Né en 2002 dans le canton de Genève, j’ai grandi dans un quartier où il y avait beaucoup de végétation. Depuis toujours, j’aime la nature et prends plaisir à l’observer. Quand j’étais petit, on m’a offert un appareil photo compact avec lequel je photographiais les plantes et les oiseaux qui se trouvaient autour de moi.
Avec le temps, cette activité est devenue une passion.
Commençant par photographier des insectes et autres arthropodes, j’ai été émerveillé par la beauté et la finesse de ce petit monde. La rencontre inattendue avec des chevreuils m’a donné envie de sillonner les campagnes de ma région. Les week-ends, je me rendais à vélo dans les forêts pour tenter de retrouver ces animaux qui m’avaient tant ému.
Après les forêts, l’acquisition d’un scooter m’a permis de découvrir les montagnes environnantes. Me retrouver seul dans ces paysages m’apporte beaucoup de paix et de bonheur et j’aimerais partager cela à travers mes images. Je garde un petit espoir que mes photos, en témoignant de la beauté de la nature, puissent susciter l’envie de la préserver.
Spadiliero Mathias
Photographe professionnel depuis bientôt 2 ans, je pratique la photographie depuis 8 ans maintenant. J’ai étudié en licence de géographie spécialisée sur la montagne, pendant 3 ans, avant de me lancer dans le monde de la photo en tant que professionnel.
Cette licence, m’a permis d’acquérir de nombreuses connaissances sur le fonctionnement des montagnes et des paysages qui nous entourent au quotidien. Ce qui est très important lorsque l’on veut expliquer le cliché d’un paysage par exemple.
Mes sujets de prédilection dans la photo, sont les animaux sauvages et les paysages (principalement dans la région Rhône-Alpes, ou j’habite) ainsi que les photos de sports de glisse (skate, snow, ski, vtt, etc…) que je pratique.
Je ne me déplace jamais sans mon appareil photo, notamment lors de mes voyages, comme pour la Nouvelle-Zélande où pendant 2 mois et demi j’ai pu photographier les paysages et la faune de ce pays merveilleux.
J’ai aussi pour objectif de devenir guide de moyenne montagne, pour pouvoir organiser des sorties en montagne et partager mes connaissances de géographe et photographe, dans le milieu montagnard. Un milieu dans lequel j’ai la chance de vivre chaque jour.
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Page Facebook :SEGUIN Cédric
Né dans la campagne franc-comtoise, j’ai grandi dans un environnement très rural dans lequel je me suis très vite passionné pour la nature et les petites bêtes qui nous entourent. Très logiquement, je me suis orienté vers des études scientifiques dans le but de devenir écologue et ainsi mieux connaitre la faune et la flore. Ayant souvent voyagé en France et à l’étranger pour le travail mais aussi pour le plaisir, j’ai pu découvrir une multitude d’espèces toutes plus originales les unes que les autres. La photographie est très vite devenue un moyen pour moi d’immortaliser ces belles rencontres et de les partager.
Petit à petit, mon regard a évolué et je suis aujourd’hui beaucoup plus sensible au côté artistique et à la composition de l’image. J’aime mettre en valeur un sujet, que ce soit dans une image très épurée ou avec une ambiance beaucoup plus graphique.
Même si je suis plus souvent occupé à photographier la faune autour de chez moi, les orchidées m’ont toujours attiré en raison de la diversité de leurs formes et de leurs couleurs. L’écologie de ces plantes est passionnante dès que l’on s’y intéresse un minimum et c’’est justement grâce à de nombreuses adaptations qu’elles occupent la quasi-totalité des milieux naturels dans le monde. En France, les orchidées sont présentes aussi bien dans les pelouses les plus sèches que dans les tourbières gorgées d’eau, que ce soit en plaine ou très haut en altitude.
« Rêve d’Orchidée » n’a pas pour but de présenter les différentes espèces d’orchidées françaises, bien trop nombreuses pour une exposition photographique mais plutôt de vous emmener dans un monde de douceur. Ces photographies aux ambiances légères, épurées, parfois oniriques vous feront peut-être, je l’espère, voyager l’espace d’un instant dans mon univers.
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Pozzi Rémi
Photographe et formateur professionnel, accompagnateur en montagne, je suis installé dans mon pays de cœur, le Vercors depuis 1982.
J’organise des stages de formations dans le Diois et le Sud Vercors : paysages, macro photographies, animaliers, reportages et post traitements.
Chaque année, afin de renouveler et enrichir notre art photographique, je vous propose d’autres destinations : Grand Paradis, Dolomites, Toscane, Sardaigne, Corse, Islande, Bardenas (Espagne)……..
Passionné de photographie depuis l’âge de 15 ans, équipé de mon premier réflexe, mes photographies sont le fruit de mes déambulations au cœur d’une nature sauvage où je grandis. Pour rendre hommage à sa beauté et révéler son mystère, je cherche mon propre langage photographique. La photo nature devient une passion. Ma sensibilité s’aiguise, ma technique s’affine.
En 1982, je fais de la photographie mon métier. En 1999, amoureux des grands espaces de nature je passe le brevet d’accompagnateur en montagne et deviens formateur photo.
Professionnel de l’image depuis 40 ans, formateur à plein temps depuis ces 23 dernières années, je reste plus que jamais curieux du monde et des hommes. Mon plaisir de partager mon expérience avec d’autres passionnés de l’image et de la nature, est à chaque fois une aventure enthousiasmante, créative et merveilleuse.
Lien vers la fiche professionnelle stages et séjours y compris celui dans le Bugey juste après le festival : lien
Lien internet :
Durant le Festival Nature Ain 2022, Rémi anime plusieurs stages (composition de l’image, …). Il organise également des séjours, dont un stage sur le Bugey tout de suite après le Festival. Vous retrouverez toutes les informations utiles (inscription, …) sur sa page professionnelle du site du Festival : lien stages et séjours.
Paysage du Bugey avec Rémi
POULARD Jacques
31 juillet 2020, arrivé à la nuit dans mon affut à la lisière d’un petit champ sur la commune de Thézillieu, plateau d’Hauteville, j’observe assez rapidement une chevrette venue brouter tranquillement à quelques mètres de moi. Soudain, elle se met à aboyer, sauter dans tous les sens en regardant fixement un point sur la droite de mon affut, le 500 mm tourne lentement sur son axe et découvre deux yeux d’or qui illuminent la prairie et scrutent le chevreuil. Première rencontre avec le lynx au cours des très nombreuses heures d’observation passées dans le Bugey et le Doubs pour réaliser ce reportage sur les chevreuils. Du plein hiver dans la neige aux chaleurs estivales pour observer le rut, j’ai tenté de rendre par mes images toute la grâce l’agilité, et la beauté de cet animal commun puisqu’il y aurait près de deux millions de chevreuils en France.
J’expose régulièrement dans les festivals de photo nature et j’ai eu l’honneur de remporter en 2019 le » grand prix » du concours photo du Festival Nature-Ain d’Hauteville-Lompnes.
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Mondie Fabienne
Passionnée de nature et de photo, je suis devenue naturellement photographe de nature…
J’ai d’abord photographié les oiseaux, pour lesquels j’ai une tendresse particulière.
Mais j’aime aussi les mammifères, les insectes, les paysages, les arbres.
La photo a d’abord été pour moi un plaisir, et l’est toujours.
Mais elle est devenue peu à peu un témoignage, depuis que l’on sait que la biodiversité est menacée , que beaucoup d’espèces ont disparu et que beaucoup d’autres sont en danger.
Mon pire cauchemar serait d’être obligée de dire à mes petits enfants, en se promenant dans des forêts devenues silencieuses: » Vous savez, quand j’avais votre âge, dès qu’on arrivait dans la forêt , on entendait plein d’oiseaux chanter. J’avais même appris à reconnaître leurs chants. c’était merveilleux ! »
Alors ne soyons pas trop pessimistes ou désespérés, parce qu’il est encore temps, pas forcément de revenir à la richesse initiale, mais au moins de préserver ce qui reste.
Mon bonheur serait que mes photos, en montrant toute cette vie de nature, servent à la protéger.
Mais pour ça, je compte aussi sur vous. Nous avons tous un rôle à jouer.
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MAGNIER Clara
Aussi loin que je me souvienne, l’observation des animaux et leur représentation m’ont fascinée me permettant ainsi de développer ma créativité ; dessinant, peignant, empruntant l’appareil photographique de mes parents, j’ai commencé à essayer d’exprimer ce qu’un animal pouvait ressentir. C’est fin 2018, sur les conseils d’une amie, que j’ai acheté mon premier reflex et suis partie à la rencontre de la faune sauvage alsacienne.
Après avoir beaucoup lu sur les animaux, je me suis naturellement orientée vers des études de biologie et suis maintenant élève ingénieur agronome dans le but de me spécialiser dans la protection de l’environnement. Observer la nature, immobile, pendant des heures m’a disciplinée. J’y ai appris la patience qu’il nous faut pour fixer un instant du vivant, sans le trahir.
Expositions :
Exposition au Festival International Nature Namur dans le cadre de la bourse jeune – octobre 2021
Eco-dialogues de la Maison de la Nature du Sundgau – juillet 2019
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Si loin, si proche
Si le chevreuil est une espèce commune en Europe, il n’en demeure pas moins unique par son charme discret. L’approcher, en silence, face au vent est la première façon de rendre hommage à sa quiétude fragile. Différentes techniques d’approches en Alsace, en Bretagne et en Suisse ont permis la réalisation de cette série de photographies en noir et blanc, témoignages d’une interrogation partagée.
Lienard Daniella et Bruno
Ayant grandi entre les Alpes et l’Auvergne, j’ai toujours aimé les grands espaces, la nature et les animaux.
J’ai appris très tôt la photographie en argentique et après une longue coupure j’ai repris depuis quelques années en compagnie de ma femme, Daniella, franco-allemande, à qui j’ai transmis le goût de la photographie.
Nous aimons voyager le plus possible à la découverte de nouveaux horizons et aiguisons notre passion pour l’observation animalière.
Nous vous proposons deux visions de nos voyages au Kenya dans la réserve du Masaï-Mara où nous avons eu un véritable coup de cœur pour cette région riche en faune sauvage et avec des lumières inoubliables.
Après 3 voyages en 2016 2018 et 2021 Nous avons conçu cette exposition qui présente les animaux de cette mythique réserve tout en noir et blanc.
Cette exposition a été présentée avec un très bel accueil du public sous le chapiteau lors du dernier festival de Montier-en-der.
Nous vous proposons aujourd’hui cette exposition dans votre festival ou nous somme des habituées depuis quelques années déjà.
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LEBERT Thierry
Originaire de Mer petite ville du Loir-et-Cher en région centre-Val-de-Loire, je découvre la photographie animalière en accompagnant mon beau-frère, cinéaste et photographe animalier dans les Hautes alpes.
J’aime photographier la nature qui m’entoure et m’immerger dans mon environnement proche.
En plus du plaisir de la rencontre avec l’animal, ce qui me rend le plus heureux c’est de pouvoir partager ces instants avec les acteurs de terrain, mes confrères et amis photographes.
Je passe la plupart du temps sur les territoires de petite Beauce et malgré l’image médiocre que l’on ait de ces grandes étendues de cultures à perte de vue j’aime montrer par mes images qu’il y a des endroits étonnants et sauvages ou la faune, grâce aux hommes vie en toute tranquillité.
Il m’arrive aussi de me rendre sur la Loire et ses rives, ainsi que sur les étangs de Sologne pour y retrouver le petit monde.
Je préside l’ACPC depuis 2014 : Association de Chasse Photographique en région Centre-Val-de-Loire.
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À plumes et à cris
Tout a commencé pendant l’été 2012 où une colonie importante de Guifettes avait élu domicile sur les plateformes de nénuphars de ce petit étang solognot de 3 hectares environ, mais je suis arrivé un peu tard et de nombreux jeunes étaient déjà presque volant …
Ce n’est qu’en 2017 que j’ai pu retourner très tôt dans l’étang et ainsi avoir la chance de suivre ce merveilleux petit oiseau, depuis son arrivée en bande importante, le début de leur installation, les apports de matériaux, les offrandes, les accouplements, la ponte et l’arrivée des poussins avec les scènes bruyantes et rapides des nourrissages.
JOUAUD Olivier
100% autodidacte, je suis entré en 2001 dans le monde de la photographie un peu par hasard en voulant capter l’attitude des toutes petites crevettes d’eau douce de mon aquarium. L’attirance de la macro ne s’est alors jamais démentie. Enrichi de mes expériences passées qui m’ont permis de découvrir les multiples facettes du travail de photographe, je suis définitivement tombé amoureux du monde du tout petit en 2016.
Depuis je m’épanouis dans un travail plus artistique et dans des univers oniriques, voire féeriques, où je crée des ambiances colorées très personnelles tout en composant mes images avec une réflexion et un œil proche de la peinture.
En 2018, j’ai sorti mon livre « Monde Invisible » avec un éditeur parisien, il a par ailleurs été préfacé par le talentueux Kyriakos KAZYRAS.
2021 devient un tournant important pour moi. Je décide enfin de passer le cap de la professionnalisation tout en décidant d’apporter mon univers artistique à la photo canine, la photo d’enfant, la photo équine (à ses prémisses) mais avec divers projets comme celui de la photo en studio mobile que je commence à mettre en place.
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JARRY-LACOMBE OLIVIER
Je me présente, Olivier Jarry-Lacombe, photographe autodidacte et globe-trotter, chasseur d’images & d’émotions à travers le monde.
Après une carrière dans la finance pendant plus de 15 ans, j’ai décidé un beau matin de changer de vie et de mettre ma famille et mes passions du voyage et de la photographie au centre de ma vie.
Cette décision et l’envie de revenir avec des images exceptionnelles m’ont conduit très vite à entreprendre de nombreux voyages autonomes au long court, en van, à travers toute l’Europe.
Ces expériences m’ont transformé. Elles ont profondément changé ma perception du monde et modifié les priorités que je souhaitais donner à ma vie.
J’ai la chance d’avoir vu mes travaux récompensés dans certains des plus prestigieux concours internationaux et je vous propose aujourd’hui, à travers mes clichés un regard sur mon travail photographique qui, je l’espère, vous plaira et vous invitera au voyage et aux frissons.
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HAAS Joan
Loin d’être conceptuelle, politique, évocatrice ou provocatrice, ma démarche photographique n’est jamais le reflet de ce que je crée, mais tout juste de ce que je vois. Ou plutôt, de ce qui m’est offert à un moment précis : les lumières, les reflets, les transparences et les matières, tout échappe à mon contrôle. Ce n’est qu’un lieu où je m’invite à un moment possiblement opportun.
Et quand enfin mon hôte se dévoile, c’est avec un immense respect que j’appuie sur le déclencheur, une manière comme une autre de remercier mon « modèle ». Naïf ? Certainement pas, car il n’est pas d’artiste plus passif et désarmé que le photographe de paysage, la nature me le rappelle à chaque fois qu’elle me force à quitter les lieux. Finalement, l’art dans la capture du paysage n’est rien d’autre que la manière dont on saisit la chance qui nous est offerte…
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Dolomiti – Sommets en lumière (Au casino le dimanche 22 mai à 16h00)
Si vous lui demandiez de dévoiler une destination évocatrice du paradis terrestre, Joan Haas pointerait du doigt le nord de l’Italie. Dans cette région se trouvent les Dolomites, terre de contrastes où les pics acérés dominent de vastes alpages, dans une parfaite alchimie de force et de douceur.
C’est à travers le viseur de son appareil photo qu’il vous invite à découvrir la majesté de ce territoire classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, sublimé par les lumières magiques du crépuscule ou les ambiances chaotiques des orages d’été
Dolomiti – Sommets en lumière est le fruit de 4 années de travail et 6 expéditions photographiques dans les Dolomites en Italie. Aujourd’hui, le livre de 120 pages qui parachève ce projet est enfin finalisé.
À travers les pages de ce livre, Joan HAAS vous invite à découvrir la majesté de ce territoire classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, sublimé par les lumières magiques du crépuscule ou les ambiances chaotiques des orages d’été. Focus sur l’incroyable esthétique des pics rocheux qui caractérisent si bien ces montagnes.