Category : Photographes 2017

Je me suis intéressé très jeune à la photographie mais ai laissé de côté sa pratique pendant quelques années par manque de temps. C’est en 2007, avec l’achat d’un premier APN que j’ai remis le pied à l’étrier et en grande partie dans la nature que ce soit en animalier ou en paysage.

La série que je vous propose est le résultat de plusieurs années à arpenter le Jura et ses étangs ou lacs au petit matin dans la brume. L’ambiance est au calme, à la tranquillité et mes images parfois monochromes, parfois plus colorées se veulent le reflet de cette “zénitude”.

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J’ai toujours été passionné par les belles images, depuis petit.

Cette fascination pour les scènes de vie sauvage fascinantes, paysages grandioses sublimés et ces images étoilées qui me faisaient voyager.

Photographe autodidacte et passionné, le virus photo m’a affecté très tôt.

Je pratique la photo plus sérieusement depuis 8 ans maintenant avec pour idée de montrer des choses que la plupart des gens ne voient ou ne prennent pas le temps de voir.

Je vis actuellement en Vaucluse, entre le massif du Luberon et le mythique Mont Ventoux.

Je me régale à parcourir également, quand je le peux également, la Camargue avec ses multiples visages et sa faune exceptionnelle, le massif du Vercors pour ses plateaux fabuleux et la chaine pyrénéenne pour son coté sauvage et grandiose.

C’est en 2013 que j’ai commencé l’astrophotographie, depuis quand les nuits sont claires, je ne dors plus beaucoup. Je vous propose une série d’image qui retracent un peu ce parcours nocturne.

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L’essentiel de mes photos animalières sont prises en Côte d’Or en Val de Saône dans un rayon de 20 kilomètres autour de mon village. Je photographie à l’affût ou à l’approche, me camouflant au maximum, souvent en position couché et je peux attendre ainsi pendant de longues heures, mais quelle récompense quand je peux déclencher ou simplement observer la faune.

Mon but en tant que photographe est de faire découvrir la faune et la flore pour montrer à tous, ce monde caché aux portes de nos maisons, dans les buissons, dans les bosquets. Partager ma passion de la nature pour que tout le monde apprenne à la respecter. On aura toujours plus de mal à détruire ce que l’on connait.

J’essaie de progresser parmi elle en créant le moins de dérangement possible, je profite ainsi de ses bruits, de ses odeurs et de ses lumières. J’ai le plaisir de voir grandir un renardeau, un daguet devenir un cerf majestueux…

Partir le matin de bonne heure quand tout le monde dort encore à la maison, rentrer tard le soir pour capter les derniers rayons de soleil, ou sortir sous une pluie battante afin cette fois-ci d’y sentir toutes les odeurs.

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Patrick Jacquet n’est pas né au Pays de Gex, pourtant il le connaît comme sa poche. Il n’y a pas un endroit où il n’ait posé son trépied, pas un endroit qu’il n’ait traqué avec son appareil photo. Le pays de Gex l’inspire tellement qu’il a créé une galerie de photos des 27 communes qui le composent.

Photographier l’invisible

Paradoxalement, il aime photographier l’infiniment petit. À partir d’objectifs photos un peu sophistiqués et de techniques spéciales de prises de vue, il capte ce que l’œil ne voit pas : une goutte d’eau à l’intérieur d’un cactus, un détail de pollen sur une fleur.

La technique de la visite virtuelle

Lorsqu’on lui fait remarquer que sa quête, en tant que photographe, c’est de capturer, grâce à la technique, ce qui nous échappe, il sourit. Et de montrer une série photos appelée « Visions 360 », série qui lui a ouvert les portes des plus grands salons de France dont le prestigieux festival photo de Montier En Der en novembre dernier. On va encore plus loin. On y voit des arbres, des paysages comme on en a jamais vu.

Transformer le réel pour mieux l’appréhender

Normal. Le champ visuel humain a un angle de vue de l’ordre de 120°et les photos en question de 360°. Cela déroute forcément. Mais c’est très beau.

L’astuce : faire une série de 60 à 70 photos, en déplaçant chaque fois l’angle de vue. L’informatique fera le reste : assembler ces dizaines d’images pour ne faire qu’une seule vue.

Patrick Jacquet est passionné et passionnant. Intriguant même.

Pourquoi cet homme, qui a travaillé pendant des années aux États-Unis, éprouve-t-il cette attirance vertigineuse pour notre région ?

Photographier le Pays de Gex sous tous les angles, s’approprier ses paysages, à travers “ses petits bidouillages” de génie, est-ce sa manière à lui de s’ancrer quelque part ?

Et cette volonté féroce de déformer le réel pour mieux le donner à voir n’est-elle pas finalement le propre de l’artiste ?

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Pascal Gadroy est né en 1966 en Picardie au cœur d’une forêt de plus de 4000 ha (à l’époque).

Quelques sorties avec mon grand-père, dans cette forêt, m’ont donné le goût de la nature, plus tard passionné de dessin et de peinture animalière, je multipliais les sorties terrains avec une prédilections pour le cerf et le renard que j’observais pour les reproduire sur les feuilles d’aquarelle.

Depuis la photographie nature a largement pris le dessus sur la peinture.

Aujourd’hui je passe le plus clair de mon temps dans les forêts des Hautes-Vosges, mais aussi à l’étranger comme l’Alaska, la Norvège, la Croatie, l’Ecosse…

Photographe installé comme artiste (je cumule peinture et photographie) mes images sont distribuées par l’agence Naturimages.

J’expose sur différents lieux depuis de nombreuses années, Tignécourt, Hauteville-Lompnes, Longecourt-en-Plaine, Saint Jean de Losne, Seichamp, Quincey, Montier en Der…

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Benoît Debruyne est né en 1980, avec pour horizon, les plaines Auboises qui s’étendant à perte de vue, et une forêt de 700 ha.

Les longues balades familiales, ont suscité mon intérêt pour ce monde sauvage qui nous entoure.

Je me souviens d’ailleurs encore de ma première rencontre avec un renard au détour d’un chemin, du haut de mes huit ans. Il restait à m’observer, aussi surpris que moi.

Apeuré, et à la fois intrigué, je restais littéralement figé par son regard et sa prestance.

Ces quelques secondes m’ont semblé interminables, et ont su déclencher chez moi cette envie d’en connaître toujours plus sur cette faune si mystérieuse et discrète.

Photographe amateur, j’ai lancé mon activité d’impression pour les photographe.

J’expose sur différents lieux depuis plusieurs années, Tignécourt, Hauteville-Lompnes,…

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Bugiste d’adoption, il pratique la photo depuis l’age de 20 ans. Après le passage au numérique vers 30 ans il s’intéresse principalement à la macro, l’animalier et le paysage. Mais ne délaisse pas non plus une autre de ses passions : la photo de scène.

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Du plus loin que je me rappelle, j’ai toujours voulu travailler dans l’environnement ou plutôt pour notre environnement.

Mon rêve d’enfant…    “Garde-forestier à cheval dans le Parc National des Cévennes”.

En fait, mon BTS Gestion et Protection de la Nature m’a conduite vers l’éducation où j’ai enseigné l’informatique et la classification animale dans un centre de formation pour adultes. J’utilisais alors mes images pour illustrer mes cours.

Adolescente, la photo m’est apparu comme le vecteur principal pour communiquer sur les beautés de la nature qui nous entoure.

J’ai alors commencé à photographier les “petites bêtes” mal aimées car mal connues, les araignées par exemple, mais aussi les fleurs et les paysages.

Très vite, mon temps libre a été pour bonne partie consacré à cette passion et je me suis diversifiée dans mes sujets photographiques avec les oiseaux puis les mammifères.

Aujourd’hui, tout mon temps est consacré à l’image depuis que je me suis installée comme photographe indépendante en janvier 2007.

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J’ai créée Oiseau-plume éditions pour la sortie de mon premier livre dédié à la Durance en 2009 : « Durance, entre Alpes et Provence ».

Ont suivi : « Loiret petite Loire de région Centre », « Belles et sauvages les orchidées françaises », « Entre Seine et forêt, la biodiversité de Soisy-sur-Seine » et «  Kâma-Sûtra des petites bêtes ».

J’ai toujours aimé m’immerger dans la nature. J’ai eu la chance de pouvoir côtoyer la mer comme la montagne. Depuis 2010, je fixe en images ces sources d’inspiration.
Pour moi, la photo permet d’observer, de capturer ou encore de témoigner de moments de vie ou de phénomènes quelconques.

Je suis également passionné par la météorologie depuis mon plus jeune âge, mon grand-père m’ayant donné l’envie d’approfondir mes connaissances sur les phénomènes climatiques et les nuages. Je poursuis cet apprentissage en photographiant ces phénomènes.
J’ai tout appris seul, comme la photographie, en postant, observant et écoutant les critiques sur divers forums. Je suis en admiration devant les phénomènes naturels extrêmes, comme la foudre, les tempêtes…
Il faut toutefois savoir saisir de bonnes images tout en restant en sécurité. Malgré mon grand intérêt pour la nature, je pratique tout type de photographie de manière à progresser davantage.

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