Cinéma Novelty

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Cinéma Novelty

Partenaire

Programme des projections lors du festival :

Vendredi

14h00 :

Sébastien PINS « Ma forêt  » 7 min, en savoir plus…
Patrice RAYDELLET « Sentinelles des troupeaux  » 52 min Avant Première, en savoir plus…

16H00 :

Simon HARDENNE « Australie les terres du nouveau monde  » 5 min, en savoir plus…
Alain RAUSS « Arctique sauvage  » 45 min, en savoir plus…

20h30 :

Sébastien PINS « A Passion of Gold and Fire  » 5 min en savoir plus…
Anne & Érik LAPIED « Dessine-moi un Chamois  » 70 min Avant Première, en savoir plus…

Samedi

 09H00 :

Sébastien PINS « Ma forêt  » 7 min en savoir plus…
Patrice RAYDELLET « Sentinelles des troupeaux  » 52 min Avant Première, en savoir plus…

11H00 :

Stéphane CORCELLE « Des ailes du Léman  » 18 min, en savoir plus…
Joël BRUNET « A la découverte de la faune du Bugey » « Grand Tétras dans l’Ain » 30 et 15 min , en savoir plus…

14H00 :

Sébastien PINS « A Passion of Gold and Fire  » 5 min en savoir plus…
Anne & Érik LAPIED « Dessine-moi un Chamois  » 70 min Avant Première, en savoir plus…

16H30 : Tarif cinéma normal

Jean-Michel BERTRAND  » La vallée des loups « , en savoir plus…

Dimanche

09H00 :

Sébastien PINS « A Passion of Gold and Fire  » 5 min en savoir plus…
Anne & Érik LAPIED « Dessine-moi un Chamois  » 70 min Avant Première, en savoir plus…

11H00 :

Sébastien PINS « Ma forêt  » 7 min en savoir plus…
Patrice RAYDELLET « Sentinelles des troupeaux  » 52 min Avant Première, en savoir plus…

14H00 :

Simon HARDENNE « Australie les terres du nouveau monde  » 5 min, en savoir plus
Alain RAUSS « Arctique sauvage  » 45 min, en savoir plus…

16h30 : Tarif cinéma normal

Jean-Michel BERTRAND «  La vallée des loups « , en savoir plus…

Films

"Dessine moi un Chamois" de Anne & Erick Lapied

Films

"La vallée des loups" de Jean-Michel BERTRAND

Stéphane Corcelle

Stéphane Corcelle

Stéphane Corcelle

Photographe & Cinéaste naturaliste

Biographie

Huissier d’information dans le milieu médical, sa passion de la photographie et de la nature a conduit Stéphane Corcelle depuis quelques années vers la photographie animalière. Il est membre de l’association pour la protection des oiseaux.

Chacune de ses photos a nécessité de nombreuses explorations et de repérages préliminaires. Elles sont le fruit d’un très long travail d’approche d’une « complicité » avec la nature « pour surprendre l’intimité de l’animal » sans l’effrayer. Sur les bords du lac ou dans les bois, à l’affût pendant des heures quel que soit le temps, il capte des instants saisissants qui dévoilent la personnalité de l’animal.

Parcours (sélection) :

Nombreuses expositions depuis 2004. Participations depuis 2000 au Festival International de la Photo Animalière et de la Nature à Montier-en-Der, Haute-Marne et depuis 2002 au Festival de l’Oiseau et de la Nature à Abbeville en Baie de Somme.

Lien internet :

Livres

Parution dans des revues d’images et de nature

Éditions : Alpes Magazine (sept. 1999) / De Borée, La Haute-Savoie (2001) / Guide du patrimoine naturel de la Région Rhône-Alpes (2002) / Plan net, magazine de l’environnement et du recyclage (2002-2003) / Éditions du Fournel « Nature et Léman » (2009) / Magazine Animan (avril 2010) / Édition Rossolis « guide poche Oiseaux du Léman » (2011) /Article pour la revue Nature et Patrimoine en pays de Savoie depuis 2014

Court métrage

 Un court métrage effectué en 2015 sur les oiseaux et les zones humides de la région « Des Ailes du Léman », (financé par la Fondation Gelbert), sera diffusé lors du festival. Constitué de deux parties et d’une durée de quinze minutes environ.
– En introduction un film de la Convention RAMSAR de 4’30.
– Ensuite un fondu d’images accompagné d’une musique d’un auteur professionnel (un pianiste) (des photos de paysages et d’oiseaux de la région Lémanique)

Expositions

Expositions (en France et à l’étranger) les plus importantes :

  • Juillet / août 1998. Château de Ripaille, Thonon-les-Bains, Haute-Savoie.
  • Juillet / août 1999. « La Faune sauvage du Léman » Nature & Découverte, Lyon.
  • Avril 2003. Festival de l’Oiseau et de la Nature, « Faune de la Région du bassin du Léman » Abbeville, Baie de Somme.
  • Octobre 2003. « Rencontre Photographiques du Genevois » Festival de photographies de Nature, Saint-Julien en Genevois, Haute-Savoie.
  • Août 2005. 10ème Anniversaire, La Fondation des amis du château de Miécourt (FACMI) « cycle Art & Nature» Miécourt, Porrentruy, SUISSE.
  • Mars 2009. « Léman des Auteurs » Evian, Haute-Savoie.
  • Octobre 2009. Festival de la Salamandre, Morges, Canton de Vaud, SUISSE.
  • Mars 2010. Salon de la Photographie animalière du Val de Saône, St Jean de Losne, Côte-d’Or.
  • Mars 2011. Salon de la Photographie animalière du Val de Saône, St Jean de Losne, Côte-d’Or.
  • Octobre 2011. Festival de la Salamandre, Morges, Canton de Vaud. SUISSE
  • Avril 2012. « Exposition photographiques d’oiseaux et de paysages« , Lugrin, Haute-Savoie.
  • Avril 2014. ʺMois de l’environnement et de la natureʺ Bibliothèque de Bons-en-Chablais. Haute-Savoie.
  • 24 et 25 Mai 2014. Festival du livre nature et montagne ʺLes Mots voyageursʺ de la Vallée de Joux, Centre sportif du Sentier, Suisse.
  • 07 et 08 novembre 2015, 21ème rencontre autour du livre savoyard, Château de Ripaille, 74200 Thonon-les-Bains, Haute-Savoie.
  • De novembre 2015 à novembre 2016, exposition à l’Hôtel restaurant du Moulin de Léré, Vailly, Haute-Savoie.

Galerie

Nature et Léman

Simon Hardenne

Simon Hardenne

Simon Hardenne

Cinéaste

Biographie

Né à Anvers (Belgique) en 1994 (23 ans). Études de photographie faites à Namur.

Le bois situé en face de chez moi fut le premier terrain de jeu de mon enfance. dès le plus jeune âge, j’ai été passionné par la nature. Les forêts et les champs étaient mes lieux d’aventures et de découvertes favoris. J’y allais autant que possible.

C’est mon grand-père qui m’a transmis le virus de la vidéo. À l’âge de 13 ans, toutes mes économies passèrent dans une petite caméra et je faisais mes premiers essais de montage dans son « labo ». Je filmais autant que je respirais. Mais ce qui me tenais le plus à cœur était d’essayer de capturer des images d’animaux dans leur milieu.

Une parfaite harmonie entre mes passions : la nature et la vidéo. Mon choix d’études fut évident : l’audio-visuel et la photographie. Très vite j’eus la chance de rencontrer des personnes ayant la même passion, tel que Xavier Istasse, chef opérateur, qui m’inculqua les bases de la vidéo professionnelle. Les images réalisées par Dimitri Crickillon, un ami de mon père photographe naturaliste, me donnèrent l’envie d’élargir mon champ d’activités de la vidéo à la photographie. Mais le moment clé a surtout été ma rencontre avec Robert Henno, photographe-vidéaste nature, et Jean-Claude Mangeot, ingénieur des Eaux & Forêts, qui m’ont aidé à concrétiser mes rêves.

Désormais je ne parcourais plus les bois seul mais accompagné de Robert ou de Jean-Claude.  En 2013, j’entrepris un voyage de plusieurs mois en Australie, qui changea mon regard sur le monde. Là-bas, un job de caméraman/monteur me permis d’acquérir du matériel photo plus performant. Je dédiais tout mon temps libre à la photographie nature. La Nouvelle Zélande me bluffa par ses paysages et ses grands espaces. Depuis mai 2014, je suis agréé à l’agence française BIOSPHOTO. De retour au pays depuis mai 2014, je n’aspire qu’à une seule chose, repartir à l’aventure avec mes caméras !

Merci à Robert Henno, Xavier Istasse, Frédérique Martin, Marleen Haazen, David Quarrell, Olivier Weyrich et Thomas Delbart, vous m’aidez à grandir professionnellement.

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Film présenté au festival

Australie : Les terres du nouveau monde

« Nouveau Monde, c’est le nom que l’on a donné à cet immense continent. 70% des terres sont arides. Malgré cette image désertique et sèche, l’Australie abrite une quantité innombrable d’animaux, c’est une véritable arche de Noé ! »

Le film a été tourné lors de mon voyage à sac à dos en Australie (2013-2014). Parti avec un visa « Working Holiday » pendant 6 mois sur la côte Est du continent, ce film n’était pas mon but premier. Découvrir le monde et voyager, c’était pour cela que j’étais parti.

Teaser du film

Sébastien Pins

SEBASTIEN PINS A

Sébastien Pins

Cinéaste

Biographie

Fasciné par la beauté́, la fragilité́ et les mystères de la nature, Sébastien Pins s’intéresse très tôt à la photographie et s’évertue à immortaliser des instants forts entre l’homme et la nature. Ses réalisations ont reçu de nombreux prix aux quatre coins de l’Europe.

En 2012, il réalise un court-métrage intitulé « Ma forêt » où il arrive à capter avec émotion et sensibilité́ des instants forts entre l’homme et la nature dans le regard d’un jeune garçon de trois ans. Ce court-métrage sera primé des dizaines de fois, en particulier par les Nations-Unies à Istanbul « Forum on Forest ». Il a été́ sélectionné́ dans plus d’une centaine de Festivals à travers le monde dont certains lui donnent l’accès pour être candidat à l’Oscar du meilleur court-métrage.

Son travail est soutenu par des personnalités emblématiques comme Hubert Reeves, Marion Cotillard, Yann Arthus Bertrand,

En 2014 il réalise un second court-métrage « Une passion d’or et de feu ».
« Un apiculteur nous fait part de ses inquiétudes sur l’avenir de son rucher école. Une passion d’or et de feu qui, assurément, collabore à la survie de notre environnement.”

Cet hommage à l’apiculteur remporte un succès mondial et est notamment sélectionné́ par le Seattle International Film Festival (OscarTM nominating Festival), Slamdance Film Festival (Oscar™ nominating Festival) DOC NYC(Oscar™ nominating Festival), 26th New Orleans Film Festival (Oscar™ nominating Festival), Hot Springs Documentary Film Festival St. Louis International Film(Oscar™ nominating Festival), Sleepwalkers International Short Film Festival(BAFTA-Recognised Film Festival),…

Actuellement Sébastien Pins continue son travail de réalisateur dans des films de fiction nature. Il tourne aujourd’hui un court-métrage sur le métier débardeur au cheval de trait. Son objectif est de faire connaître et de valoriser le travail de ces hommes qui, de tout temps, ont contribué à la santé et à la sauvegarde de nos forêts.

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Films

Films diffusés lors du festival.

Patrice Raydelet

Patrice Raydellet C

Patrice Raydelet

Cinéaste & photographe

Biographie

Patrice Raydelet, jurassien, est passionné par les animaux sauvages. Auteur et photographe naturaliste, il est président du pôle grands prédateurs Jura. Spécialiste du lynx, étudie l’espèce depuis plus de quinze ans. Correspondant du Réseau lynx pour le Jura, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le lynx et participe régulièrement à des manifestations visant à faire évoluer l’image de cet animal auprès du public. Il aime également observer, comprendre et connaître les autres félins sauvages comme le chat forestier.

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Film présenté au festival "en avant première"

Sentinelles des troupeaux

Ce film d’une heure présenté par l’association Pôle des grands prédateurs parle, grandeur nature, de l’épineux problème de la présence du lynx dans le massif du Jura et des prélèvements qu’il occasionne dans les troupeaux. Le film repose sur les témoignages des éleveurs rencontrés dans l’Ain, le Jura et le Doubs. Chacun d’entre eux parle de son expérience avec les chiens et des bénéfices qu’il retire de leur présence, tout en soulignant les contraintes auxquelles ils ont du faire face. Avec un message fort et sans équivoque : depuis la mise en place des chiens de protection, les Patous, l’image du lynx a changé dans l’esprit des éleveurs puisque les attaques ont cessé. Le prédateur n’est plus perçu alors comme une contrainte…. L’occasion d’un débat avec les éleveurs de la région à l’issue de la projection (le vendredi)….

Livres parus de Patrice Raydelet entre autres

Jean-Michel Bertrand

Jean-Michel BERTRAND

Jean-Michel Bertrand

Cinéaste

Biographie

Jean-Michel Bertrand : « J’ai quitté l’école à 16 ans avec pour but ultime de filmer les animaux des montagnes des Alpes »

Jean-Michel Bertrand a grandi au cœur des Alpes. Il se lance un pari fou : aller dans la montagne, dans des territoires encore secrets, à la recherche des loups. Pendant trois ans, il grimpe tout là-haut, dévoué à sa quête. Les conditions sont difficiles, entre le vent glacial, la neige et la pluie.

Dans cette vallée des Alpes, les loups sont revenus. Il en a la certitude, il va les trouver. Chasseur d’images, Jean-Michel Bertrand est un peu détective aussi. Il quadrille le territoire, cherche des indices de leur présence, essaie de comprendre où et quand ils se déplacent. Et passe des jours et des nuits ­entières au milieu des arbres, sur les chemins de crête. La nature est majestueuse, toutes sortes d’animaux assurent un spectacle étonnant. Auquel Jean-Michel Bertrand prête une attention distraite : avec sa caméra, il n’en a que pour les loups… qui ne se montrent pas.

Le matériel lui fait faux bond mais peu importe, il persévère, suit les traces de l’animal et finit par le rencontrer. Il avance pas à pas et finit par se faire accepter par la meute…

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Page FauneSauvage.fr

Films

 Jean-Michel Bertrand sera présent sur le festival, un débat suivra chaque séance …

"La vallée des loups" de Jean-Michel BERTRAND

Anne & Erik Lapied

Anne et Erik Lapied 1

Anne & Erik Lapied

Cinéastes

Biographie

« Les Lapied » : C’est comme cela que l’on nomme cette famille de cinéastes qui chaque année tourne et réalise de nouveaux films documentaires de montagne. « Les Lapied » sont comme un label de qualité et leurs films sont multi-primés en France, mais aussi en Europe ou aux États-Unis.

Anne Lapied

Anne découvre la montagne très jeune et sait qu’elle y passera sa vie. Elle commence la photo à l’âge de 7 ans et, 50 ans plus tard, éprouve toujours le même plaisir à visionner ses images les soirs de tournage.

Elle est co-réalisatrice d’une quarantaine de films avec Erik, puis avec leur fille, Véronique. Leur univers est avant tout la montagne. Ils ont tourné de nombreux films sur la faune d’altitude, sur les hommes qui y vivent et sur l’environnement, primés plus de 55 fois dans les festivals internationaux.

Erik Lapied

Erik était plus à l’aise sac au dos dans l’Himalaya ou sur les parois des Alpes que sur les bancs de l’école. Originaire de Cholet, il quitte très vite l’ouest de la France pour les montagnes. Il a tourné des documentaires animaliers pour Canal+, FR3, FR2, ZDF, ARTE…

Il consacre sa vie au cinéma de montagne indépendant en compagnie d’Anne, sa femme, et de Véronique, leur fille. Leurs films, primés plus de 55 fois dans les festivals internationaux, transmettent la beauté du monde sauvage des Alpes et de ceux qui y vivent

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NOUVEAU FILM 2017

« Dessine moi un Chamois » sortie en salle au mois de juin 2017, présenté en avant première lors du festival

Colin a 9 ans et vit à Grenoble. C’est un petit citadin comme les autres.
Cependant l’activité de ses grands parents, cinéastes animaliers, l’intrigue.

Ses jours de congé, il monte les voir dans leur petit hameau perché à 1650m d’altitude, dans le Parc National du Grand Paradis. C’est alors une autre école qui l’attend. Le sentier de l’apprentissage sera long de patience, de découragements et d’efforts, avant que l’aigle royal ne soit plus ce minuscule point dans le ciel, et le chamois qu’un éclair qui s’enfuit à son approche

Films réalisés

Les Lapied ont réalisés de nombreux films de la vie en montagne, si dessous les dernières réalisations. Vous retrouverez sur leur site une belle collection de leur production.

Alain Rauss

Alain Rauss A

Alain Rauss

Cinéaste

Biographie

Naissance à Genève, Suisse, en 1962, où je suis les écoles primaires et secondaires, puis un apprentissage de bijoutier-boîtier.

Parallèlement, je me passionne pour la nature et la faune en particulier. Je m’évade régulièrement dans les Alpes, pour aller observer et dessiner cette faune d’altitude. Mes parents s’aperçoivent que je prends quelques risques pour suivre ces animaux et m’inscrivent dans une école d’alpinisme.

A cette époque, la crise horlogère passe par là et, me retrouvant au chômage, je m’inscris dans les rangs de la police genevoise. Je poursuis mes observations faunistiques, mais la pratique de la haute montagne prend peu à peu le dessus, ce qui m’amène à passer mon brevet national de guide de haute montagne, à l’âge de 35 ans.

A peu près à la même époque, après quelques années dans la police genevoise, je démissionne et suis engagé comme garde de l’environnement (l’équivalent de garde-chasse/garde-faune/garde-pêche), dans le canton de Genève, qui a la particularité d’être un territoire sans chasse.

Je renoue petit à petit avec mes premières amours de la nature et me met à faire du cinéma, pendant que dans le cadre de mon travail, je gravis peu à peu les échelons, pour reprendre il y a quelques années la tête du service auquel j’étais rattaché

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Filmographie

1999 :         premiers tournages au format  DVCAM.

2000 :         documentaire court (20 ’), sur les Ours de Slovénie.

2001 :         « Concentré de brame », film au sujet de la période spectaculaire du brame du cerf (durée 40 ’).

2003 :         « Au-delà du cercle polaire arctique », un film co-réalisé avec M. Pierre Walder qui, sous forme de reportage, raconte une expédition dans l’archipel du Svalbard, sur les traces de l’ours polaire (durée 52 ’).

{1er prix au festival biennal 2003 de « Art’elier 7 » – Meyrin – Suisse}.

2006 :          « Białowieza, forêt primaire et refuge du bison d’Europe ». Ce film relate la réintroduction des bisons d’Europe dans la dernière forêt primaire de plaine du continent : la célèbre forêt de Białowieza, dans laquelle existe une diversité d’espèce végétale et animale exceptionnelle (durée 52 ’).

{sélectionné pour le 24ème festival international du film ornithologique de Ménigoute, en 2008}.

2009 :         « Les Abruzzes, sanctuaire de l’ours marsicain ». Un témoignage de la cohabitation qui existe dans les Abruzzes, entre la faune sauvage, avec ses grands prédateurs (ours, loups) et les activités humaines (commerce, tourisme, élevage). Un modèle transposable ? (durée 60 ’).

2016 :         « Arctique Sauvage». Ce film emmène le spectateur à la rencontre de la nature sauvage du haut Arctique. Une immersion dans le monde des Ours polaires, des Bœufs musqués, des millions d’oiseaux qui se reproduisent là-bas durant le court été arctique, et des autres espèces de faune et de flore qui parviennent difficilement à vivre et évoluer dans cet environnement hostile (durée 44 ’).

{sélectionné pour le 32ème festival international du film ornithologique de Ménigoute, en 2016}.

Film présenté lors du festival

 Arctique sauvage

Joël Brunet

Joël Brunet

 Joël Brunet

Photographe, Cinéaste et Conférencier

Parrain du Festival Nature Ain 5e édition 2017

Biographie

Photographe depuis 25 ans et résident de Champdor (01) , Joël BRUNET est en recherche perpétuelle de créativité et d’originalité, ses images sont une quête de la belle lumière et du cadrage parfait.
Passionné et naturaliste avant tout, il essaye de montrer la nature sous ses aspects les plus artistiques afin de sensibiliser le public à sa nécessaire préservation.
Par définition, la Photographie animalière et « nature » consiste à prendre un cliché d’un animal, d’une fleur ou d’un paysage, dans leur milieu et sans artifice ni perturbation.
Longtemps considéré comme des photographies naturalistes permettant de documenter un sujet de manière scientifique, il existe depuis une dizaine d’années un nouveau courant de la photographie animalière : la photographie nature artistique. Cette école de la photographie animalière s’attache à montrer son sujet dans son environnement, en tentant d’illustrer les liens qui les unissent, et si possible de manière originale et graphique. Ce nouveau courant a donné un second souffle à la pratique de la photographie nature, en parallèle du développement du matériel photographique numérique. De plus en plus de pratiquants passionnés s’adonnent à la photographie animalière et les évènements de type expositions, festivals et concours se multiplient en France et en Europe.

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Expositions

Joël Brunet expose son travail dans les plus grands festivals depuis 20 ans et il est régulièrement publié dans plusieurs magazines comme « Images et Nature » et « Nat’Images »
Joël Brunet a été été primé dans plusieurs concours internationaux et a notamment reçu :
– Le Grand Prix du festival de Vourles (69)
– Le Grand Prix « Oiseaux » du Concours AVES (Bruxelles – Belgique)
– Le Grand Prix du festival du Ventoux (84)
Finaliste du concours Wildlife Photographer of the Year (Londres – Royaume-uni)

 Exposition présentée au festival de Montier en Der : « Blanc comme Neige »

L’hiver offre des décors somptueux et des conditions extrêmes. « Blanc comme neige » reflète un travail de deux années, immergé dans le froid du Bugey. La mise en avant de l’animal dans son élément naturel est une recherche perpétuelle et passionnante. Je m’efforce de mettre en valeurs des sujets aussi rares que communs et c’est tout l’intérêt de cette quête de l’image artistique et graphique. Ce projet d’exposition dont les images ont été réalisées intégralement dans le département de l’Ain met à l’honneur sa diversité et la richesse de sa biodiversité. Le fil conducteur de l’exposition est  » le  blanc « , issu de la neige ou de la brume, qui enveloppe les sujets, adouci les décors et permet des images minimalistes et esthétiques

Films

Joël Brunet a travaillé avec le Département de l’Ain en 2013 et 2014 pour la réalisation de deux films tournés intégralement dans le département : « Des Prédateurs et des Hommes » consacrés au rôle des prédateurs des mulots dans les praires du Bugey et « Grand Tétras et Gélinotte » qui présente le plan d’action du Département relatif à ces espèces.

Actuellement Joël Brunet travaille sur la réalisation d’un nouveau film qui aura pour titre « Le chat sauvage « Roi des pairies » » sortie en novembre.

A l’affiche au prochain festival, Joël nous propose un montage de plusieurs petits films sur la faune sauvage du Bugey ainsi qu’un court métrage sur le Grand Tétras.

Galerie

 Exposition « Blanc comme Neige »