C’est par évidence et nécessité que je peins des oiseaux depuis de nombreuses années. Quoi de plus naturel et de plus humain, que de prendre quelques aquarelles et quelques pinceaux pour reproduire ce que l’on voit. Cette pratique se fait depuis la nuit des temps et le but en reste inchangé. Avec discrétion et modestie j’ai le devoir, en tant qu’aquarelliste, de définir les contours de ces êtres fragiles avec une fidélité rigoureuse. Je dépasse leur limite lorsqu’ils m’y invitent, mais je ne transgresse jamais leurs règles. Dans un univers où le moindre battement d’aile se fait avec art et goût, où la plus petite éclosion s’effectue avec une subtilité unique, quelques coups de pinceaux ne peuvent prétendre les égaler… Ils sont les maîtres d’œuvre les plus accomplis de notre univers… Ils sont l’harmonie achevée de leur espèce.
Je vis en montagne, dans un lieu très isolé, et toute mon énergie se structure autour de cette vie sauvage si fragile et si urgente à préserver.
Je fais très peu d’exposition, très peu de publicité également, mais parfois l’envie de partager mon travail d’aquarelliste, de poète et de sculpteur avec des personnes passionnées de nature me pousse hors de mes montagnes.
Pôle grands prédateurs
Le Pôle Grands Prédateurs est une association jurassienne, basée à Lons-Le-Saunier, œuvrant depuis 2007 à l’amélioration de la cohabitation entre grands prédateurs et activités humaines. Le PGP mène de nombreuses actions de sensibilisation (conférences, animations scolaires et grand public, expositions, participations à divers évènements…), assure une assistance technique aux éleveurs (placement de chiens de protection…), organise tous les deux ans un festival unique en France entièrement dédié aux prédateurs à Lons le Saunier, réalise des documentaires pédagogiques, propose des sorties à ses adhérents et des séjours découverte/photo à l’étranger (Abruzzes, Andalousie), participe à de nombreuses commissions en relation avec les services de l’État…
Depuis 2016, le Pôle Grands Prédateurs développe en priorité des actions d’information et de sensibilisation envers les prédateurs, espèces encore trop souvent méconnues et décriées alors qu’elles sont indispensables au bon équilibre des écosystèmes.
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« Vous avez dit prédateurs ? » (35′) + débat vendredi 16h30
Le film présenté lors de l’édition 2020 du festival Nature Ain, « Vous avez dit prédateurs ? », est le deuxième documentaire réalisé par le Pôle Grands Prédateurs. Le premier « Sentinelles des troupeaux », a été présenté lors d’une édition précédente du festival.
« Vous avez dit prédateurs ? » est un documentaire réalisé dans le cadre des actions de sensibilisation du Pôle Grands Prédateurs. C’est un support de communication pour l’association afin de présenter le thème de la prédation et le rôle indispensable joué par les prédateurs dans la nature.

ONF

Acteur majeur de la filière forêt-bois, l’Office national des forêts (ONF) rassemble plus de 9 000 professionnels. En Métropole et en Outre-mer, l’ONF gère près de 11 millions d’hectares de forêts publiques appartenant à l’État et aux collectivités territoriales.
La forêt française est un écosystème aux ressources multiples. Chaque jour, nos équipes entretiennent, développent et renouvellent ces espaces avec, au cœur de leurs actions, trois objectifs indissociables : répondre aux besoins des hommes grâce à la production de bois, préserver l’environnement et accueillir le public.
Acteur majeur de la transition écologique et du développement durable, l’ONF met ses compétences à disposition de L’État, des collectivités, mais aussi des entreprises et des particuliers. Son ambition : faire des forêts et des espaces naturels un levier essentiel du développement des territoires et contribuer à leur croissance économique.
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Marteloscope
- Vendredi 17 Septembre de 14h00 à 16h00 (20 places)
Dans le cadre du Festival de Nature de l’Ain, L’Office national des forêts, vous propose de découvrir le métier de forestier avec des exercices grandeur nature au marteloscope, situé à proximité du col de la Berche en forêt communale d’Hauteville. Comme un vrai technicien de l’Office national des forêts, analysez la forêt puis choisissez les arbres à récolter avant de découvrir l’impact de votre intervention sur l’économie locale, la biodiversité, le renouvellement de la forêt. Au cours de cet atelier interactif et ludique de martelage, un technicien de l’ONF vous expliquera avec passion toutes les facettes de son métier.
Le réchauffement climatique, les coupes de bois sanitaires, et après ?
- Samedi 18 Septembre de 16h00 à 17h00 (20 places)
- Samedi 18 septembre de 17h00 à 18h00 (20 places)
L’ONF vous propose une visite en forêt de Cormaranche pour vous montrer l’ impact du réchauffement climatique, les coupes de bois sanitaires, et engager une réflexion sur l’après ?

Gregory Odemer
Né en 1978 dans la patrie du Cognac, du pineau et des charentaises, mes parents m’ont très vite fait prendre goût dès mon plus jeune âge, hiver comme été, à la nature en général et à la faune montagnarde plus particulièrement. Ainsi, les périples à travers les montagnes de France seront légions et laisseront au gamin que j’étais, des souvenirs impérissables. A cette époque, jumelles et appareil photo font alors partie intégrante de tout bon sac à dos bien pensé.
Cependant de longues études très prenantes m’obligent à laisser un temps cette passion pour la nature et les animaux. Une fois mon doctorat en poche, mon parcours professionnel s’oriente alors vers un poste d’enseignant-chercheur en région toulousaine. N’ayant toujours que très peu de temps à accorder à la photographie, je bénéficie néanmoins de l’avantage de ne plus être trop éloigné de mes chères montagnes dans lesquelles j’essaye désormais, autant que faire se peut, de déambuler. Mes débuts en photo numérique animalière remontent donc au début de l’année 2006 au cours de laquelle je fais mes premières armes de façon totalement autodidacte.
Mes sujets de prédilection sont les oiseaux et les mammifères pyrénéens. J’aime également pouvoir aller à la rencontre de nouvelles espèces à travers le monde même si ma préférence ira toujours aux espèces de ma région. Mes diverses rencontres me permettent également d’assurer un suivi d’espèces que je partage avec les associations locales de protection de la nature. Par le biais d’expositions et de conférences, j’essaye de sensibiliser également un maximum de personnes à la protection des espèces et de leur milieu. Je suis également membre bénévole du Réseau Ours brun assurant le suivi et la protection de l’espèce et aussi de l’association espagnole tetrao.org et de la Yellowstone association.
Je milite en ce moment à une demande de protection intégrale du Lagopède alpin en France. Les 1er contacts avec le Président de la République ont été noués ainsi qu’avec plusieurs personnes du ministère de l’Écologie.
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« Le Lagopède alpin » au Casino samedi 16h00
Les Pyrénées hébergent trois espèces de galliformes de montagne dont l’envoûtant et énigmatique lagopède alpin qui représente un excellent baromètre de l’évolution des milieux ouverts d’altitude. Grégory suit le Lagopède des Pyrénées depuis 2 ans, soit un peu plus de 250 sorties sur le terrain et 40000 photos ramenées. Il vous propose, au gré des saisons entrecoupées par ses mues, d’aller à sa rencontre et de découvrir l’un des plus singuliers oiseaux de l’avifaune française.

Marie-José Moenne-Loccoz

J’ai grand plaisir à m’immiscer dans la vie sauvage. L’observation personnelle reste au centre de ma démarche.
La sculpture est le résultat de cette impression visuelle spontanée, qui exprime le ressenti et qui, sous mes doigts, prolonge cette vision de l’animal. Ce qui m’importe, ce sont des moments furtifs lors d’un affût, en éveil, silencieuse, attentive ; c’est saisir dans cet instantané la mise en forme artistique d’un animal, d’une ombre, d’une silhouette aperçue.
De la pie bavarde au terrier de maître Renard, les chemins forestiers sont bordés de belles rencontres. C’est un sujet d’émerveillement constant, un besoin de me nourrir de cette relation étroite à la vie sauvage et, sous l’emprise de la magie, de façonner une argile vierge, de tailler une pierre pour qu’elle accueille le reflet de cette inlassable contemplation admirative. Les œuvres animalières de cette exposition sont en résonance avec l’écrivain Louis Pergaud qui a su, par ses textes, si bien pénétrer dans ce monde mystérieux qu’est la forêt et ses habitants.
MFR Anse La Petite Gonthière
La Maison Familiale Rurale La Petite Gonthière à Anse (Rhône, 69) est un établissement d’enseignement aux métiers de la nature. Le Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune et une formation spécialisante en génie végétal pour adulte sont enseignés. Ces formations sont basées sur la professionnalisation des jeunes avec des stages (alternance) et des travaux pratiques (abattage, débroussaillage, plantation de haies, génie végétal) dans les milieux naturels. Les jeunes sont aussi formés à la reconnaissance de la faune sauvage et la botanique, ainsi qu’au diagnostic écologique de rivière notamment. Une vraie école de la nature où les formateurs sont présents pour accompagner les jeunes à la réussite.
Nous proposons également une filière 4ème/3ème Orientation en alternance destinée à des jeunes souhaitant découvrir des métiers.
Porte ouverte le samedi 14 mars 2020.
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Rémi Masson
Rémi Masson est né au cœur des Alpes, à Annecy, en 1983.
Depuis plus d’une vingtaine d’années il explore les eaux douces de sa région natale pour en révéler par l’image les beautés cachées. Par choix, il plonge exclusivement en apnée.
Ses images sont publiées régulièrement dans des revues telles que GEO, BBC Wildlife Magazine, La Recherche, Der Spiegel, Le Figaro magazine, Science et Vie, Terre sauvage, La Salamandre, Plongeurs International, Alpes Loisirs…
Son travail a été récompensé par plus d’une vingtaine de prix dans des concours photos internationaux, notamment au prestigieux concours « European Wildlife Photographer of the Year » où il obtient le 1er prix catégorie The Underwater world en 2014.
Il a participé également, en tant que cadreur et/ou intervenant, à la réalisation de différents documentaires TV pour les chaines ARTE, TF1, France 5, France 4, France 3, NHK Japon, National geographic, la BBC…
Ses plongées dans des milieux souvent peu explorés sont aussi l’occasion d’en apprendre plus sur le comportement de certains poissons d’eau douce.
Il est ainsi à l’origine, en collaboration avec le chercheur Frédéric Santoul de l’Université de Toulouse, de la première étude scientifique sur le phénomène des rassemblements de silures dans le fleuve Rhône, plus importante masse de poissons d’eau douce réunis jamais décrite.
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Le retour du silure (52′)
Avec un record actuel à 2,74 m, le silure est actuellement le plus gros poisson de nos eaux douces. Malgré sa taille, il reste une créature encore méconnue. Ce film documentaire se propose de faire le point des connaissances scientifiques actuelles sur cette espèce mystérieuse.
Le retour du sillure
Une partie récit, qui se lit comme un roman, racontant la vie extraordinaire de Jean-Claude Tanzilli qui a consacré sa vie à la pêche et à l’étude de ce poisson.
Une partie connaissance faisant le point de tout ce que l’on sait actuellement sur le plus gros poisson de nos eaux douces, résultat de 3 ans d’échanges avec des scientifiques du monde entier et de 15 ans de plongée avec les silures un peu partout en France.
Gaël Mange
Média d’éducation environnemental, créé en 2010 par Gaël Mange, vidéaste et Teddy Secq, photographe, Le Cerf Pirate milite pour une faune sauvage libre et respectée.
A une époque où l’humanité se perd dans les artifices d’un monde dirigé par le profit et les lobbys, il est devenu indispensable de renouer contact avec la Nature.
Nos sociétés, dites modernes, sont anthropocentrées et dans un désir infini de croissance se jouent du vivant. Alors que les prédateurs naturels sont en ligne de mire, il est devenu urgent de changer radicalement la gestion de nos derniers territoires sauvages, en redonnant du sens à la cohérence de nos écosystèmes, meurtris, pour une histoire de profits.
La compréhension des écosystèmes et leur préservation, dans toute leur complexité, doit être radicalement au centre des préoccupations humaines car l’enjeu est la survie de l’humanité.
Par la production de films, d’expositions photos et de débats, Le Cerf Pirate propose une autre vision pour la gestion du vivant et la préservation des espaces naturels.
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BRAME DANS LE TERRITOIRE DES LOUPS (28′) : Samedi 14h00
Une aventure en montagne où le cerf côtoie le loup. Face à l’immensité, à la solitude, et au contact du sauvage, une réflexion sur la responsabilité des hommes s’engage. Ce film est un appel à la résistance pour la liberté du sauvage.

Brame en Périgord (26′) : Dimanche 14h30
Depuis la nuit des temps, la mémoire de l’Homme s’est construite avec le Cerf, et aujourd’hui encore, résonne le brame en Périgord, comme au temps des premiers Hommes.
Je suis comme eux, hypnotisé par cet animal.
Et si j’avais vécu à cette époque, sans doute aurais-je gravé cette histoire.
Celle du grand Cerf des Chênes, messager du respect immortel, que l’on doit vouer, à la Nature Sauvage.
Ce film a été réalisé en milieu sauvage et ouvert, dans le respect de la quiétude des animaux.

Ligue pour la protection des oiseaux

L’équipe de la LPO de l’Ain avec Allain Bougrain-Dubourg

L’annuaire de la LPO dans l’Ain : Lien internet
Qui sommes-nous ?
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Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus) – Crédit photo : Louis Marie Préau
Forte d’un siècle d’engagement avec plus de 45 000 adhérents, 5000 bénévoles actifs, 400 salariés sur le territoire national et d’un réseau d’associations locales actives dans 79 départements, la LPO est aujourd’hui la première association de protection de la nature en France. (Consultez la carte du réseau d’associations locales LPO)
Elle œuvre au quotidien pour la protection des espèces, la préservation des espaces et pour l’éducation et la sensibilisation à l’environnement.
Elle est le partenaire officiel en France du réseau BirdLife International (120 représentants et près de 2,8 millions d’adhérents dans le monde).
La LPO a été créée en 1912 pour mettre un terme au massacre du macareux moine en Bretagne, oiseau marin devenu, depuis, son symbole. Elle a été reconnue d’utilité publique en 1986. Elle est dirigée par Yves Verilhac et présidée par Allain Bougrain Dubourg.
Protection des espèces
La LPO met en œuvre des plans nationaux de restauration d’oiseaux parmi les plus menacés de France, coordonne des programmes européens de sauvegarde d’espèces et gère la réintroduction d’oiseaux menacés.
L’association participe à de grandes enquêtes nationales et internationales. Elle propose à l’État, aux collectivités régionales et locales, son expertise sur le patrimoine naturel, et concourt ainsi à la protection d’espèces et d’habitats menacés, notamment lors de projets d’infrastructures.
La LPO accueille chaque année des milliers d’oiseaux blessés, tombés du nid ou mazoutés dans ses centres de sauvegarde.
Préservation des espaces
Avec son réseau de délégations, la LPO est l’un des principaux conservatoires nationaux d’espaces naturels, notamment en zone humide, dont elle est un des gestionnaires historiques majeurs. Elle gère plus de 20 000 hectares de milieux naturels répartis sur 130 sites dans 21 régions françaises, dont 15 000 ha en réserves naturelles terrestres et maritimes, et 1 350 ha en propriété.
La LPO offre l’opportunité aux particuliers, aux associations et aux collectivités d’inscrire leurs terrains dans le réseau des Refuges LPO, premier réseau français de jardins écologiques en faveur de la biodiversité. Depuis sa création, plus de 19 491 Refuges ont vu le jour sur plus de 30 000 ha. Grâce à ce réseau, il est possible d’accueillir la faune et la flore, tout en apprenant à réduire son impact sur l’environnement et jardiner nature.
La LPO bénéficie de l’agrément « Protection de l’environnement », ce qui lui permet de porter plainte et de se constituer partie civile contre les infractions aux dispositions législatives relatives à la protection de la nature et de l’environnement, par la biais de sa Mission juridique.
Éducation et sensibilisation
Acteur essentiel de l’éducation à l’environnement, la LPO bénéficie de l’agrément « Éducation Nationale », de l’agrément « Jeunesse et Éducation populaire » ainsi que de l’agrément au titre de l’engagement de Service Civique . Elle propose à tous les publics, et plus particulièrement aux scolaires, des ateliers, des visites guidées, des conférences, des expositions… Ainsi, chaque année, plus de 5 000 animations ou programmes éducatifs sont proposés aux scolaires, soit à plus de 100 000 enfants par an.
Par ailleurs, la LPO développe une activité de tourisme de nature dans les régions. Toute l’année, elle accueille le public dans de nombreux sites naturels comme les réserves ou les cols de migration. Cette offre est présentée dans une vingtaine de guides régionaux de sorties nature et un catalogue national de séjours nature. La LPO diffuse des informations auprès des médias dans un souci de vulgarisation scientifique et édite ses propres revues : L’OISEAU magazine, l’OISEAU MAG junior, Rapaces de France et Ornithos. Elle dispose d’un service conseils pour les particuliers et les collectivités.
Chiffres clés
- 45 000 membres
- Environ 5 000 bénévoles actifs
- Présence dans 21 régions et 79 départements, 7 centres de sauvegarde et 13 réserves naturelles nationales et 10 réserves naturelles régionales
- Plus de 5 000 animations ou programmes éducatifs proposés aux scolaires
chaque année à plus de 300 000 personnes, dont 80 000 scolaires. - 139 actions en justice pour faire sanctionner les atteintes à la biodiversité
- Des milliers d’oiseaux blessés ou mazoutés accueillis chaque année dans les 7 centres de sauvegarde
- Environ 19 000 abonnés à la revue trimestrielle L’OISEAU magazine, 6 700 au Hors-Série Rapaces de France, 2 000 à L’OISEAU MAG junior, 2 800 à Ornithos.
Dossier de Presse
Bernard Lorain
Retraité du bâtiment, âgé de 71 ans je me suis remis à la photographie depuis 6 ans grâce à une amie.
Tout naturellement la photo nature s’est imposée à moi, faune, flore et un peu de paysage.
A l’affût portable ou fixe ou en billebaude, j’aime être en contact avec la nature et faire des rencontres avec les oiseaux ou la faune sauvage. La Champagne est mon principal terrain de jeu mais aussi le Jura, la Camargue et la baie de Somme.
Mes sujets de prédilection sont les oiseaux mais je présente ici une série sur les écureuils à l’entrée de l’hiver, ces animaux étant très photogéniques et sympathiques. Tous ces clichés sont de cette année 2019 dans un affût fixe.
Je fais aussi un peu de macro mais je suis moins à l’aise dans ce domaine.
Je suis organisateur par ailleurs du festival de Bouvancourt, dans la Marne, en temps que responsable technique.
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Claire Lardanchet
Claire Lardanchet, passionnée de dessin depuis toujours.
Au fil des années, les crayons ont fini par s’enraciner dans mes doigts, l’encre de Chine coule dans mes veines et l’aquarelle me permet de voir la vie en couleur. Après deux années passées à l’école Emile Cohl à Lyon, je suis ensuite partie en Histoire de l’Art pour apprendre ce qu’avaient fait les grands maitres des époques précédentes.
Études terminées, je décide de partir découvrir le monde et plus particulièrement l’Amérique du Sud. Ces voyages remplissent mes yeux de couleurs, et mes carnets de croquis d’ambiances voyageuses. En 2017, je pars au Chili dans le but de réaliser un carnet de voyage en vue d’être édité, un projet ambitieux qui aboutira malgré de nombreux changements du projet initial. Le carnet, édité en petit tirage, regroupe dessins naturalistes, dessins de ville mais aussi rencontres et expériences de volontariat entre Chili et Argentine.
De retour en France, entre deux voyages au Maroc puis en Thaïlande, je m’établis à Die dans les montagnes du Vercors. Mes journées sont désormais rythmées entre le dessin et les saisons agricoles.
Curieuse et passionnée par les voyages et les nouvelles rencontres, mes sources d’inspirations sont donc multiples : le monde, la foule, la nature, le mouvement, un regard qui anime la vie…
Côté technique, n’étant pas une grande adepte des outils informatiques et numériques pour ce qui est du dessin, toutes mes réalisations sont sur papier ou toile. Je n’ai pas de techniques de prédilection, j’aime mélanger les médiums et les supports. Aquarelle, gouache, stylo bille, gravure, crayons de couleur, marqueur, encre de Chine ou collage sont au rendez-vous.
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Audrey Labrot
Née en 1976 à Bourg en Bresse, je vis actuellement dans le pays de Gex, au pied du Jura.
Autodidacte, mon travail a évolué dans le temps, façonné et enrichi par les expériences et les rencontres.
Le portrait est devenu peu à peu mon sujet de prédilection. Apprendre à connaitre au mieux mon sujet, l’observer et capter tous les moindres détails qui lui donnent toute sa singularité, élargir mon champ des connaissances en naviguant d’une information à l’autre et surtout …s’émouvoir.
Face aux problématiques environnementales et sociales de notre époque, le désir d’orienter mon travail sur un chemin plus engagé, m’ont permis de trouver ma propre voie, parfois linéaire, parfois tortueuse, mais toujours instructive. Créer avec les moyens du bord, utiliser et détourner des objets destinés à la poubelle et pour certains, récupérés sur le bord des routes et des sentiers lors de mes promenades. Fin de vie, obsolescence, inexploitables, autant de raisons qui les rendent insignifiants, sans valeur. pourtant, ils sont partout, ils nous submergent. Attirer l’œil sur tous ces objets que nous jetons si facilement, les combiner entre eux, les marier avec des matières naturelles (débris de végétaux, plumes…) et sensibiliser par la même occasion sur le vivant en réalisant un travail sur le thème de la nature, du vivant. Dessin, peinture, sculpture, difficile de choisir, une activité venant en compléter une autre, chacune m’apportant son lot de satisfactions et de défis à relever.
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- expositions avec l’association Artis’club à Thoiry(01) en novembre 2014, 2015, 2016
- salon des créateurs de Gex(01) en novembre 2017
- salon des métiers d’art de Bourg en Bresse(01) du 22 au 25 novembre 2019
- exposition collective à la galerie François Fontaine, à Satigny (Suisse) du 28 novembre au 22 décembre 2019