VINCENT Nicolas

VINCENT Nicolas portrait
VINCENT Nicolas portrait

Nicolas VINCENT

Conférencier

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Issu d’un parcours scientifique, Nicolas Vincent-Morard s’engage rapidement à l’Observatoire de la Lèbe (01) pour faire partager sa passion et ses connaissances en astronomie. Passionné de zoologie, de botanique, d’histoire, il travaille à la rencontre des sciences, de l’histoire et des connaissances. Il développe des cycles de conférences et intervient pour de nombreux événements : après-midi de sciences au Théâtre de Bourg-en-Bresse, Musée de Lochieu, séminaire Art et science à Bourges, festival Nature d’Hauteville, muséum d’histoire naturelle de Chambéry… Nicolas poursuit actuellement ses conférences avec l’association à but culturel «Des histoires pour Savoir». Désormais, il se consacre également pleinement à son autre passion : la musique. Il est aujourd’hui professeur au conservatoire de Belley, et musicien multi-instrumentiste spécialisé dans les instruments d’Asie et de l’antiquité gréco-romaine. Après son premier ouvrage, Beautés fatales, Enquête sur ces fleurs qui ont empoisonné l’Histoire, il s’est penché pour son deuxième ouvrage sur le destin hors du commun de personnalités bugistes.

 

"Philtres sans filtre" : une histoire des philtres d'amour

Séduire est une des grandes préoccupations du genre humain. Plantes sauvages et parfois animaux ont très tôt servi à concocter des potions censées provoquer l’amour. L’effet de ces décoctions est généralement purement imaginaire, mais pas toujours. Dans la chimie de l’amour interviennent des molécules bien réelles, capables de modifier le comportement des mammifères que nous sommes. Entre science et littérature cette conférence abordera de manière aussi rigoureuse que légère ce passionnant sujet.

Dimanche 25 à 16h – Durée : 1h

Nicolas Vincent - Conférence Philtre

Observatoire de la Lèbe

Observatoire de la Lèbe - portrait
Observatoire de la Lèbe - portrait

Observatoire de la Lèbe

Conférencier Association

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Observatoire de la Lèbe - action

Sur le magnifique territoire du Bugey Sud, dans l’Ain, l’Observatoire de la Lèbe, lieu magique où l’astronomie devient accessible à tous, vous ouvre ses portes pour une expérience inoubliable.

Explorez le ciel étoilé grâce à nos télescopes (dont un puissant télescope de 610 mm et un télescope numérique : eVscope).
Visitez notre espace d’exposition et plongez dans l’univers grâce à notre planétarium immersif de 7m de diamètre.

L’Observatoire de la Lèbe est géré par une association de passionnés qui se retrouvent chaque mois pour observer et photographier le ciel, apprendre à manipuler des instruments, découvrir l’histoire de notre planète.

Notre objectif principal est de promouvoir et développer les loisirs scientifiques et culturels en particulier l’astronomie.

Chaque année, nous menons de nombreuses actions auprès des scolaires, centres de loisirs, curieux, associations, partenaires et structures locales.
Nous organisons et participons également à des évènements d’envergure, gratuits et ouverts à tous comme les Nuits des étoiles et la fête de la science.

Toute l’année, l’Observatoire de la Lèbe vous propose une programmation riche et variée pour satisfaire le plus grand nombre :
-Des séances de planétarium.
-Des observations du soleil.
-Des soirées d’observation pour tous.
-Des stages adultes et enfants sur réservation pour les groupes (scolaires, loisirs, association, comité d’entreprise, familles…).

L’Observatoire de la Lèbe vous attend pour des moments inoubliables !

Une astronomie un peu… particulière
par Laurent CHOMIER

L’Observatoire de la Lèbe vous invite à une conférence interactive unique où vous serez l’un des protagonistes. À travers des questions sur l’astronomie, parfois surprenantes et intrigantes, nous explorerons ensemble les grands classiques du ciel nocturne : planètes, constellations, nébuleuses, galaxies, et bien plus encore. Rejoignez nous pour une conférence captivante, où la science, l’astronomie et la curiosité se rencontrent sous les étoiles.

Samedi 24 à 16h

Astronomie : « Merveilles du cosmos »

Simple curieux ou amoureux du ciel, venez toucher les étoiles et laissez vous émerveiller par la nature mystérieuse du cosmos. Une aventure céleste pour tous vous attend auprès de l’observatoire de la Lèbe qui a à cœur depuis plus de 24 ans de partager sa passion pour l’astronomie.

Observatoire de la Lèbe - STAND

LEBLAIS Gilles et DURAND Christine

Gilles Leblais - Portrait
Gilles Leblais - Portrait

Gilles LEBLAIS et Christine DURAND

Conférencier

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Gilles Leblais - Action


C’est à 17 ans que Gilles Leblais tombe amoureux des oiseaux et qu’il se forme à l’école de la nature. Le voilà donc ornithologue. Mais déjà sa curiosité et sa profonde connivence avec le vivant, le poussent à devenir un naturaliste aguerri capable d’observer et de comprendre les infinies interactions entre le règne animal et le règne végétal ! La photographie de la vie sauvage, toujours en communion avec les milieux et leurs habitants, vient enrichir son parcours. Une façon de témoigner et de transmettre. Passeur de et par nature, Gilles multiplie les pistes pour « semer » sa vision fraternelle du monde et inciter le plus grand nombre à agir en faveur de la biodiversité au pas de sa porte. C’est ainsi qu’il se fait auteur avec plusieurs livres sur la biodiversité au jardin aux éditions Terre Vivante, qu’il anime régulièrement des conférences, qu’il accompagne des sorties nature, et surtout, qu’il aménage ces dernières années un jardin de biodiversité en Isère, baptisé « Mon Jardin Paradis ». Véritable jardinier du sauvage, il est notamment un spécialiste des mares naturelles. Il est convaincu que l’émerveillement est le premier pas vers la connaissance et le respect du sauvage. Il se considère d’ailleurs comme une espèce parmi les autres et cultive ce qu’il appelle sa « pédagogie du merveilleux » pour sensibiliser et reconnecter à la biodiversité de proximité. Affecté par l’état de notre planète et les aberrations écologiques au quotidien, Gilles, en éternel gardien de la Terre, s’efforce de distiller positivement son message de protection de la biodiversité, dans l’espoir de réenchanter le monde.

VIEUX ARBRES, BRANCHAGES ET BOIS MORT, trésors de biodiversité

On oublie trop souvent que tout se qui tombe de l’arbre revient à l’arbre et que branchages et bois sont une ressource précieuse pour enrichir le milieu dans son jardin et favoriser la biodiversité. Et si le bois mort offre le gîte et le couvert à une multitude d’espèces (insectes, araignées, oiseaux, mammifères…), on peut aussi en faire un élément de décoration 100 % naturelle au service de cette faune.

Vendredi 23 à 18h

DUFAYARD Romain

Romain Dufayard - Portrait
Romain Dufayard - Portrait

Romain DUFAYARD

Conférencier - Sorties nature

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Romain Dufayard - Action

Ingénieur agronome de formation avec une spécialisation en Allemagne sur une branche de la botanique nommée phytosociologie. Il a d’abord travaillé notamment à l’observatoire du patrimoine naturel d’Auvergne (ancêtre du conservatoire botanique du Massif central). Le travail consistait alors à faire des relevés floristiques et à cartographier les communautés végétales de différents espaces naturels sensibles.
Entre 2002 et 2005, plusieurs années de voyage lui ont permis de développer des partenariats avec des entreprises ou des écoles en milieu rural en Amérique latine pour faire découvrir la biodiversité locale ou servir de guide interprète sur des sorties sportives et nature (Argentine, Brésil notamment).
Il publie en 2009 « Des graines et des hommes », ouvrage qui traite de la diversité des graines remarquables du monde.
Depuis 2005, il fonde la structure « Terre de graines » pour intervenir auprès de partenaires ou sur des événements liés aux plantes ou à la biodiversité.
Depuis 2010, il intervient auprès des scolaires et du grand public, notamment pour des sorties thématiques sur la découverte du monde végétal.
Terre de graines est partenaire de la ville de Caluire, de Villeurbanne, de la métropole de Lyon, de Chambéry, du syndicat du Haut Rhône dans le cadre d’ateliers de découverte de la biodiversité.

Les arbres de nos forêts, écologie et enjeux

Venez, en images, vous promener en forêt et en apprendre à reconnaître les arbres indigènes qui nous entourent.
Nous parlerons de leurs particularités, de leur graines, de leurs secrets. Nous évoquerons certaines idées reçues, mais également les alliances et les parasitismes parfois microscopiques. Quel est le rôle du réseau mycorhizien ?
Quels sont les perspectives de nos arbres sauvages dans le contexte climatique actuel ?

Dimanche à 18h – Durée : 2h

Białowieża, Forêt Reine.

Venez découvrir la diversité des arbres, arbustes plantes sauvages qui poussent dans nos forêts.
En nous amusant avec de petits quizz nous partirons à la découverte des essences forestières locales mais aussi des espèces introduites ou invasives.
Nous pourrons observer certains mécanismes qui permettent aux végétaux par exemple de se « déplacer » ou de « communiquer ».
Nous prendrons un petit temps pour parler des plantes utiles (comestibles, médicinales) et des relations avec la faune.

Durée : 2h

Romain Dufayard - Sortie

BUCZEK Jessica

Jessica Buczek - Portrait
Jessica Buczek - Portrait

Jessica BUCZEK

Conférencière

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Jessica Buczek - Action

De toujours, j’ai pratiqué la photographie dans une volonté de témoigner de la beauté de la nature et de la nécessité d’en prendre soin. Dès l’âge de 14 ans, je parcours les paysages de campagne qui m’environnent pour en ramener des images. Mais très vite, ma sensibilité s’exacerbe, et au fur-et-à-mesure que je m’émerveille des beautés du quotidien, je prends conscience de la menace que font courir nos activités aux écosystèmes. Ce qu’enfant je prenais pour la nature, devient plantations de résineux et prairies dépourvues de fleurs. Je pars en quête de paysages préservés. Mes pas me guident toujours vers une nature la moins transformée possible et je me prends au jeu de l’imagination, essayant de me figurer à quoi ressemblaient les paysages autrefois.
Autrefois… En 2018, j’ai l’honneur de voir mon travail photographique récompensé par la Bourse IRIS-Terre Sauvage. J’entreprends alors le voyage de mes rêves qui va complètement bouleverser mon existence. Je rencontre, pour la première fois, une vraie forêt. La dernière forêt. Celle qui recouvrait autrefois l’Europe et dont il ne reste qu’un vestige de 140.000 hectares à cheval sur deux pays tristement ennemis, la Pologne, et sa soeur Biélorusse. C’est le coup de foudre. Je ramène de six mois de voyage des milliers d’images et des songes, qui me hantent chaque nuit. La sensation d’avoir enfin touché du doigt ce qu’est la nature. L’évidence et la déchirure, de devoir parcourir 2000km pour y parvenir.

Białowieża, Forêt Reine.

Partons ensemble à la découverte de la forêt de Białowieża en Pologne, considérée comme dernière forêt primaire d’Europe. Dans un voyage à la fois poétique et factuel, nous découvrirons ce qui fait la spécificité de cet écosystème unique : sa richesse faunistique et floristique, son histoire, mais également les menaces auxquelles elle se trouve aujourd’hui exposée. Notre voyage sera agrémenté par quelques-unes des milliers d’images ramenées par l’auteure en plus de six mois vécus sur place.

Samedi à 18h. Durée : 1h30

Jessica Buczek - Conférence

SPIQUEL Robin

Robin Spiquel - Portrait
Robin Spiquel - Portrait

Robin SPIQUEL

Cinéaste

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Robin Spiquel - Action

Après plusieurs années passées sur le terrain en tant que journaliste TV, j’ai décidé de ralentir pour prendre le temps de mieux comprendre le monde qui m’entoure. J’ai alors entamé une formation pour devenir réalisateur de documentaire animalier. Observer, écouter puis retranscrire les relations qu’entretiennent les êtres vivants, humains et non humains, avec leurs milieux de vie est essentiel dans mon travail. Cette démarche m’a rapidement emmené proche des rivières et des zones humides. Leur état s’est fortement dégradé sans que le grand public n’en ai forcément conscience. C’est pourquoi j’ai décidé de m’intéresser au retour du castor d’Europe dans ces milieux. Après plus d’un siècle d’absence, l’effet du plus gros rongeur d’Europe s’est vite fait sentir.

Avec ce premier film, « Après le barrage », j’invite le spectateur à s’immerger dans l’équilibre fragile d’un marais chamboulé par l’arrivée d’un couple de castor. Je l’invite à écouter les réflexions d’un observateur sensible aux moindre variations de ce lieu en perpétuel évolution. Qui sait ? Peut-être qu’à la sortie de la salle eux aussi partirons en quête de « l’effet castor » ?

Après le barrage - 20 minutes

Depuis qu’un couple de castors s’est installé dans le marais en face de chez lui, Michel mène l’enquête. Les arbres et les plantes se transforment. Même les animaux changent leurs habitudes. Si certains tirent profit de l’arrivée de cette espèce ingénieure, d’autres sont contraints de s’adapter pour survivre. Découvrons comment le retour du plus grand rongeur d’Europe bouleverse l’équilibre de tout cet écosystème.

Robin Spiquel - Affiche

ROUY Jean-Luc

Jean-Luc ROUY Photos-Vidéos Portrait
Jean-Luc ROUY Photos-Vidéos Portrait

Jean-Luc ROUY

Photographe/Cinéaste

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Jean-Luc ROUY Photos-Vidéos Action

Très jeune, muni d’un appareil photo réflexe, je participe à des stages de formation photo en Vanoise. La passion de la photographie ne me lâchera plus.
J’affectionne les photos de paysage avec du relief mais aussi de faune et de flore. Le Bugey, mon camp de base, n’a pas de limite, je n’ai pas fini de découvrir ses multiples facettes naturelles et sauvages. Mes escapades me conduisent toujours également vers d’autres coins préservés des Alpes.
Émerveillé par l’infiniment petit et plus récemment par l’infiniment grand, je découvre les photos de nuit, avec la voie lactée et ses milliers d’étoile, mais aussi avec les aurores boréales, un phénomène surprenant et rare sous la latitude du Bugey.
L’évolution du numérique, matériel et logiciel, m’a permis d’améliorer la qualité de mes photos, mais aussi de proposer sur un autre support des vidéos. Tout naturellement, Je commence à exposer et à montrer ceux-ci, fruit de mes observations multiples et variées que nous offrent la nature.
Auprès d’amis bénévoles et passionnées du Plateau d’Hauteville, j’aide activement chaque année à la mise en place du Festival Nature Ain.

Kp8+ en VALROMEY* - Aurore boréale en plein Bugey

Au cinéma NOVELTY  le Ve 20h30, le Sa 17h00 et le Di 17h00 – Durée : 10 mn

Émerveillé par l’infiniment petit et l’infiniment grand, je découvre les photos de nuit étoilée avec les aurores boréales, un phénomène surprenant et rare sous la latitude du Bugey. « Kp8+ en Valromey » est le fruit d’une nuit passée entre rêve et réalité.
* Le kp-index est un indicateur d’activité auroral global sur une échelle de 0 à 9.

Tout commence le soir du 10 octobre, une alerte Kp8+ est présentée sur mon application. Ni une ni deux, je prends mon matériel et des affaires chaudes. Je prends soin de paramétrer mon appareil photo (check-list pour ne rien oublier), dans le noir c’est plus difficile.
Au lieu-dit « les Plânes », au nord du Valromey, je vois bien un ciel rosé avec quelques nuages, je prends une première photo de 15 secondes, l’aurore est bien là. Seul le capteur d’un APN est capable de restituer les couleurs. Je préviens mon ami Mickaël, qui ne pourra me rejoindre.
Je fonce au Grand Colombier, je prends vite des photos avant d’être submergé par les nuages. Je redescends un peu, l’aurore est resplendissante avec quelques nuages épars.
Malheureusement, c’est vite le déluge, je patiente un peu, il fait nuit noire. Je mets le réveil des fois que je m’endorme. Il est 1h20, je m’échappe du massif du Grand Colombier, les nuages restent trop accrochés.
Je reprends la descente vers Virieu le Petit, la route est encombrée de branchage, causé par un fort coup de vent de la veille. Tout en conduisant avec précaution, je réfléchi où je pourrai bien me rendre pour trouver une éclaircie et ainsi revoir l’aurore. Je me mets aussi à rêver de faire comme les photographes des pays nordiques qui utilisent la surface de l’eau pour voir le reflet des aurores. …

… Il est maintenant 1h50, j’arrive au bord d’un plan d’eau au nord du Valromey, le ciel est rosé, je prends une première photo, je n’en croix pas les yeux, l’aurore est puissante. Des nuages épars, sans pluie, me laissent un répit d’une heure pour prendre une série de photos.
Il est 3 heures 20, je tente une photo près de Brénod, en vain, idem vers Corcelles, ce n’est pas mieux, le ciel est trop bouché. Je décide de rentrer à Plateau d’Hauteville, lieu où je réside. Les nuages deviennent épars, je reprends quelques photos, l’aurore boréale est encore perfectible. Il est 4h45 je décide d’aller me coucher.
Rêve ou réalité, je ne suis pas près d’oublier… Avant de m’endormir le doute me prend, les photos sont-elles nettes. Il faut faire le réglage manuellement sur une étoile, ce n’est pas simple dans le noir …
Ce sera finalement une belle réussite et une belle aventure que je décide de partager avec vous.

PRIMAULT Vincent et MUNOZ PASTOR Carmen

Primault Vincent & Munoz Pastor Carmen - Portrait
Primault Vincent & Munoz Pastor Carmen - Portrait

Vincent PRIMAULT
et Carmen MUNOZ PASTOR

Cinéastes

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Primault Vincent & Munoz Pastor Carmen - Affiche

Naturalistes passionnés, Carmen Munoz Pastor et Vincent Primault se sont rencontrés en 2010, au Mali. Ensemble, ils créent l’association Carduelis et réalisent leur premier film, « Wobgo », sur les Eléphants d’Afrique de l’Ouest.

Depuis, leurs voyages les ont menés du cercle polaire arctique aux forêts équatoriales guyanaises, à la recherche d’une nature authentique et sauvage.

Basés en Creuse, ils ont également créé une revue naturaliste du Limousin, « La Cardère », dans laquelle ils traitent de la faune et de la flore commune à cette région.

Après les éléphants en Afrique, les Vautours fauves dans les Pyrénées ou encore le Lynx ibériques en Andalousie, ils suivent de façon passionnée le retour du loup en France, notamment en Limousin.
Ils réalisent leurs documentaires animaliers dans un esprit de partage, de façon totalement autonome.

La Part du Loup - 43 minutes

Le 11 Mai 2023, sur ordre de la préfecture, le seul loup présent en Limousin était abattu en Corrèze. Pourtant, dans les Abruzzes, en Italie, leur présence aux côtés des hommes ne provoque pas tant de polémiques… Comment se fait-il que, là-bas, la cohabitation avec les grands prédateurs est des plus sereines, tandis qu’en France elle apparaît absolument inconcevable ?

KOLE Manon

Manon Kole - Portrait
Manon Kole - Portrait

Manon KOLE

Cinéaste

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Manon Kole - Action

Le film est porté par deux jeunes réalisateurs documentaires centrés sur la sensibilisation à la Nature, Manon Kole et Lucas Perrogon. Après des courts-métrages primés, « Les Écailles de la Forêt » est leur premier long-métrage en duo. Documentaristes centrés sur la sensibilisation à la Nature, Manon Kole et Lucas Perrogon mêlent enjeux de sociétés, culturels et environnementaux : leur volonté est de questionner les formes que prendront nos sociétés durables de demain.

L’expédition est menée par Damien Lecouvey, aventurier et herpétologue et spécialiste de la jungle. Il cherche à contribuer à la réduction des cas d’envenimations dans les zones les plus isolées de la planète, mais aussi à étudier toutes les techniques primitives de vie en nature.

Réaliser ce documentaire était l’occasion rêvée de représenter la science dans le domaine : on voit souvent les résultats d’études, mais on est loin d’imaginer les démarches entreprises pour y parvenir. Nous emmenons le spectateur avec nous au cœur de la forêt amazonienne, à la découverte des animaux, de la jungle, mais aussi de la réalité de la vie sur le terrain. À travers les personnalités des membres de notre équipe, nous avons souhaité montrer une aventure humaine riche, dense, passionnée et sincère.

Les Ecailles de la Forêt - 52 minutes

Une espèce animale ou végétale disparaît toutes les 20 minutes dans le monde. Nettement moins sont découvertes et par croisement d’informations, il semble probable que certaines espèces disparaissent avant même d’avoir été recensées. Au cœur de la forêt Amazonienne d’Équateur, au sein du parc national Yasuni, territoire des communautés Kichwa et Huaorani, une équipe scientifique a réalisé un état des lieux de la biodiversité.

De feux de camp en prospections nocturnes, leurs découvertes seront déterminante pour évaluer les conséquences des exploitations pétrolières et plus généralement de l’activité humaine.

Ce documentaire retrace leur aventure.

Manon Kole - Affiche

FLORES Kévin

Kévin Flores - Portrait
Kévin Flores - Portrait

Kévin FLORES

Cinéaste

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Kévin Flores - Action

Amoureux de la nature et photographe animalier, je parcours les grandes étendues du Massif du Jura à la rencontre du monde sauvage et d’instants de liberté absolue.

Il y a dix ans, c’est après une période difficile que j’ai reçu comme un « appel de la nature », une reconnexion avec le vivant qui m’entoure, avec un émerveillement particulier pour la faune sauvage.
Sensible à l’atrocité que nous lui faisons vivre, c’est après une exposition photographique que j’ai décidé de me lancer dans un projet de Film-Documentaire réalisé dans le Bugey et dans le Massif du Jura.
Il a pour but de sensibiliser l’humain à la beauté qui se trouve tout autour de nous, mais que nous ne voyons plus pour la plus part d’entre nous…

Vous pourrez découvrir mes aventures et les rencontres incroyables auxquelles j’ai pu assister ces trois dernières années au cœur du monde sauvage, mais aussi toutes les difficultés que celui-ci peut rencontrer…

Ce film est un témoignage et un hommage au vivant qui m’a enseigné de nombreuses leçons.

Gardien du monde sauvage - 51 minutes

Amoureux de nature et photographe animalier, voyagez avec moi au fil des saisons en territoire sauvage, au cœur du Bugey et dans le Massif du Jura.
La réalisation de ce film est un véritable hommage à la nature et au vivant, qui m’a enseigné de nombreuses leçons.

Kévin Flores - Affiche

DURAND Christine et Gilles LEBLAIS

Christine Durand - Portrait
Christine Durand - Portrait

Christine DURAND et Gilles LEBLAIS

Cinéastes

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Christine Durand - Action

Agé de 27 ans, Jim Leblais, le réalisateur, est un jeune cinéaste diplômé en réalisation audiovisuelle à l’ESRA de Nice en 2021. Il a réalisé depuis plusieurs court-métrages dans le domaine culturel notamment, sous le label « Ecurieux Films ». Ce documentaire est son premier long-métrage. Il aime surtout mettre sa caméra au service d’une histoire forte capable de réenchanter les imaginaires. Il défend un cinéma entre poésie et résistance.
Passeur de et par nature, Gilles Leblais (son père) est un naturaliste et photographe de la vie sauvage depuis près de 50 ans, auteur de plusieurs livres sur la biodiversité aux éditions Terre Vivante, qui anime régulièrement des conférences et qui, surtout, a crée ces dernières années un jardin de biodiversité en Isère. C’est ce lieu « Mon Jardin Paradis », sa démarche de gardien de la Terre et sa pédagogie du merveilleux qui ont inspiré le film.
Christine Durand, journaliste de métier dans la presse écrite depuis plus de 30 ans, a souhaité conjugué le talent de Jim et l’expertise de Gilles pour participer à la création d’un nouvel imaginaire écologique porteur d’espoir, basé sur l’émerveillement et la reconnexion au vivant. Elle a mis notamment son expérience au service de la narration, qui relate son parcours initiatique aux côtés de Gilles.
Avec un rêve commun : sensibiliser à la beauté du monde qui nous entoure – car on ne protège que ce(ux) qu’on aime- et tisser du lien !

Un autre Regard - 83 minutes

Un film de Jim Leblais, Christine Durand et Gilles Leblais. Un trio familial. Trois sensibilités qui se croisent. Un voyage émotionnel.

Ce long-métrage initiatique, contemplatif et poétique rappelle que le jardin peut être le lieu idéal pour renouer avec le sauvage, s’émerveiller au fil des saisons et agir en faveur de la biodiversité de proximité. Un message d’espoir pour ré-enchanter notre quotidien.

DESFOURS Laurent

Laurent Desfours - Portrait
Laurent Desfours - Portrait

Laurent DESFOURS

Cinéaste

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Laurent Desfours - Action

Laurent DESFOURS est né le 12 avril 1960 en Seine et Marne. Très tôt, il parcourt le monde à la découverte d’autres horizons. A 22 ans, alors qu’il a déjà traversé le Burkina-Fasso pour le compte de l’AICF, traversé le Sahara en 4×4 Lada, parcouru le Niger, exploré le Laddakh (petit Tibet) au-delà du Cachemire ; il part en 1982 dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). Il passe 1 an sur l’archipel de CROZET, une petite série d’îles perdues, dans l’hémisphère Sud, entre les 40ème rugissants et les 50ème hurlants. Dans cet environnement sauvage aux vents permanents et quelquefois violents, il découvre la beauté naturelle de la faune des terres et mers Australes. Pendant ce long hivernage d’une année, avec ses 29 équipiers d’aventure, isolé de la civilisation (base scientifique Alfred Faure), il met à profit chaque moment de répit pour s’émerveiller devant les manchots royaux, les éléphants de mer, les albatros géants ou les orques qui rodent dans la baie des marins.
A l’époque, il photographie en Canon argentique et filme la vie des pétrels et albatros fuligineux avec une caméra Beaulieu 6008 Pro en film Super 8mm. Sa passion pour l’animalier naît il y a 40 ans, en 1983, sur ce petit bout de terre isolée, dédiée à la science (Île de la Possession, Archipel de Crozet).
Quatre décennies plus tard, il revient au cinéma, il crée sa chaîne YouTube « Instinct Nature » afin de raconter la richesse de la biodiversité à deux pas de son village, au bord de la rivière Azergues.
En 2021, il remporte le 1er prix du court-métrage amateur du festival de TOURNUS (Bourgogne) en observant la beauté farouche et fugace du Castor d’Europe en Rhône-Alpes et en Bourgogne.
Aujourd’hui, après 3 années d’immersion terrain, dans le Valromey, il nous présente un long métrage sur l’aventure de la vie du renard où la rencontre avec l’homme est inévitable et paradoxale. Des images avec une intimité rarement portée à l’écran, entre poésie et pédagogie au cœur du Sauvage.

L'homme et le renard - 1h28min

Après 3 années au cœur du Bugey Sud, territoire rural magnifique, véritable décor de rêve, mais territoire partagé entre faune sauvage et activités humaines, nous vous invitons à plonger au sein de l’intimité des renards et de suivre leur incroyable aventure de la vie où la rencontre avec l’homme est inévitable. Avec toutes les précautions nécessaires et le respect de l’éthique indispensable des vidéastes animaliers respectueux des écosystèmes rencontrés, nous vous proposons un voyage au royaume du renard dans une intimité rarement portée à l’écran. Nous avons choisi cette rencontre dans un vallon peu connu du Bugey mais qui se révèle être un écrin de la nature et de la biodiversité. Cette passion pour la biodiversité du Valromey et le renard, nous souhaitons vous la partager.

Laurent Desfours - Affiche