Jean-Pierre Vaux

Jean-Pierre Vaux

Artiste

Biographie

Sculpteur avec du bois de récupération qui vient des forêts du plateau d’Hauteville-Retord d’ou je suis natif.

Galerie

Le bois …

Claudine et Philippe Thimister

Claudine et Philippe Thimister

Photographes

Biographie

Claudine et Philippe Thimister sont un couple de photographes amateurs qui partagent les mêmes passions pour la nature et les voyages. Ils sont engagés dans diverses associations de protection de la nature, telles que Natagora, le Cercle des Naturalistes de Belgique.
Le Lac Baïkal, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, mesure environ 600 km de longueur, 2100 Km de rives très peu peuplées, soit 3,15 millions d’hectares. Sa profondeur est de 1642 mètres. Contenant 20 % des eaux douces de la planète, il en est le plus grand réservoir. Les parcs nationaux et les réserves naturelles occupent la plupart du littoral.
En hiver, l’épaisseur de la surface gelée atteint 1 à 2 mètres. Cette glace peut tolérer des camions jusqu’à 10 tonnes, mais parfois des véhicules peuvent tomber dans les profondeurs.
La glace a des motifs différents selon les endroits du lac, l’eau y gèle couche par couche. Elle est si transparente que l’on peut voir le fond jusqu‘à 40 m. de profondeur. Vous pouvez tout voir jusqu’au fond: poissons, pierres vertes, plantes et golfe bleuâtre.
Dans certaines parties, la glace est lisse comme un miroir.
On a l’impression de marcher sur l’eau.
Beaucoup de voyageurs s’y déplacent sur des patins, des bicyclettes ou des traîneaux. Certains d’entre eux marchent pendant plusieurs centaines de kilomètres et dorment dans des tentes sur la glace. C’est un endroit merveilleux, très atmosphérique.
La glace craque tout le temps. Lorsque le froid est très fort, les fissures divisent la glace sur différentes zones. La longueur de ces fissures est de 10 à 30 km, et leur largeur peut atteindre 2 à 3 m. Ces fissures se produisent chaque année, approximativement toujours dans les mêmes zones du lac. Ses craquements rappellent le tonnerre ou un coup de fusil. Grâce aux fissures, les poissons du lac ne meurent pas de manque d’oxygène.
Des bulles, prenant de belles teintes blanches, se développent dans la glace à partir du méthane gazeux qui est produit par les algues.
La seule rivière qui coule du lac est Angara. 336 autres cours d’eau se jettent et gèlent dans le lac. Les ours descendent ces cours d’eau, les phoques endémiques se réfugient dans les estuaires du nord, le lac devient un endroit enchanteur, fabuleusement lumineux. L’esturgeon y est convoité avec avidité pour ses œufs, son caviar, et les collines ainsi que les montagnes qui le bordent fourmillent d’une vie encore plus riche.
La paix au cœur du lac est une chose qui se vit et se dévore, la glace comporte beaucoup d’énigmes, c’est un des plus beaux endroits du monde.

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Galerie

Un jour, sur le lac gelé…

Jean-Pierre Thill

Jean-Pierre Thill

Photographe

Biographie

Je me suis intéressé à la photo à partir de juin 2006.
J’ai alors acheté mon premier reflex numérique. L’âge avançant, je n’avais pas trop de temps à perdre, j’ai donc réalisé divers stages pour m’initier tant au maniement de l’appareil qu’aux techniques minimales de prise de vue et au traitement de l’image.
En 2009, je réalise ma première exposition. Le succès obtenu m’encourage à poursuivre. Je côtoie le plus souvent dans ces dernières des gens extraordinaires de sympathie, de simplicité, d’humilité et là est mon plaisir.
Je me suis très vite passionné pour la macro et la proxi-photographie. D’abord pour le plaisir de découvrir et de faire découvrir toutes ces merveilles que peu de gens voient : un monde extrêmement varié, fragile, coloré et d’une grande beauté. Le regard se perd dans la lumière des couleurs, dans l’intimité d’une fleur. On s’éprend de la magie d’un lieu, on se laisse surprendre par la présence discrète et furtive des petites vies qui nous entourent.
Lorsqu’on regarde de très près, notre perception change. La macro est un moyen de perdre nos repères et donc de modifier notre point de vue sur les choses.
Après un break imposé de quelques années et l’encouragement de quelques amis, je retrouve ma passion avec parfois une approche plus ludique et créative d’éléments de la nature. Cela sans abandonner mon attrait pour la flore et la petite faune qui n’ont jamais été autant menacées et qu’il convient plus que jamais de protéger.
J’ajouterai que je n’ai aucune prétention hormis celle du partage.

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Bienvenue chez les aigrettes

Jean Schatt

Jean Schatt

Naturaliste

Livre

La Gélinotte des Bois : Biologie – Éco – Éthologie

Cette œuvre est le fruit de toute une vie d’homme des bois et de chercheur, résultat d’observations méthodiques et minutieuses. Elles ont été concrétisées dans des carnets de notes prises sur le vif, ainsi que des fiches spécialement conçues et utilisées pour des points clés, tel que : le régime alimentaire, la reproduction, la prédation. La durée de la recherche (35 ans) et le nombre important des relevés ont permis de déboucher sur des constats parfaitement démontrés. Jean SCHATT peut expliquer les attitudes comportementales d’un oiseau plutôt difficile à observer, et reconnu comme assez secret. Il ouvre des aspects mal connus de l’écologie et de l’éthologie de l’oiseau. En tout cela, il est un novateur. Ancien chargé de mission dans le cadre de l’enquête nationale sur les Tétraonidés. Ancien chargé de la formation professionnelle sur la Gélinotte des bois, pour les personnels techniques de l’ONF de Franche-Comté et des Vosges. Intervenant dans les colloques sur le Grand Tétras, nationaux et internationaux. Ancien chargé de mission dans le cadre de la réintroduction de la Gélinotte : Parc naturel régional des Vosges du Nord et Parc national des Cévennes, Jean SCHATT a déjà publié un certain nombre d’articles : Revue forestière française (1981 et 1991), Revue ornithologique ALAUDA, 1991 à 1995, Rencontres jurassiennes, 1997. Cet ouvrage reprend les thèmes déjà traités, mais surtout y ajoute et développe ceux restés en attente sur l’écologie et l’éthologie de l’oiseau. L’auteur fait des comparaisons avec les publications les plus proches géo-climatiquement. Il termine par des propositions de mesures précises, en vue d’essayer de stopper le processus alarmant de régression, car Jean SCHATT estime qu’un certain nombre de mesures prises sont inadaptées et d’autres absentes. Dans cet objectif, il fait un parallèle avec la poule du Grand Tétras. Son expérience multiple de naturaliste, chasseur et piégeur, enfin forestier de terrain, lui permet d’avoir une vue élargie sur le sujet. Jean SCHATT est malheureusement pessimiste et l’avait annoncé officiellement dès 1995/97, il y a 20 ans déjà.

Franck Rollier

Franck Rollier

Artiste

Biographie

Ma formation ne prédisposait pas à ce que l’on trouve aujourd’hui dans mon travail , et l’élève d’école nationale des beaux arts de Dijon, à tendance très contemporaine, s’étonnerait aujourd’hui…Cependant, souvent lassé par un enseignement iconoclaste, je trouvais déjà refuge dans la salle François Pompon du Musée des Beaux Arts de Dijon, ou bien dans la crypte de St Bénigne, à scruter les chapiteaux romans aux ornements de chouettes, de corneilles etc….
Dans les années 2000, je me suis remis au travail des lavis et le sujet des oiseaux est devenu rapidement prépondérant. Ce n’étaient au départ que des copies d’images de livres et magazines. J’étais loin de me douter alors de la diversité qui se trouvait à portée de regard, juste là sous la main. Et puis….je suis sorti…et ce fut la magie des premières fois ! Le premier Martin Pêcheur qui croise votre route, le premier courlis, le râle d’eau, la mésange rémiz, le faucon Kobez, le héron Crabier, etc : je pense avoir eu beaucoup de chance dans mes observations. Il faut dire que j’étais bien entouré dans ces sorties, car la fréquentation du milieu naturaliste est riche de rencontre, avec des artistes qui ont su m’initier à l’observation. Je pense notamment à Cyril Girard, grâce à qui je découvrais la Camargue…
Aujourd’hui, je me balade dans la Dombes, les bords de Loire, du Rhône…et chaque endroit de France ou d’Europe où le vent veut me porter. Je fais des croquis et des photos que je reprends ensuite en atelier. On me dit proche de la peinture asiatique, c’est en tout cas une manière naturelle de peindre que je n’ai pas cherchée. Le plaisir du lavis est irremplaçable. Le dialogue entre l’eau, le papier, le temps long et l’immédiat est un cocktail mélangé de risque et de pur bonheur. La calligraphie tient une large part dans ce travail. Une dame me dit un jour que « j’écrivais les oiseaux »,j’essaye en tout cas de parler de vivacité, d’énergie dans le monde animal, et de la vie elle même.
Souvent plusieurs mois séparent le croquis d’observation, la photo et la réalisation sur papier. Il est même de plus en plus fréquent que je fasse plusieurs études à l’aquarelle ou à l’encre avant d’arriver au résultat escompté. Je me souviens d’un étourneau qui m’a demandé un an d’essais différents avant que je ne trouve l’expression que j’attendais, et en une heure ce fut achevé!…
C’est sans doute cette vivacité du médium qui m’enchante, celle que l’on peut voir chez Turner, Sargent, Fortuny, mais aussi Shi Tao, Zhao Shao’ang, Qi Baishi, Karl Martens, Morten E Solberg…ou simplement le charme des univers d’Andrew Wyeth, Robert Hainard ou Hiroshige.
J’expose aujourd’hui dans de nombreux festivals et salons en France et à L’étranger.

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Galerie

Plumitif

Rivières Sauvages

Rivières Sauvages

Association

Présentation

Cascade du Brion

Avec un haut niveau de qualité écologique de ses cours d’eau dont la première rivière labellisée « Site Rivières Sauvages » en Europe, le Département de l’Ain porte une grande responsabilité et démontre une fois de plus la richesse de son patrimoine naturel et son implication dans l’innovation. Il est engagé et signataire du premier « contrat de rivière sauvage » de France élaboré avec les gestionnaires publics et privés du bassin versant de la Valserine.
Seulement 7 % des masses d’eau peuvent être considérées comme en « très bon état écologique » sur la seule base des critères retenus par les Agences de l’eau. C’est très peu. Un label spécifique « rivière sauvage » a été créé pour reconnaitre et valoriser les cours d’eau les plus préservés. Le premier d’entre eux, la Valserine, est dans l’Ain. Depuis l’Arvière (& le Groin et ruiseau de Malagériaz) est labellisée le 21 Mai 2019…

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L’Association du Réseau des Rivières Sauvages est heureuse de vous faire découvrir nos « Sites Rivières Sauvages » : photos de nos Rivières Sauvages, de faune et de flore, des mini-films, des toiles géantes peintes par les « enfants des Rivières Sauvages » et bien d’autres trésors vous attendent !

Vidéos

L’Arvière site Rivières Sauvages

rivieres-sauvages

Galerie

Rivières Sauvages de l’Ain

Laurent Renaud

Laurent Renaud & Dominique

Photographes

Biographie

Il faut regarder ce qui est beau et qui existe encore …
Nous sommes enseignants et habitons Douai dans les Hauts de France.
Depuis 1982 nous partons très régulièrement photographier la faune africaine. Les parcs naturels et les réserves de la Tanzanie, du Kenya, de l’Afrique du Sud, du Botswana et de la Namibie sont nos destinations préférées.
Régulièrement, des groupes de voyageurs partent en notre compagnie, à la découverte des fabuleuses ambiances du continent africain. Nous leur faisons partager notre passion pour les animaux et la photographie.
Depuis plus de 30 ans nous arpentons la réserve de Masaï Mara au Kenya ; une des rares réserves africaines où la population de lions est encore viable.
Au cœur du parc vit la bande de lions des Marais : la Marsh Pride.
Portraits, ambiances, scènes de vie, nos images illustrent quelques moments forts de la vie du lion.
Après plusieurs exhibitions et conférences dans les Hauts de France, nos photos ont été présentées au festival de Montier en Der en 2009 et 2011 ainsi qu’à Namur en 2010 dans le cadre d’un travail collectif « Afrique Terre de Couleurs ».

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Conférence

Les lions du marais : le samedi à 18h00 au Casino

Depuis 1982, nous partons très régulièrement photographier la faune africaine. Ainsi, depuis plus de 30 ans nous arpentons la réserve de Masaï Mara au Kenya ; une des rares réserves africaines où la population de lions est encore viable. Au cœur du parc vit la bande de lions des Marais : la Marsh Pride. Portraits, ambiances, scènes de vie, nos images et vidéos illustrent quelques moments forts de la vie du lion.

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Les lions du marais

Christophe Ravier

Christophe Ravier

Photographe

Biographie

Le pays Masai est une destination merveilleuse pour de nombreux photographes animaliers. Le Kenya résonne en moi comme un lieu magique. Je suis attiré par les plaines infinies peuplées d’animaux libres dans un écosystème naturel. Croiser le regard d’un fauve ou d’un éléphant dans son milieu fait vibrer le lien qui nous relie à l’animal, au brut, à l’authentique. De cette sensation naît le besoin d’y retourner pour ressentir la vibration que certains appellent avec bienveillance le virus de l’Afrique !

L’exposition « Contre-plongée dans la Savane» propose une série de portraits de mammifères avec un point de vue proche du sol, mettant ainsi notre regard à hauteur de l’animal ou en contre plongée. L’intensité du regard prend alors plus de force et l’impression piézographique renforce les textures et les contrastes pour nous montrer une faune brute et authentique. Allongé dans la savane aux côtés des lions, guépards, buffles, éléphants, hyènes et girafes, l’expérience africaine peut commencer !

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Galerie

Contre-plongée dans la Savane, sous le regard des animaux en terre Masai

Estelle Rajat 

Estelle Rajat B

Estelle Rajat

Artiste

Biographie

Estelle est céramiste autodidacte, à ce jour artisane et professeur d’atelier de sculpture.
Passionnée de mustélidés et d’oiseaux, elle s’est tout naturellement orientée vers la sculpture animalière .
Ayant grandie en montagne entourée d’animaux, elle célèbre dans ses œuvres le monde du vivant, et chacune de ses création chante l’esprit sauvage et primitif de la nature. On la retrouve sur les fêtes médiévales, les salons animaliers, mais il arrive de la croiser dans la brume, contemplative et inspirée.

Page Facebook d’Estelle :

Atelier d'Estelle

Modelage d’un animal en argile

 Animatrice d’atelier sculpture, vous accompagne sur la terre pendant une heure. Vous apprendrez comment utiliser les mains, les outils et l’eau, afin de donner vie à votre petit totem. Chacun repart fièrement avec son animal en argile. Participation 10€.

Inscription à l’accueil ou en ligne :

  • Vendredi 17 Septembre : de 17h00 à 18h00
  • Samedi 18 Septembre : de 17h00 à 18h00
  • Dimanche 19 Septembre : de 11h00 à 12h00

Galerie

Exposition sculptures Amérindien

Eric Pierre Photo Nature

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Eric Pierre Photo Nature

Photographe & Agence de voyage

Biographie

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Le froid, la neige et la nature sauvage m’ont toujours attiré. Peut-être mes racines familiales dans les Alpes et les Vosges y sont pour quelque chose …
Après des années de ski et d’alpinisme, j’ai mis le cap, dès la fin des années 90, vers le Yukon et l’Alaska dont les territoires immenses m’ont toujours attiré. J’ai alors commencé à photographier ces paysages uniques et la faune exceptionnelle qu’ils abritent.
J’ai décidé ensuite de partir dans l’Arctique Canadien, à Ellesmere, en quête du fameux loup arctique, presque inconnu à l’époque, que j’ai pu approcher grâce à mes Guides Inuits. Puis, de nombreux autres voyages ont suivi au Kamtchatka, en Colombie Britannique, dans les Territoires du Nord-Ouest Canadien et en Patagonie Chilienne où j’ai été le premier photographe français à m’intéresser au prédateur impitoyable qu’est le puma, localement appelé « lion des montagnes ». Cherchant toujours de nouveaux chalenges photographiques, je suis parti ces dernières années à la recherche de territoires encore sauvages et intacts en Australie et Namibie.
Certaines de mes images ont été récompensées à l’occasion de concours prestigieux comme le BBC Wildlife Photographer of the Year, Golden Turtle à Moscou, le Festival de Namur en Belgique, ou le concours BioPhotoContest en Italie.
Auteur-photographe professionnel, je partage aussi ces aventures avec des clients passionnés, en élaborant et accompagnant des voyages d’observation ou de photo nature, en petits groupe ou sur-mesure, toujours basés sur mes propres expériences. J’ai créé pour cela mon agence ERIC PIERRE PHOTO NATURE.

Agence de voyage : lien vers portfolio

Lien internet :
  Page Facebook :

Livre

Lumières Sauvages : lien

230 pages, 300 photos, 6 cartes, préface de Klaus Nigge, édition limitée à 500 exemplaires. Récits de plusieurs années d’aventures en quête de la vie sauvage dans les régions les plus isolées de la planète, depuis l’Arctique Canadien et l’Alaska jusqu’en Patagonie et au Kamtchatka. Découvrez entre autres le loup arctique, le puma des montagnes et l’ours esprit dans leur environnement ainsi que les lumières étonnantes qu’offre la nature dans ces milieux extrêmes

 

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Galerie

Lumières Sauvages

Rémi Pozzi

Rémi Pozzi Photographe

Rémi Pozzi

Photographe

Biographie

Photographe et formateur professionnel, accompagnateur en montagne, je suis installé dans mon pays de cœur, le Vercors depuis 1982.
J’organise des stages de formations dans le Diois et le Sud Vercors : paysages, macro photographies, animaliers, reportages et post traitements.
Chaque année, afin de renouveler et enrichir notre art photographique, je vous propose d’autres destinations : Grand Paradis, Toscane, Sardaigne, Corse, Islande, Bardenas (Espagne)……..
Passionné de photographie depuis l’âge de 15 ans, équipé de mon premier réflexe, mes photographies sont le fruit de mes déambulations au cœur d’une nature sauvage où je grandis. Pour rendre hommage à sa beauté et révéler son mystère, je cherche mon propre langage photographique. La photo nature devient une passion. Ma sensibilité s’aiguise, ma technique s’affine.
En 1982, je fais de la photographie mon métier. En 1999, amoureux des grands espaces de nature je passe le brevet d’accompagnateur en montagne et deviens formateur photo.
Professionnel de l’image depuis 37 ans, formateur à plein temps depuis ces 20 dernières années, je reste plus que jamais curieux du monde et des hommes. Mon plaisir de partager mon expérience avec d’autres passionnés de l’image et de la nature, est à chaque fois une aventure enthousiasmante, créative et merveilleuse.

Lien vers la fiche professionnelle stages et séjours y compris celui dans le Bugey juste avant le festival : lien

Lien internet :

Livre

Blanc Vercors

Ce livre (format 30×30 cm, couverture cartonnée, 86 pages), vous invite à découvrir soixante-douze clichés artistiques du Sud Vercors photographiés par Rémi Pozzi. Il en a parcouru les espaces sauvages en raquettes pour nous offrir, ici, le résultat de son regard sensible sur la nature et ses ambiances de neige.

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Galerie

Blanc Vercors

Loris Poussin

Loris Poussin

Cinéaste

Biographie

Haut-Savoyard de 24 ans je vis pour l’aventure ! Diplômé d’une licence de Géographie je sors d’un master en réalisation de documentaire nature à l’Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute (IFFCAM) où j’ai pu réaliser plusieurs films sur la faune sauvage. En première année j’ai traité une problématique agricole typique du Poitou-Charentes, l’impact des intrants chimiques sur les animaux considérés comme nuisibles. J’ai décidé de mettre en lumière la relation entre campagnols des champs et hiboux des marais et de montrer l’interdépendance qui lie étroitement ces deux espèces. Pour conclure mes années de master j’ai voulu revenir aux sources, dans mes montagnes, en évoquant un souvenir qui ne m’a jamais quitté. Quatre mois de découverte de la faune locale avec pour objectif, trouver l’hermine. Quatre mois en solitaire à en apprendre autant sur moi même que sur la nature qui m’entoure depuis toujours. Au cours de ces deux années j’ai également co-réalisé deux courts métrages, l’un sur le Parc Naturel Régional de la Brenne, Un instant dans la lumière (sélectionné à Namur 2017) le second sur les limicoles du Golfe du Morbihan, Migrer (primé à Namur 2019). Toujours en extérieur je suis passionné par le milieu montagnard depuis mon plus jeune âge et rêve de vivre de ma passion. Mon amour pour la montagne grandissant et l’expérience de mes études en réalisation me donnent le désir d’apporter au spectateur ce qu’il n’a pas la chance de voir habituellement. J’apporte un point d’honneur à l’esthétique de l’image pour émerveiller mon public et le sensibiliser à la nature.

Page Facebook :

Fim

La Leçon (22′) : Dimanche à 10h15

En montagne, il y a dix ans de ça, eut lieu une balade en famille qui me mena à rencontrer l’hermine et le cinéma animalier. Depuis ce jour, je nourris le rêve de repartir à la rencontre de cet animal dans mes Alpes natales.