Photographe animalier de longue date, tout d’abord passionné par la faune intertropicale, j’ai publié sur la faune indonésienne en particulier sur le Babiroussa , animal rarissime de Sulawesi , reportage visible sur mon site. J’essaie de privilégier des images dynamiques en mouvement d’animaux en pleine nature. Depuis peu je suis fasciné par les régions polaires et j’ai eu la chance de pouvoir naviguer au Spitzberg en plein hiver, découvrir la Terre François Joseph plus au Nord, photographier les icebergs tabulaires de la péninsule Antarctique au contact des manchots. Publication récente dans la revue suisse ” Animan, les beautés du monde”. Depuis peu je réalise des expositions, la plus récente avais pour sujet ” le macareux “. Cette nouvelle exposition se veut didactique, ludique, tout en privilégiant une certaine esthétique avec des tirages sur papier d’art. Si la sterne arctique sait faire le lien tous les ans par son incroyable migration entre les deux pôles, les deux faunes sont totalement différentes et mon exposition, par ses images commentées, tente de clarifier, s’il en est besoin, les connaissances , jeune public bienvenu !

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Né en 1977 en Haute-Marne, je passe mon enfance dans les Corbières, au pied des Pyrénées, où je réalise mes premières randonnées en famille. Mes études me mènent à Paris, où j’apprends la photographie en autodidacte. Je la pratique en argentique, en noir et blanc, arpentant les ruelles chères à Robert Doisneau et Willy Ronis. Je m’installe dans le Rhône en 2001, et je découvre les Alpes et ses glaciers : c’est une véritable révélation. Attiré par les cimes, j’éprouve vite le besoin d’aller au coeur des montagnes, là où seuls certains initiés s’aventurent. Devenu grimpeur et alpiniste, je délaisse quelque temps la photographie pour cette nouvelle passion dévorante qui me mène sur les plus hauts sommets, découvrant des paysages envoûtants faits de rocs, de neige et de glace.
En 2013, je donne un aspect professionnel à cette passion que j’exprime par la photographie, avec la volonté de montrer les montagnes sous un angle différent, personnel, fruit d’un travail d’auteur et de ma connaissance de la haute montagne. Mon travail a depuis été publié, récompensé et exposé à de nombreuses reprises en France et en Suisse.

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Ayant reçu son premier appareil photo Kodak Instamatic à la veille de ses sept ans lors d’un voyage avec son grand-père au Maroc, Olivier Micheli a très vite compris que la photographie allait devenir une addiction. Après avoir passé son enfance à Genève, il est placé dans un Internat lausannois et comprend qu’il était en train de vivre une grande expérience humaine . Soucieux de garder une trace de ces moments d’amitiés forts, Olivier devient en quelque sorte le photo-reporter de son école, sillonnant les couloirs de l’école avec son Canon A-1.

Après une brève incursion à l’Université de Lausanne (HEC), conséquence d’une pression familiale…, Olivier Micheli a suivi une école de photographie et obtenu son diplôme au début des années nonante. Les mandats s’enchainent ainsi qu’un stage d’une année, à Paris et New York dans la prestigieuse agence Magnum.

Rattrapé par des problèmes personnels, Olivier a dû mettre un terme à sa prometteuse carrière de photographe et s’est résigné à abandonner ses grands projets de photo-reporter. Sans jamais abandonné la pratique de son art favori, notre homme a ainsi été actif durant une vingtaine d’années dans le domaine des nouvelles technologies, avec en point d’orgue la création d’une startup.

Olivier Micheli propose un regard exigeant pour l’image et bienveillant pour le monde qui l’entoure. Passionné depuis trente-cinq ans, cet infatigable curieux a remplacé le 24×36 de ses premières heures pour un matériel numérique professionnel… sans pour autant transiger sur l’importance du beau.

Le reportage est son domaine de prédilection et la liste des pays visités a tendance à se trouver dans les pays du Nord… Écosse, Irlande, Svalbard, Groenland, îles Féroé, Islande et Laponie finlandaise sont à inscrire au tableau des destinations les plus appréciées d’Olivier, photographe à classer dans la catégorie des artistes photographes, sensible à la beauté de notre planète.

Actuellement, Olivier travaille depuis trois ans sur un projet ayant pour écrin le majestueux lac Baïkal, situé au cœur de la Sibérie orientale. Lac, dont la superficie équivaut à celle de la Belgique et qui est entièrement gelé durant l’hiver, c’est un terrain de jeu idéal qui lui offre une opportunité unique de livrer des images aussi mystérieuses qu’envoûtantes autour du thème : « Glace et abstraction »

Un projet de livre est en préparation ainsi qu’une grande exposition à Genève et à Lausanne en hiver 2019/2020.

Je m’appelle Sylvain Mazerand, j’ai 31 ans et je suis originaire d’un petit village à coté de Sarrebourg en Moselle. Passionné par la photo depuis une bonne dizaine d’années, je pratique depuis 5 ans en tant que professionnel. Je partage ma passion quotidiennement, que ce soit lors de différents festival photo ou lors de stage que j’organise.

Présentation de l’exposition :

La série que je vous présente a été prise lors d’un voyage un Norvège en Février 2018, dans le parc national du Dovrefjell. L’objectif de cette aventure était de rencontrer l’emblème de ce parc, le Bœuf musqué. J’ai passé une semaine en compagnie d’un troupeau d’une douzaine de bœufs parfois dans des conditions météo hivernal à la limite de l’extrême.

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