animaux.
Passionné dès son plus jeune âge par la nature et plus particulièrement par le monde marin, c’est tout naturellement qu’il est devenu océanographe et plongeur professionnel. Il a pu parcourir et découvrir son pays au cours des nombreux projets scientifiques auxquels il a participé.
Depuis 2003 il vit en France et combine au quotidien son amour pour le monde marin et la plongée. Passionné de voyages et plutôt attiré par les pays froids (origines obligent !), il a parcouru des régions extrêmes de notre planète où il y a capturé des instants magiques et des scènes hors du commun lors des diverses expéditions scientifiques auxquelles il a participé.
Par son travail photographique, son souhait est de rendre hommage à la beauté infinie de la nature et de la partager avec les générations actuelles et futures. Les images et les histoires qui les accompagnent sont de merveilleux outils pour nous sensibiliser sur le fait que nous sommes tous responsables envers notre « Terre Mère » et qu’il est vital de la protéger si nous voulons nous préserver
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Maxime CROZET
Né en 1985, Maxime Crozet est technicien audiovisuel de formation. C’est avec une grande soif d’évasion et d’ailleurs qu’il quitte la France en Septembre 2007, porté par un projet personnel: voyager autour du monde en se déplaçant au maximum par la voie terrestre. Il sillonne l’Europe, l’Asie, l’Océanie et ne rentrera en France que deux ans plus tard. Début 2011, Maxime décide de reprendre l’aventure avec toujours pour fil conducteur: la route. Il traverse à nouveau l’Europe, puis le Proche-Orient et effectue le tour du continent africain durant seize mois, avant de retourner en douceur vers la France. Depuis, il poursuit ses voyages vers des horizons divers, parfois durant de longs mois sans interruption.
Durant ses riches périples, il collecte de nombreux portraits de ses rencontres. C’est d’un regard sensible, ouvert sur d’autres cultures, d’autres façons de vivre, d’autres langages et d’autres croyances qu’il nous livre tels quels ces instants de vérité. En privilégiant la rencontre, il place ainsi l’homme au cœur de sa démarche. C’est au cours de ses nombreux voyages que sa passion pour la photographie s’est développée, jusqu’à prendre une place centrale dans sa manière d’explorer le monde.
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- Frontières d’Europe (2016)
- Regards d’errance – Voyage en Visages (2014)
- Portraits d’Afrique (2015)
Joël BRUNET
Photographe depuis 25 ans, Joël Brunet est en recherche perpétuelle de créativité et d’originalité, ses images sont une quête de la belle lumière et du cadrage parfait. Passionné et naturaliste avant tout, il essaye de montrer la nature sous ses aspects les plus artistiques afin de sensibiliser le public à sa nécessaire préservation.Il a donc créé le Festival Nature Ain à Hauteville Lompnes afin d’éveiller le public à son patrimoine naturel.
Joël Brunet expose son travail dans les plus grands festivals depuis 20 ans, et il est régulièrement publié dans plusieurs magazines.Il est primé dans plusieurs concours internationaux.
Joël Brunet a travaillé avec le Département de l’Ain en 2013 et 2014 pour la réalisation de deux films tournés intégralement dans le département : « Des Prédateurs et des Hommes » consacré au rôle des prédateurs des mulots dans les prairies du Bugey et « Grand Tétras et Gélinotte » qui présente le plan d’action du Département relatif à ces espèces. Il a également réalisé un film destiné au public du Marais de Lavours.
En 2017 il a réalisé un film de 52 mn sur le chat sauvage, grande première en France entièrement réalisé dans le Bugey.
Bugey Sauvage
Joël Brunet présente son premier ouvrage de 160 pages montrant la nature du Bugey, massif de moyenne montagne situé dans le sud du massif du Jura. Cette exposition est la continuité de ce livre où vous pourrez y découvrir, le chat sauvage, le renard, l’hermine, le blaireau, etc.… dans des lumières hors du commun, des cadrages inhabituels pour ouvrir le champ du regard et montrer tout l’attrait que la nature peut offrir dans ce massif