Stéphane Corcelle

Stéphane Corcelle

Stéphane Corcelle

Photographe & Cinéaste naturaliste

Biographie

Huissier d’information dans le milieu médical, sa passion de la photographie et de la nature a conduit Stéphane Corcelle depuis quelques années vers la photographie animalière. Il est membre de l’association pour la protection des oiseaux.

Chacune de ses photos a nécessité de nombreuses explorations et de repérages préliminaires. Elles sont le fruit d’un très long travail d’approche d’une « complicité » avec la nature « pour surprendre l’intimité de l’animal » sans l’effrayer. Sur les bords du lac ou dans les bois, à l’affût pendant des heures quel que soit le temps, il capte des instants saisissants qui dévoilent la personnalité de l’animal.

Parcours (sélection) :

Nombreuses expositions depuis 2004. Participations depuis 2000 au Festival International de la Photo Animalière et de la Nature à Montier-en-Der, Haute-Marne et depuis 2002 au Festival de l’Oiseau et de la Nature à Abbeville en Baie de Somme.

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Livres

Parution dans des revues d’images et de nature

Éditions : Alpes Magazine (sept. 1999) / De Borée, La Haute-Savoie (2001) / Guide du patrimoine naturel de la Région Rhône-Alpes (2002) / Plan net, magazine de l’environnement et du recyclage (2002-2003) / Éditions du Fournel « Nature et Léman » (2009) / Magazine Animan (avril 2010) / Édition Rossolis « guide poche Oiseaux du Léman » (2011) /Article pour la revue Nature et Patrimoine en pays de Savoie depuis 2014

Court métrage

 Un court métrage effectué en 2015 sur les oiseaux et les zones humides de la région « Des Ailes du Léman », (financé par la Fondation Gelbert), sera diffusé lors du festival. Constitué de deux parties et d’une durée de quinze minutes environ.
– En introduction un film de la Convention RAMSAR de 4’30.
– Ensuite un fondu d’images accompagné d’une musique d’un auteur professionnel (un pianiste) (des photos de paysages et d’oiseaux de la région Lémanique)

Expositions

Expositions (en France et à l’étranger) les plus importantes :

  • Juillet / août 1998. Château de Ripaille, Thonon-les-Bains, Haute-Savoie.
  • Juillet / août 1999. « La Faune sauvage du Léman » Nature & Découverte, Lyon.
  • Avril 2003. Festival de l’Oiseau et de la Nature, « Faune de la Région du bassin du Léman » Abbeville, Baie de Somme.
  • Octobre 2003. « Rencontre Photographiques du Genevois » Festival de photographies de Nature, Saint-Julien en Genevois, Haute-Savoie.
  • Août 2005. 10ème Anniversaire, La Fondation des amis du château de Miécourt (FACMI) « cycle Art & Nature» Miécourt, Porrentruy, SUISSE.
  • Mars 2009. « Léman des Auteurs » Evian, Haute-Savoie.
  • Octobre 2009. Festival de la Salamandre, Morges, Canton de Vaud, SUISSE.
  • Mars 2010. Salon de la Photographie animalière du Val de Saône, St Jean de Losne, Côte-d’Or.
  • Mars 2011. Salon de la Photographie animalière du Val de Saône, St Jean de Losne, Côte-d’Or.
  • Octobre 2011. Festival de la Salamandre, Morges, Canton de Vaud. SUISSE
  • Avril 2012. « Exposition photographiques d’oiseaux et de paysages« , Lugrin, Haute-Savoie.
  • Avril 2014. ʺMois de l’environnement et de la natureʺ Bibliothèque de Bons-en-Chablais. Haute-Savoie.
  • 24 et 25 Mai 2014. Festival du livre nature et montagne ʺLes Mots voyageursʺ de la Vallée de Joux, Centre sportif du Sentier, Suisse.
  • 07 et 08 novembre 2015, 21ème rencontre autour du livre savoyard, Château de Ripaille, 74200 Thonon-les-Bains, Haute-Savoie.
  • De novembre 2015 à novembre 2016, exposition à l’Hôtel restaurant du Moulin de Léré, Vailly, Haute-Savoie.

Galerie

Nature et Léman

Simon Hardenne

Simon Hardenne

Simon Hardenne

Cinéaste

Biographie

Né à Anvers (Belgique) en 1994 (23 ans). Études de photographie faites à Namur.

Le bois situé en face de chez moi fut le premier terrain de jeu de mon enfance. dès le plus jeune âge, j’ai été passionné par la nature. Les forêts et les champs étaient mes lieux d’aventures et de découvertes favoris. J’y allais autant que possible.

C’est mon grand-père qui m’a transmis le virus de la vidéo. À l’âge de 13 ans, toutes mes économies passèrent dans une petite caméra et je faisais mes premiers essais de montage dans son « labo ». Je filmais autant que je respirais. Mais ce qui me tenais le plus à cœur était d’essayer de capturer des images d’animaux dans leur milieu.

Une parfaite harmonie entre mes passions : la nature et la vidéo. Mon choix d’études fut évident : l’audio-visuel et la photographie. Très vite j’eus la chance de rencontrer des personnes ayant la même passion, tel que Xavier Istasse, chef opérateur, qui m’inculqua les bases de la vidéo professionnelle. Les images réalisées par Dimitri Crickillon, un ami de mon père photographe naturaliste, me donnèrent l’envie d’élargir mon champ d’activités de la vidéo à la photographie. Mais le moment clé a surtout été ma rencontre avec Robert Henno, photographe-vidéaste nature, et Jean-Claude Mangeot, ingénieur des Eaux & Forêts, qui m’ont aidé à concrétiser mes rêves.

Désormais je ne parcourais plus les bois seul mais accompagné de Robert ou de Jean-Claude.  En 2013, j’entrepris un voyage de plusieurs mois en Australie, qui changea mon regard sur le monde. Là-bas, un job de caméraman/monteur me permis d’acquérir du matériel photo plus performant. Je dédiais tout mon temps libre à la photographie nature. La Nouvelle Zélande me bluffa par ses paysages et ses grands espaces. Depuis mai 2014, je suis agréé à l’agence française BIOSPHOTO. De retour au pays depuis mai 2014, je n’aspire qu’à une seule chose, repartir à l’aventure avec mes caméras !

Merci à Robert Henno, Xavier Istasse, Frédérique Martin, Marleen Haazen, David Quarrell, Olivier Weyrich et Thomas Delbart, vous m’aidez à grandir professionnellement.

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Film présenté au festival

Australie : Les terres du nouveau monde

« Nouveau Monde, c’est le nom que l’on a donné à cet immense continent. 70% des terres sont arides. Malgré cette image désertique et sèche, l’Australie abrite une quantité innombrable d’animaux, c’est une véritable arche de Noé ! »

Le film a été tourné lors de mon voyage à sac à dos en Australie (2013-2014). Parti avec un visa « Working Holiday » pendant 6 mois sur la côte Est du continent, ce film n’était pas mon but premier. Découvrir le monde et voyager, c’était pour cela que j’étais parti.

Teaser du film

SIABVA

SIABVA

Le Syndicat Intercommunal d'Aménagement du Bassin Versant de l'Albarine

Les rivières sont des éléments importants de nos paysages. Spontanément, nous imaginons que les rivières qui nous entourent ont été dessinées par les forces de la nature, qu’elles sont ainsi depuis toujours et pour encore longtemps …

La réalité est autre. L’Homme est depuis longtemps l’architecte de son environnement. Les paysages qui s’offrent à nos yeux sont influencés par des aménagements, des travaux réalisés par et pour les hommes au fil du temps.

L’Albarine ne fait pas exception. Si on trouve encore de petits sites sauvages, la plupart des milieux aquatiques ont été modifiés par les hommes et posent parfois problème pour le bon fonctionnement des rivières ou pour les hommes eux même.

Dans ce contexte, le SIABVA* œuvre pour corriger les problèmes et façonner à son tour les milieux pour que la restauration du bon fonctionnement de ces écosystèmes aquatiques soient aussi sources d’amélioration pour la société humaine (qualité de l’eau, régulation des crues, loisirs, biodiversité).

L’exposition présente ces paysage mouvants au fil du temps et les conséquences de ces évolutions sur les cours d’eau et sur notre société. La seconde partie évoque les solutions actuelles pour restaurer ces milieux dans un état compatible avec nos enjeux actuels de préservation de l’environnement et de développement durable.

*SIABVA : Les 27 communes du territoire de la rivière Albarine se sont associées au sein du Syndicat Intercommunal d’Aménagement du Bassin Versant de l’Albarine pour travailler à une gestion globale de l’eau et des milieux aquatiques. Les inondations historiques de 1990 et 1991 ont fait prendre conscience de la nécessité de travailler solidairement sur la rivière, de sa source à Brénod, jusqu’à sa confluence après Saint Maurice de Rémens.

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Galerie

Sébastien Pins

SEBASTIEN PINS A

Sébastien Pins

Cinéaste

Biographie

Fasciné par la beauté́, la fragilité́ et les mystères de la nature, Sébastien Pins s’intéresse très tôt à la photographie et s’évertue à immortaliser des instants forts entre l’homme et la nature. Ses réalisations ont reçu de nombreux prix aux quatre coins de l’Europe.

En 2012, il réalise un court-métrage intitulé « Ma forêt » où il arrive à capter avec émotion et sensibilité́ des instants forts entre l’homme et la nature dans le regard d’un jeune garçon de trois ans. Ce court-métrage sera primé des dizaines de fois, en particulier par les Nations-Unies à Istanbul « Forum on Forest ». Il a été́ sélectionné́ dans plus d’une centaine de Festivals à travers le monde dont certains lui donnent l’accès pour être candidat à l’Oscar du meilleur court-métrage.

Son travail est soutenu par des personnalités emblématiques comme Hubert Reeves, Marion Cotillard, Yann Arthus Bertrand,

En 2014 il réalise un second court-métrage « Une passion d’or et de feu ».
« Un apiculteur nous fait part de ses inquiétudes sur l’avenir de son rucher école. Une passion d’or et de feu qui, assurément, collabore à la survie de notre environnement.”

Cet hommage à l’apiculteur remporte un succès mondial et est notamment sélectionné́ par le Seattle International Film Festival (OscarTM nominating Festival), Slamdance Film Festival (Oscar™ nominating Festival) DOC NYC(Oscar™ nominating Festival), 26th New Orleans Film Festival (Oscar™ nominating Festival), Hot Springs Documentary Film Festival St. Louis International Film(Oscar™ nominating Festival), Sleepwalkers International Short Film Festival(BAFTA-Recognised Film Festival),…

Actuellement Sébastien Pins continue son travail de réalisateur dans des films de fiction nature. Il tourne aujourd’hui un court-métrage sur le métier débardeur au cheval de trait. Son objectif est de faire connaître et de valoriser le travail de ces hommes qui, de tout temps, ont contribué à la santé et à la sauvegarde de nos forêts.

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Films

Films diffusés lors du festival.

Salamandre

Salamandre

Salamandre

Qui sommes-nous ?

La Salamandre, c’est une histoire, celle de Julien Perrot et d’une aventure collective qui s’est constituée autour de lui. C’est aussi une éthique basée sur le respect de la nature, de l’humain et de son environnement. C’est encore une équipe et des auteurs avec lesquels vous pouvez entrer en contact.

Née de la passion d’un enfant, La Salamandre est aujourd’hui une maison d’édition franco-suisse indépendante et sans but lucratif qui a pour but de faire connaître, aimer et respecter la nature.

Depuis 30 ans, 100% nature !

Fondée en 1983 par un jeune naturaliste alors âgé de 11 ans, La Salamandre est d’abord une revue qui propose tous les deux mois de découvrir la nature qui vit et pétille tout autour de chez vous. La sensibilité des textes, la richesse des nombreuses illustrations, la qualité des photos et de l’impression et enfin l’absence de pages de publicité font aujourd’hui de la « revue des curieux de nature » une référence forte de 26’000 abonnés aux quatre coins de Suisse romande et dans toute la France.

Une gamme pour tous les âges

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Sous l’impulsion de son fondateur Julien Perrot, La Salamandre est aussi devenue au fil des années une maison d’édition indépendante et sans but lucratif qui réunit une équipe de 18 passionnés répartis sur trois sites à Neuchâtel, Pontarlier et Toulouse. En prolongement de la revue La Salamandre, nous éditons également des guides pratiques, des beaux livres et produisons des films nature. Pour éveiller les enfants à la nature qui les entoure, nous produisons également deux revues tous les deux mois, La Petite Salamandre pour les 4-7 ans et La Salamandre Junior pour les 8-12 ans.. tout cela avec une éthique environnementale qui se veut exemplaire.

La Salamandre est enfin à l’origine de la Fête de la nature en Suisse romande dont elle a organisé les premières éditions ainsi que du Festival Salamandre qui a lieu chaque automne à Morges depuis 15 ans : un rendez-vous nature incontournable !

Parce que la nature est belle !

Pourquoi travaillons-nous d’arrache-pied et avec passion ? Pourquoi persistons-nous malgré la crise qui frappe durement le monde de la presse et de l’édition ? Pourquoi nous efforçons nous de nous réinventer constamment depuis 30 ans et d’explorer de nouvelles pistes ?

Parce que la nature est belle ! Nous voulons éveiller à cette beauté un très large public et inciter à son respect. C’est tout simplement notre raison d’être.

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Renaud Danquigny

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Renaud Danquigny

Photographe

Biographie

J’ai toujours été passionné par les belles images, depuis petit.

Cette fascination pour les scènes de vie sauvage fascinantes, paysages grandioses sublimés et ces images étoilées qui me faisaient voyager.

Photographe autodidacte et passionné, le virus photo m’a affecté très tôt.

Je pratique la photo plus sérieusement depuis 8 ans maintenant avec pour idée de montrer des choses que la plupart des gens ne voient ou ne prennent pas le temps de voir.

Je vis actuellement en Vaucluse, entre le massif du Luberon et le mythique Mont Ventoux.

Je me régale à parcourir également, quand je le peux également, la Camargue avec ses multiples visages et sa faune exceptionnelle, le massif du Vercors pour ses plateaux fabuleux et la chaine pyrénéenne pour son coté sauvage et grandiose.

C’est en 2013 que j’ai commencé l’astrophotographie, depuis quand les nuits sont claires, je ne dors plus beaucoup. Je vous propose une série d’image qui retracent un peu ce parcours nocturne.

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Galerie

Ode à la nuit

Rémi Pozzi

Rémi Pozzi

Rémi Pozzi

Photographe & Stages photo

Biographie

Né au cœur d’une pleine nature sauvage, je grandis, à son sein, les sens en éveil, et me nourris, loin des mots, d’intenses émotions… de celles qui donnent le goût de la vie, du merveilleux et du mystère. Lorsque, je m’équipe, adolescent, de mon premier boîtier réflexe, c’est le Vercors sauvage qui m’accueille. Je le visite, l’explore, l’expérimente…marche, ski, raquettes, escalade, spéléologie…Pour rendre hommage à sa beauté, partager mon amour et vous raconter ma rencontre avec lui, je cherche, sans relâche, mon propre langage photographique. A cette époque, le monde souterrain se révélera être l’allié le plus précieux dans mon apprentissage de la technique, de la connaissance de la lumière et de l’étude de la composition d’image. La photo nature devient une passion. Mon regard s’ouvre, ma sensibilité s’aiguise, ma technique s’affine et, en 1982, je fais de la photographie mon métier. J’en visite différentes facettes : expositions, reportages d’événements, de concerts, travail en studio et en extérieur, pratique du laboratoire argentique, propriétaire d’un magasin de photo, vente de matériel…

En 1999, las d’une certaine sédentarité, je retourne, au plus intime, aux grands espaces, à la nature. Je passe le brevet d’état d’accompagnateur en montagne pour devenir formateur photo. L’envie de transmettre s’enracine en moi. Dans un premier temps et au fil des saisons, des paysages, de la flore et de la faune, je propose des stages de formation dans le Diois et dans mon pays de cœur, le Vercors. Mais depuis, je vous emmène, chaque année, vers de nouvelles destinations, pour renouveler et enrichir, ensemble, notre art de la photographie. Après trente-cinq ans de passion photographique, dont quinze ans comme formateur, je reste, plus que jamais, curieux du monde et des hommes, et mon plaisir de partager mon expérience avec d’autres amoureux de l’image et de la nature est, à chaque fois, toujours plus enthousiasmant et vivant.

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Stages photo

Stages photo proposés lors du festival :
  • La composition de l’image ;
  • Classement et bases de post traitement de vos images.

Galerie

Le grand Paradis 

Pierre Boillaud

Pierre Boillaud B

Pierre Boillaud

Photographe

Biographie

L’essentiel de mes photos animalières sont prises en Côte d’Or en Val de Saône dans un rayon de 20 kilomètres autour de mon village. Je photographie à l’affût ou à l’approche, me camouflant au maximum, souvent en position couché et je peux attendre ainsi pendant de longues heures, mais quelle récompense quand je peux déclencher ou simplement observer la faune.

Mon but en tant que photographe est de faire découvrir la faune et la flore pour montrer à tous, ce monde caché aux portes de nos maisons, dans les buissons, dans les bosquets. Partager ma passion de la nature pour que tout le monde apprenne à la respecter. On aura toujours plus de mal à détruire ce que l’on connait.

J’essaie de progresser parmi elle en créant le moins de dérangement possible, je profite ainsi de ses bruits, de ses odeurs et de ses lumières. J’ai le plaisir de voir grandir un renardeau, un daguet devenir un cerf majestueux…

Partir le matin de bonne heure quand tout le monde dort encore à la maison, rentrer tard le soir pour capter les derniers rayons de soleil, ou sortir sous une pluie battante afin cette fois-ci d’y sentir toutes les odeurs.

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 Gueule d’amour

Fédération Photographique de France

Fédération Photographique de France

Fédération Photographique de France

Fédération comptant plus de 9500 Photographes

Biographie

La Fédération Photographique de France se sont plus de 9500 Photographes, répartis sur tout l’hexagone dans des centaines de Photo-Clubs et qui ont fait le choix de s’affilier pour bénéficier des nombreux avantages comme :

  • Des formations de qualité.
  • Des rencontres d’information avec les plus grandes marques.
  • Des conditions et des promotions réservées aux Adhérents.
  • Des analyses d’images commentées.
  • Une carte accréditive « Photographe-FPF » et ses privilèges.
  • La réception de bulletins de liaison et d’une revue de qualité.
  • Des voyages photographiques.
  • La possibilité de participation à de nombreuses rencontres et concours de tous niveaux

Et bien d’autres choses encore… à voir sur le stand FPF au festival.

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Fédération de pêche de l’Ain

Fédération de Pêche 01

Fédération de pêche de l’Ain 

Biographie

Fédérant les 64 Associations Agréées de Pêche et de Protection des Milieux Aquatiques, la fédération de l’Ain rassemble environ 32000 pêcheurs qui évoluent sur un réseau hydrographique très diversifié composé de 900 kms de cours d’eau en 1ère catégorie (truites, ombres), 1300 kms de cours d’eau en 2ème catégorie (cyprinidés, carnassiers) et 1100 ha d’étangs, plans d’eau et lacs. Ses principales missions consistent en la protection des milieux aquatiques, la mise en valeur et la surveillance du domaine piscicole départemental, la coordination et le soutien des activités des AAPPMA, l’élaboration et la mise en œuvre du Plan Départemental pour la Protection du milieu aquatique et la Gestion des ressources piscicoles

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Patrick Jacquet

Patrick Jacquet A

Patrick Jacquet

Photographe

Biographie

Patrick Jacquet n’est pas né au Pays de Gex, pourtant il le connaît comme sa poche. Il n’y a pas un endroit où il n’ait posé son trépied, pas un endroit qu’il n’ait traqué avec son appareil photo. Le pays de Gex l’inspire tellement qu’il a créé une galerie de photos des 27 communes qui le composent.

Photographier l’invisible

Paradoxalement, il aime photographier l’infiniment petit. À partir d’objectifs photos un peu sophistiqués et de techniques spéciales de prises de vue, il capte ce que l’œil ne voit pas : une goutte d’eau à l’intérieur d’un cactus, un détail de pollen sur une fleur.

La technique de la visite virtuelle

Lorsqu’on lui fait remarquer que sa quête, en tant que photographe, c’est de capturer, grâce à la technique, ce qui nous échappe, il sourit. Et de montrer une série photos appelée « Visions 360 », série qui lui a ouvert les portes des plus grands salons de France dont le prestigieux festival photo de Montier En Der en novembre dernier. On va encore plus loin. On y voit des arbres, des paysages comme on en a jamais vu.

Transformer le réel pour mieux l’appréhender

Normal. Le champ visuel humain a un angle de vue de l’ordre de 120°et les photos en question de 360°. Cela déroute forcément. Mais c’est très beau.

L’astuce : faire une série de 60 à 70 photos, en déplaçant chaque fois l’angle de vue. L’informatique fera le reste : assembler ces dizaines d’images pour ne faire qu’une seule vue.

Patrick Jacquet est passionné et passionnant. Intriguant même.

Pourquoi cet homme, qui a travaillé pendant des années aux États-Unis, éprouve-t-il cette attirance vertigineuse pour notre région ?

Photographier le Pays de Gex sous tous les angles, s’approprier ses paysages, à travers « ses petits bidouillages » de génie, est-ce sa manière à lui de s’ancrer quelque part ?

Et cette volonté féroce de déformer le réel pour mieux le donner à voir n’est-elle pas finalement le propre de l’artiste ?

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Galerie

 Vision 360°

Pôle Grands Prédateurs

Pôle Grands Prédateurs

Pôle Grands Prédateurs

Association

 

Patrice Raydellet est le président du Pôle Grands Prédateurs. Il est aussi présent sur le festival en tant que cinéaste pour nous présenter le film « Sentinelle de troupeaux » (voir sa fiche du portfolio).

Objectifs et actions

Le Pôle Grands Prédateurs Jura a été créé dans le but d’accompagner le retour des grands carnivores (Lynx, loup) dans le Massif jurassien.
Face à la méconnaissance de ces espèces et aux risques potentiels qu’elles peuvent représenter pour les éleveurs jurassiens, nous avons privilégié 3 actions prioritaires :

La communication

L’apport de connaissances est essentiel si l’on souhaite démythifier les grands prédateurs et transformer l’image négative qui leur colle aux pattes en une interprétation objective.

La protection des troupeaux

Le retour d’espèces susceptibles de créer des dommages ne doit pas se faire au détriment des éleveurs. Il existe maintenant différents moyens de préserver le bétail des attaques. La mise en place de chien de protection est sans doute la plus sécurisante. À cet effet, nous avons créé un pôle chiens de protection « made in Jura » pour que les éleveurs jurassiens bénéficient de chiens de souche jurassienne.

Les formations

Le protocole éducatif que l’éleveur doit assurer à un chien de protection n’est pas du tout celui qu’il peut dispenser à un chien de conduite, type border. Une formation préalable est donc indispensable. En collaboration avec le syndicat ovin franc comtois et la chambre régionale d’agriculture de Franche-Comté, le PGPJ organise depuis 10 ans dans le Massif jurassien des formations à destination des éleveurs et des partenaires (chambre régionale d’agriculture, DDAF 25 et 39, ONCFS 39, Parc naturel régional du Haut Jura). La formation dure 2 jours dont une demi-journée est programmée sur une estive de l’éleveur référent du PGPJ avec le troupeau et les chiens de protection. Ces formations sont dispensées par Jean-Marc Landry, éthologue-spécialiste du chien de protection, conseiller scientifique du PGPJ.

 

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