Mes deux passions : la photo et les fleurs ont été crescendo au fil des années et participent à mon bien-être journalier.
A chaque printemps, je redécouvre les fleurs avec le même enthousiasme. J’aime photographier les fleurs d’assez près pour plus d’intimité, pour leur donner un premier rôle bien mérité tout en permettant grâce au flou d’avoir une vue d’ensemble harmonieuse et poétique. Je recherche des zones où les fleurs sont en abondance afin d’avoir un bokeh naturel, varié et coloré. Patience et persévérance me permettent de trouver ces océans de fleurs, car de plus en plus souvent, les faucheuses rendent d’un vert uniforme les bas-côtés des routes, les prés.
Partir seule, réceptive aux sensations sonores et visuelles, aux odeurs exhalées, observant attentivement l’environnement, voilà ce qui me plaît et m’apporte de nombreux moments de joies. Ravissement pour l’œil, émotions passagères devant la beauté de la nature, instants éphémères, fragments de bonheur,…. Merci pour ces moments de rêve.
J’aime partager cette passion avec les autres photographes des deux clubs dont je suis membre et avec les visiteurs lors des salons et festivals et m’enrichir de ces échanges.

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Je me passionne pour la photographie depuis une vingtaine d’années en autodidacte. Mon terrain de jeu favori se situe dans les Alpes où je photographie les paysages intacts, les lacs d’altitude et les animaux sauvages… en particulier les marmottes pour qui je voue une adoration depuis une quinzaine d’années ! J’ai collaboré régulièrement avec Alpes Magazine. Chez les peuples de l’herbe, j’apprécie particulièrement la macrophotographie en lumière naturelle. Chez les humains, j’aime rencontrer d’autres cultures et partager des moments complices avant de saisir des scènes de vie, des portraits d’enfants ainsi que des fêtes familiales. Attaché à mes origines, je me rends régulièrement au Cambodge pour des voyages photos. J’anime depuis 2012 des stages photo et accompagnements pour Aguila voyages photo .

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• Aguila voyages photo de 2012 à 2017
• Animateur de stage: Lyon, Ile de Ré, la Camargue, le massif des Bauges – Accompagnateur: Islande, Birmanie, le Cambodge…
• Keat TUNIER photo depuis 2006 – Animateur de stage : Lyon, les Alpes, l’ Auvergne. – Accompagnateur pour une agence locale cambodgienne

• Novembre 2017 : Atrium Hotel de ville de Caluire : « Patchework du Cambodge »
• Salon Asiexpo à Lyon décembre 2016 : « Le Cambodge natal » photographe d’honneur pour le Cambodge
• Mars 2010 et 2011 : salon photo nature de Val de Saone à St Jean de Losne

Photographe autodidacte depuis une dizaine d’années.

Passionné depuis toujours de belles images, je suis entré dans la photo avec l’arrivée du numérique. Tout en étoffant mon matériel, petit à petit, je me suis focalisé sur la photo de nature au sens large. Animalier, macro, flore et paysage sont autant de thèmes que je tente d’immortaliser dans mon département du Lot. La richesse de la biodiversité me permet d’exercer cette passion tout au long de l’année, au rythme des saisons, sans me restreindre au niveau des sujets. La photo animalière représente cependant quelque chose de particulier pour les sensations qu’elle peut procurer durant l’approche et l’observation des oiseaux et des mammifères.

Expositions en 2018 : Bourg en bresse « Festival LPN 2018 » et à Sarlat « Focus Nature ».

Primé ou finaliste dans divers concours photos nature (Montier en Der, Vogelwarte, Festimages Nature, Festival Nature Ain, Namur).

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Je me nomme Kevin Tadej, né en Charente Maritime en 1986. Aprés un problème de santé au début de 2010, j’ai le sentiment de combler un vide intérieur quand je découvre la photographie et achète mon premier appareil quelques mois plus tard et ce fût LA REVELATION de ma vie.

J’ai commencé doucement puis très vite les concours sont arrivés avec des résultats encourageants, depuis je commence à faire des expositions durant des festivals:
– le festival photo Nature de Bourg en Bresse
– le festival photo de Renage
– le festival photo nature de la wantzenau (photof’ill)

Je suis spécialise dans le milieu du littoral et dans la longue pose. La pose longue en photographie est une technique connue et reconnue de tout photographe.
Grace à celle-ci, je cherche à créer une atmosphère à la fois réelle et irréelle. A l’origine de la photographie, il y avait la peinture… J’aime quand la photo se confond avec la peinture, telle une aquarelle par exemple.
Le temps et la lumière ont gravé mon capteur comme un peintre grave sa toile avec son pinceau. Je serai ravi de vous faire découvrir mes images, j’espère qu’elles sauront vous transporter dans mon univers.

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Photographe naturaliste depuis une bonne vingtaine d’années, établi dans le Jura vaudois, cette activité a su et continue d’occuper bon nombre de mes loisirs. Que ce soit la macrophotographie, le paysage, la flore ou l’animalier, tous ces thèmes sont capables de m’enthousiasmer!
La tranquillité qui habite nos montagnes, dès qu’on prend un peu d’altitude, est propice à la rencontre de plusieurs espèces qui ne peuvent que faire le bonheur de tous photographes proches de la nature. Bien sûr, tout ça a un prix! Le milieu est exigeant, difficile et peut aussi présenter certains dangers si on ne prend pas vraiment les éléments au sérieux.
J’ai donc tranquillement choisi la montagne comme mon lieu de « travail » favori. Dans ce milieu, tout se paie comptant! Les conditions climatiques ne sont pas toujours clémentes, favorables; le sac ne se fait jamais oublier, il faut constamment faire des compromis et choisir le bon matériel adapté au but que l’on s’est fixé. L’hiver, il faut attendre embusqué dans le froid pour parfois rentrer bredouille… une histoire de maso tout ça? On peut se le demander, mais si la persévérance est au rendez-vous, c’est aussi pour les réussites qui vous remplissent de bonheur, qui sont là pour motiver toutes les prochaines sorties, fructueuses ou non!
A exposé et projeté maintes fois de 2009 à 2018 (Genève, Nyon, Cluses, Zürick, Montier, …).

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Photographe animalier de longue date, tout d’abord passionné par la faune intertropicale, j’ai publié sur la faune indonésienne en particulier sur le Babiroussa , animal rarissime de Sulawesi , reportage visible sur mon site. J’essaie de privilégier des images dynamiques en mouvement d’animaux en pleine nature. Depuis peu je suis fasciné par les régions polaires et j’ai eu la chance de pouvoir naviguer au Spitzberg en plein hiver, découvrir la Terre François Joseph plus au Nord, photographier les icebergs tabulaires de la péninsule Antarctique au contact des manchots. Publication récente dans la revue suisse  » Animan, les beautés du monde ». Depuis peu je réalise des expositions, la plus récente avais pour sujet  » le macareux « . Cette nouvelle exposition se veut didactique, ludique, tout en privilégiant une certaine esthétique avec des tirages sur papier d’art. Si la sterne arctique sait faire le lien tous les ans par son incroyable migration entre les deux pôles, les deux faunes sont totalement différentes et mon exposition, par ses images commentées, tente de clarifier, s’il en est besoin, les connaissances , jeune public bienvenu !

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Né en 1977 en Haute-Marne, je passe mon enfance dans les Corbières, au pied des Pyrénées, où je réalise mes premières randonnées en famille. Mes études me mènent à Paris, où j’apprends la photographie en autodidacte. Je la pratique en argentique, en noir et blanc, arpentant les ruelles chères à Robert Doisneau et Willy Ronis. Je m’installe dans le Rhône en 2001, et je découvre les Alpes et ses glaciers : c’est une véritable révélation. Attiré par les cimes, j’éprouve vite le besoin d’aller au coeur des montagnes, là où seuls certains initiés s’aventurent. Devenu grimpeur et alpiniste, je délaisse quelque temps la photographie pour cette nouvelle passion dévorante qui me mène sur les plus hauts sommets, découvrant des paysages envoûtants faits de rocs, de neige et de glace.
En 2013, je donne un aspect professionnel à cette passion que j’exprime par la photographie, avec la volonté de montrer les montagnes sous un angle différent, personnel, fruit d’un travail d’auteur et de ma connaissance de la haute montagne. Mon travail a depuis été publié, récompensé et exposé à de nombreuses reprises en France et en Suisse.

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Ayant reçu son premier appareil photo Kodak Instamatic à la veille de ses sept ans lors d’un voyage avec son grand-père au Maroc, Olivier Micheli a très vite compris que la photographie allait devenir une addiction. Après avoir passé son enfance à Genève, il est placé dans un Internat lausannois et comprend qu’il était en train de vivre une grande expérience humaine . Soucieux de garder une trace de ces moments d’amitiés forts, Olivier devient en quelque sorte le photo-reporter de son école, sillonnant les couloirs de l’école avec son Canon A-1.

Après une brève incursion à l’Université de Lausanne (HEC), conséquence d’une pression familiale…, Olivier Micheli a suivi une école de photographie et obtenu son diplôme au début des années nonante. Les mandats s’enchainent ainsi qu’un stage d’une année, à Paris et New York dans la prestigieuse agence Magnum.

Rattrapé par des problèmes personnels, Olivier a dû mettre un terme à sa prometteuse carrière de photographe et s’est résigné à abandonner ses grands projets de photo-reporter. Sans jamais abandonné la pratique de son art favori, notre homme a ainsi été actif durant une vingtaine d’années dans le domaine des nouvelles technologies, avec en point d’orgue la création d’une startup.

Olivier Micheli propose un regard exigeant pour l’image et bienveillant pour le monde qui l’entoure. Passionné depuis trente-cinq ans, cet infatigable curieux a remplacé le 24×36 de ses premières heures pour un matériel numérique professionnel… sans pour autant transiger sur l’importance du beau.

Le reportage est son domaine de prédilection et la liste des pays visités a tendance à se trouver dans les pays du Nord… Écosse, Irlande, Svalbard, Groenland, îles Féroé, Islande et Laponie finlandaise sont à inscrire au tableau des destinations les plus appréciées d’Olivier, photographe à classer dans la catégorie des artistes photographes, sensible à la beauté de notre planète.

Actuellement, Olivier travaille depuis trois ans sur un projet ayant pour écrin le majestueux lac Baïkal, situé au cœur de la Sibérie orientale. Lac, dont la superficie équivaut à celle de la Belgique et qui est entièrement gelé durant l’hiver, c’est un terrain de jeu idéal qui lui offre une opportunité unique de livrer des images aussi mystérieuses qu’envoûtantes autour du thème : « Glace et abstraction »

Un projet de livre est en préparation ainsi qu’une grande exposition à Genève et à Lausanne en hiver 2019/2020.

Je m’appelle Sylvain Mazerand, j’ai 31 ans et je suis originaire d’un petit village à coté de Sarrebourg en Moselle. Passionné par la photo depuis une bonne dizaine d’années, je pratique depuis 5 ans en tant que professionnel. Je partage ma passion quotidiennement, que ce soit lors de différents festival photo ou lors de stage que j’organise.

Présentation de l’exposition :

La série que je vous présente a été prise lors d’un voyage un Norvège en Février 2018, dans le parc national du Dovrefjell. L’objectif de cette aventure était de rencontrer l’emblème de ce parc, le Bœuf musqué. J’ai passé une semaine en compagnie d’un troupeau d’une douzaine de bœufs parfois dans des conditions météo hivernal à la limite de l’extrême.

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