Centre ATHENAS

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Centre ATHENAS

Centre de sauvegarde de la faune sauvage

L'association

Gilles Moyne directeur du centre Athénas

Le Centre Athénas est un Centre de sauvegarde de la faune sauvage qui, depuis 1987, recueille, soigne et réhabilite des spécimens de la faune sauvage européenne, pour les relâcher dans le milieu naturel. Créé en avril 1987, et implanté sur la commune de L’Étoile (39) dans le département du Jura, le Centre a recueilli depuis 30 années, plus de 25 000 animaux sauvages blessés.
C’est le seul Centre de France spécialisé dans l’accueil des félidés. En 30 ans, il a traité 40 lynx et plus de 200 chats forestiers. À travers les soins prodigués et les relâchés effectués, (45% du total, soit 75% des animaux traités), et par la sensibilisation du public à la protection de la faune sauvage et du milieu naturel en général, le Centre participe activement à la protection de la faune et au maintien de la biodiversité.
Depuis le Jura, il a un rayon d’action interrégional, couvrant 11 départements de Bourgogne Franche-Comté et Rhône Alpes (Jura, Doubs, Haute-Saône, Territoire de Belfort, Côte d’Or, Saône et Loire, Ain et Nord de la Haute Savoie, nord du Rhône, sud de la Haute-Marne et Est de la Nièvre).

Lien internet :
http://www.athenas.fr/
Page Facebook :
https://www.facebook.com/Centre.ATHENAS.animaux.sauvages/

Le Centre Athenas vit de don et de mécénat

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Feuilleton

Pose d'un collier GPS

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ARTEN-Bugerbivore

ARTHEN BUGERBIVORE TARPAN
ARTHEN BUGERBIVORE TARPAN

ARTEN-Bugerbivore

Association

Biographie

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L’association ARTEN-Bugerbivore, pour le « Retour du Tarpan » et des grands Herbivores dans les Espaces Naturel, présidée par Marc Michelot, sera présente lors du festival les 4 5 et 6 Mai 2018.

Une sortie nature est prévue le dimanche 6 Mai à 10h00 sur le Parc de Tavassieu (Aranc) organisé par l’association ARTHEN-Bugerbivore. Le groupe est limité à 14 personnes. Il est  possible de s’inscrire en ligne : lien

Lien internet :
http://www.arthen-tarpan.fr
Page Facebook :
www.facebook.com/Arthen.tarpan

Vous pouvez aussi lire l’Histoire « naturelle » du tarpan écrit par Marc Michelot : cliquer sur ce  lien

Les Tarpans du Bugey sur le Plateau d'Hauteville

Dans le département de l’Ain, le BUGEY est la région naturelle qui constitue l’extrémité sud du massif jurassien.
Le programme intitulé Les Tarpans du Bugey est une déclinaison adaptée à cette région du Projet Tarpan.
Il vise à promouvoir ce cheval emblématique en tant que « gestionnaire écologique » de certains espaces naturels mais aussi en tant qu’ « animateur nature » du territoire.
Il s’est développé sur trois sites : le marais de Vaux, le parc de Tavassieu et le parc de la Mélogne qui accueillent entre 20 et 25 tarpans selon les années.

RETOUR AU NATUREL

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Grâce à leur grande résistance naturelle et à leur adaptation comportementale découlant de leur origine sauvage, les tarpans peuvent être maintenus dans des conditions les plus proches du « naturel » et dans un contexte climatique parfois difficile. Ils ne font l’objet d’aucune intervention vétérinaire programmée en dehors du « puçage » (obligation administrative) et ils ne sont pas parés. Pierre à sel et affouragement complémentaire en cas de nécessité (en fin d’hiver et de façon discontinue) sont les seuls apports consentis. L’absence de traitement antiparasitaire évite tout apport de substances très toxiques dans le milieu naturel, particulièrement dommageable pour la petite faune.

ANIMATION DU TERRITOIRE

 L’implantation des tarpans suscite un intérêt croissant de la part d’un public à la fois local et extérieur. Divers médias (presse écrite, reportages TV, documentaires) ont d’ailleurs contribué à « populariser » ces chevaux très particuliers. Dans ce contexte, divers supports d’information ont été créés (plaquette d’information « Les Tarpans du Bugey », posters pédagogiques, panneaux d’information sur sites) et diverses manifestations et animations sont organisées : exposition, conférence, visites guidées individuelles, animation de groupe en particulier avec l’Office du Tourisme du Plateau d’Hauteville.
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Petite vidéo des tarpans "Surprise en ce début 2018"

Nicolas VINCENT-MORARD

Nicolas Vincent Portrait

Nicolas VINCENT

Conférencier

Biographie

Issu d’un parcours scientifique, Nicolas VINCENT-MORARD s’engage rapidement à l’Observatoire de la Lèbe (01) pour faire partager sa passion et ses connaissances en Astronomie. Titulaire d’un diplôme universitaire d’Astrophysique, il aime la vulgarisation.  Passionné de zoologie et de botanique, il travaille à la rencontre des sciences, de l’histoire et des connaissances. Il développe des cycles de conférences et intervient pour de nombreux événements (après-midi de science au Théâtre de Bourg en Bresse, Musée de Lochieu, Conférences des étés de Montpellier, …).  Il quitte l’Observatoire au moment où celui-ci recentre son activité. Nicolas poursuit un temps, ses conférences avec « Des histoires pour Savoir ».  Il change ensuite d’orientation et se consacre pleinement à son autre démon : la musique.  Fervent admirateur de Jean-Claude AMEISEN auteur de l‘émission « sur les traces de Darwin » sur FRANCE INTER, Nicolas reprend l’envie de partager la complémentarité de ses connaissances, l’environnement de l’homme ne faisant qu’un.

Conférence

Plume

Les oiseaux ont toujours fasciné, créatures mystérieuses, messagères des dieux antiques…

Les expressions populaires témoignent de cette relation particulière des hommes et de la gent ailée,  depuis l’observation des « augures » jusqu’aux plus récents « noms d’oiseaux » pas toujours flatteurs…

Une conférence qui oscille entre mythologie , histoire, littérature antique, symbolique et  découvertes scientifiques récentes …

Sarah DEL BEN

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Sarah DEL BEN

Cinéaste

Biographie

Photosensible et passionnée par l’image, la photographie et la vidéo s’imposent très vite à Sarah Del Ben comme une évidence. Il y a tant d’histoires à transformer en émotions.
Diplômée d’un master en écologie, elle cultive un regard curieux sur le monde. Durant plusieurs années, la quête perpétuelle de beauté et d’émerveillement rythme ses voyages.
Elle parcoure les plus beaux endroits de la planète et immortalise les plus grands sanctuaires de la biodiversité.
En 2012, son chemin croise celui de Luc Jacquet (réalisateur oscarisé de « La marche de l’empereur ») qui l’invite à rejoindre son équipe de passionnés au service de la nature. Pendant trois ans, Sarah Del Ben accompagne en images ses deux derniers longs métrages « Il était une forêt » et « La glace et le ciel » et développe pour l’ONG Wild-Touch deux programmes pédagogiques autour des thèmes des forêts tropicales et du changement climatique.
En 2015, elle réalise un documentaire de 26 minutes « D’hommes et de glace », le making-of « sensible » du film de cinéma « La glace et le ciel ».
En 2016, elle s’engage aux côtés d’une fabuleuse aventure humaine : l’expédition ATKA, menée par François Bernard au Groenland. Un voilier au service des rêves arctiques les plus fous. Quelques mois plus tard, un documentaire de 52 minutes intitulé « Capitaine de l’utopie » relate toute cette aventure en images.
En 2017, la jeune réalisatrice suit une nouvelle expédition, scientifique cette fois-ci, « Ice Memory », une vaste opération visant à récolter des échantillons de glace des plus grands glaciers de la planète avant qu’il ne soit trop tard afin de les léguer aux générations futures. Un nouveau film documentaire est en préparation.

Lien internet :
http://www.sarahdelben.com/
Page Facebook :
https://www.facebook.com/Sarah Del Ben

Film projeté au festival nature ain 2018

 » Capitaine de l’Utopie  » (film de 52 min.)

Durant plus de trente ans, François Bernard, dit « Ben » explore les lieux les plus reculés de la Planète : Pole Nord et Pole Sud en autonomie, Everest…

Mais un beau jour, il en a assez d’arriver seul au sommet et de ne pas pouvoir partager toutes ses émotions collectées au fil des expéditions. Il investit alors toutes ses économies dans un voilier polaire. Il tient là les bases de son ambitieux projet : Atka.
Son rêve : emmener le maximum de personnes découvrir les beautés et les lumières incroyables de l’Arctique.
Pendant 17 mois, le bateau sillonne la côte ouest du Groenland embarquant tour à tour des personnalités issues de toutes horizons : basejumpers, circassiens, adolescents, femmes et enfants malades se relaient sur la banquise.
Ben quand à lui, suit l’aventure à distance. Bloqué en France, il doit à tout prix trouver des financements pour que le projet Atka aille au bout.
Commence alors une aventure humaine extraordinaire. Où comment l’altruisme et la détermination d’un seul homme change la vie d’une centaine d’autres.
Un film bouleversant d’humanité, explosif de générosité

Capitainedelutopie - Sarah Del Ben-film

Maxence LAMOUREUX

LAMOUREUX Maxence Portrait

Maxence LAMOUREUX

Cinéaste conférencier

Biographie

Maxence Lamoureux découvre le film nature en suivant la formation de l’école de cinéma animalier des Deux-Sèvres (IFFCAM).
En 2012, son premier film documentaire de 52 minutes, co-réalisé avec Arnaud Devroute, Des Grenouilles sur le toit est diffusé sur France 3 et est récompensé dans plusieurs festivals. Tout en poursuivant une activité de réalisation et d’enseignant de cinéma, il effectue un Doctorat de Sociologie à l’Université de Poitiers sur le monde du film animalier en France.
Soutenue en septembre 2015, la thèse obtient la mention « Très honorable ». Maxence continue à écrire et réaliser des films documentaires nature et société.
En 2016, il commence le tournage de D’autres terres plus douces, un road-trip de plus d’un an, puis ça sera Le Trio amoureux, produit pour Ushuaïa TV par Camera Lucida, consacré aux insectes pollinisateurs et à un programme de science participative du Muséum d’Histoire Naturelle.
En 2018, il termine Il était une fois dans l’ouest…du Poitou, un documentaire western sur les cowboys du Mais Poitevin.

Lien internet :
Page Facebook :
https://www.facebook.com/maxence.lamoureux

Film projeté au festival nature ain 2018

« D’autres Terres plus douces » (film de 60 min.)

De l’Estonie à l’Éthiopie, en passant par l’Ukraine, la Turquie et Israël, c’est un voyage initiatique à la rencontre de cultures diversifiées, d’hommes et de femmes dissemblables mais ayant en commun une certaine fascination pour le plus grand oiseau migrateur du continent européen : la grue cendrée, un symbole de liberté et de paix. Si elle se déplace librement, au gré de ses besoins, nous, humains, allons suivre le même parcours… sur terre, soit 6000 kilomètres environ. Sur notre route, une dizaine de frontières nationales avec, en toile de fonds, des réfugiés, des tensions politiques ou des conflits géopolitiques. Cette aventure au long cours révèlera qu’en s’inspirant de la nature, les hommes peuvent mettre en avant des idéaux de paix et de fraternité.  Ce documentaire propose une leçon d’humanité dans un monde offrant un visage de plus en plus chaotique.

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Conférence

« Le documentaire français de cinéma le plus vu au monde est un film animalier : La Marche de l’empereur, réalisé par Luc Jacquet en 2004. Depuis la même année, l’Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute dispense les enseignements d’un diplôme « réalisation de documentaire animalier » de l’université de Poitiers. Le film animalier fut aussi un des principaux arguments de vente de certaines chaînes privées à partir du milieu des années 1980 et en ce sens en fut un des acteurs importants de leur développement. Ainsi le film animalier est un genre intégré à la culture occidentale et reconnu à travers son sujet principal : la faune sauvage. Pour mettre en image les animaux et réaliser ces films, des travailleurs de l’image se sont spécialisés

Acteurs du monde économique de la réalisation de film au sens large du terme, depuis l’œuvre de cinéma jusqu’à l’autoproduction, les cinéastes animaliers peuvent être vus à travers ce prisme. Plusieurs problématiques de leur activité ne leurs sont pas spécifiques : l’évolution de la production audiovisuelle et documentaire, le fonctionnement des réseaux, une partie de l’apprentissage technique et enfin la conception de leur métier entre travail artistique et artisanal. Mais une culture bien vivante et spécifique englobe les activités des cinéastes animaliers, avec ses oppositions de méthodes et d’idéologies, et qui rassemble grâce à l’outil que constitue l’image de l’animal. « 

Rémi MASSON

Rémi Masson Portrait

Rémi MASSON

Cinéaste  Photographe apnéiste

Biographie

Rémi Masson est né au coeur des Alpes, à Annecy, en 1983. Depuis plus d’une quinzaine d’années il explore les eaux douces de sa région natale pour en révéler par l’image les beautés cachées. Par choix, il plonge exclusivement en apnée. Ses images sont publiées régulièrement dans des revues telles que GEO, BBC Wildlife Magazine, La Recherche, Der Spiegel, Le Figaro magazine, Science illustrated, Science et Vie, Terre sauvage, La Salamandre, Réponses Photo, Nat’Images, Image et Nature, Plongeurs International, Alpes magazine, Alpes Loisirs… Son travail a été récompensé par plus d’une quinzaine de prix dans des concours photos internationaux, notamment au prestigieux concours « GDT European Wildlife Photographer of the Year » où il obtient le 1er prix catégorie The Underwater world en 2014. Il a participé également, en tant que cadreur, à la réalisation de différents documentaires TV pour les chaines ARTE, France 5, France 3, NHK Japon, la BBC… et fait l’objet d’un film documentaire de 50 min : « Ce qui se cache sous la surface » diffusé à la télévision en 2017. Ses plongées dans des milieux souvent peu explorés sont aussi l’occasion d’en apprendre plus sur le comportement de certains poissons d’eau douce. Il est ainsi à l’origine, en collaboration avec le chercheur Frédéric Santoul de l’Université de Toulouse, de la première étude scientifique sur le phénomène des rassemblements de silures dans le fleuve Rhône, plus importante masse de poissons d’eau douce réunis jamais décrite.

Lien internet :
http://www.remimasson.com/
Page Facebook :
https://www.facebook.com/Rémi-Masson-plongeur-photographe

Film projeté au Festival Nature Ain 2018

 » Ce qui se cache sous la surface  » film de 2017 (52 min.)

Le voyage en eau douce de Rémi Masson nous rappelle qu’il n’est pas nécessaire de traverser la planète pour devenir explorateur d’univers inconnus, mystérieux, déchirants de beauté et de poésie.
À quelques kilomètres de chez lui, Rémi plonge dans des milieux sauvages qu’il est le premier à découvrir et à photographier. Laissons-nous guider par cet amoureux de la nature, dans les eaux glacées d’un lac d’altitude, au cœur de la fraie des hotus ou à la rencontre de cette famille de castors qu’il visite chaque année depuis plus de dix ans.

Rémi Masson film

Jérôme FATALOT

Jérôme FATALOT Portrait

Jérôme FATALOT

Cinéaste

Biographie

C’est au cœur de ma région natale qu’est l’Alsace que j’ai développé un attrait certain pour la nature et la faune qui y vit. Depuis mon adolescence, j’ai toujours été attiré par le monde de l’image et du cinéma, ce qui m’a donc conduit dans un premier temps à pratiquer la photographie naturaliste en amateur. Je n’ai cependant pas tout de suite privilégié ma passion dans mon cursus professionnel et me suis d’abord orienté vers la communication et l’infographie en faisant un DUT SRC (Services et Réseaux de Communication). Puis j’ai voulu me recentrer sur l’audiovisuel, en m’orientant vers une licence professionnelle formant au métier de reporter d’images (LP ATC TeCamTV), cette année au cœur des Vosges a été un véritable déclic et m’a permis de me reconnecter avec la nature. Suite à cela, j’ai eu l’opportunité d’allier nature et vidéo pour en faire mon futur métier en intégrant l’IFFCAM (Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute) en 2015 avec le Master « Réalisation de documentaire animalier nature et environnement ». Ces deux années de master m’ont donc permis de réaliser mes deux premiers documentaires animaliers. À présent, je souhaite m’épanouir et montrer à travers l’image que la faune locale à toute sa place dans notre société et que l’on se doit de la préserver.

Lien internet :
http://www.jerome-fatalot.com/
Page Facebook :
https://www.facebook.com/jerome.fatalot

Films réalisés

  • 2015 – « Entre ciel et terre » – Licence professionnelle TecamTV – 11min.
  • 2016 – « La bête noire » – 1° année de Master à l’IFFCAM – 14min.
  • 2017 – « En toute quiétude » – 2° année de Master à l’IFFCAM – 18min.
  • 2017 – « Lueurs d’été, au fil de l’Ill*Wald » – stage de 2° année au sein de la ville de Sélestat – 12min.

Film projeté lors du festival nature ain 2018

« En toute quiétude » 18 minutes / Film réalisé lors de ma deuxième année de Master à l’IFFCAM (Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute)

Au fil de son cycle, l’eau dévoile petit à petit divers milieux tels que les étangs, marais ou rivières. Ce film contemplatif propose un voyage onirique où la nature fait la part belle, tant à la lumière de l’aube qu’à la pénombre du crépuscule. C’est au travers d’une seule et même journée que les saisons s’enchaînent, tout en invitant le spectateur à observer les oiseaux d’eau et leurs milieux respectifs.

Axel FALGUIER

Axel Falguier Portrait

Axel FALGUIER

Cinéaste

Biographie

En 2008, Axel obtient un Master en écologie et gestion de la biodiversité. Il travaille ensuite un an chez Réserves Naturelles de France puis s’envole vers l’hémisphère sud pour prendre en main la gestion de la réserve naturelle des Terres australes françaises où il passera 6 ans.
Suite à cette expérience de gestionnaire de la nature, il rentre en métropole avec l’idée de travailler plus à l’appropriation et la compréhension de l’environnement par le grand public. Il considère alors qu’il faut aller sensibiliser les gens là où ils sont aujourd’hui, à savoir : devant leurs écrans !
Avec cette idée en tête et fort de son expérience d’écologue et de photographe, il se reconvertit dans la réalisation de films. Pour y parvenir, il se forme auprès de professionnels de la vidéo et réalise deux films de manière bénévole pour la FRAPNA et la LPO Isère.
En 2016, il lance sa micro-entreprise. Il y réalise des films à la fois pédagogiques, esthétiques et sincères mettant en avant les initiatives et les actions concrètes qui permettent à l’Homme de mieux prendre en compte l’environnement dans ses activités. Biodiversité, agriculture, énergies, déchets, tourisme,… les sujets ne manquent pas !
Il a ainsi collaboré avec des organismes tels que le PNR du Vercors et celui du Haut-Jura, l’association pour le développement de l’apiculture Occitanie, Terre nourricière, la Coordination montagne, l’association Gentiana, la chambre d’agriculture Occitanie ou la ferme des colibris.
En 2017, à 36 ans, il poursuit sa démarche en se lançant dans la réalisation d’un film enquête intitulé : « Loups et moutons : des solutions ? »

Lien internet :
www.axelfalguier.com
Page Facebook :
https://www.facebook.com/AxelFalguierRealisateur/

Films projetés lors du festival nature ain 2018

Restaurer la continuité écologique des rivières du haut-Jura (6 min) :

Le Parc naturel régional du Haut-Jura s’est engagé, au côté de nombreux partenaires, dans d’ambitieux programmes de restauration des rivières. D’abord essentiellement impliqué sur l’amélioration de la qualité des eaux et l’entretien des cours d’eau, il a aujourd’hui étendu son champ d’intervention et agit également sur le fonctionnement hydraulique et morphologique des rivières.
Parmi les travaux actuellement en cours, un important programme de restauration de la continuité des cours d’eau est à l’œuvre sur une quarantaine de seuils jugés prioritaires.

Vieilles forêts de l’Isère, mieux les connaitre pour mieux les préserver (14 min) :

Les vieilles forêts sont des milieux peu connus et encore inquiétants pour beaucoup d’entre nous.
Elles recèlent pourtant une biodiversité et des paysages magnifiques et ont encore beaucoup à apprendre aux naturalistes, aux forestiers et au grand public.
Dans ce documentaire, nous entrons au cœur de ces vielles forêts en compagnie de la FRAPNA et plusieurs professionnels de la forêt afin de mieux les connaitre et mieux les préserver;

L’apiculteur, un partenaire pour nos cultures (7 min ) :

Les abeilles et les pollinisateurs sauvages sont en déclin, c’est un fait. Ces insectes jouent un rôle majeur dans la pollinisation des cultures et le bon fonctionnement des structures agricoles. L’apiculteur et l’agriculteur ont donc beaucoup à s’apporter mutuellement.
Allons voir sur le terrain comment cela peut effectivement se mettre en place.

Apis et Caloptéyx :

Prenez 2 minutes pour vous arrêter le long d’une petite rivière du Vercors et observer les abeilles et les libellules virevolter.

Baptiste DETURCHE

Baptiste DETURCHE portrait

Baptiste DETURCHE

Cinéaste

Biographie

Originaire des Alpes en Haute-Savoie, Baptiste Deturche est un jeune réalisateur de documentaire animalier fraichement diplômé d’un master d’écriture et réalisation de documentaire animalier nature et environnement effectué à l’IFFCAM (Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute). Après ses études de biologie à l’Université de Savoie, Baptiste s’est orienté vers des études de cinéma animalier pour mêler ses deux passions, la nature et la vidéo. Pendant sa formation universitaire Baptiste s’est découvert une véritable envie de partager sa passion pour le monde animal. Par ses films il espère toucher le plus grand nombre de personnes. Sa vision du documentaire est de transmettre des connaissances par l’image. Pendant et après sa formation Baptiste a pu travailler avec de grand nom du cinéma animalier comme Anne et Erik Lapied, mais aussi d’autre personnes et organisme comme Daniel Rodrigues et Asters, du Conservatoire d’espaces naturel de Haute-Savoie.

Lien internet :
www.abiesproduction.com
Page Facebook :
https://www.facebook.com/abiesproduction/

Film projeté lors du festival nature ain 2018

 » Campi Aves  » Film de 30 minutes sur les oiseaux de plaines.

Les plaines agricoles françaises semblent être, au premier abord, des espaces dénués de vie et surtout de diversité. Souvent sujettes à l’agriculture intensive et à la mono- culture, on ne peut s’imaginer une seconde que la faune sauvage puisse y trouver refuge, et pourtant. La faune s’est adaptée à ce milieu, notamment les oiseaux qui, au fil des saisons, rythment l’ambiance des plaines. Leurs migrations successives ne laissent jamais cet environnement vide. Que ce soit des espèces communes, rares, menacées ou récemment installées, toute cette diversité est là, proche de nous et mérite d’être connue.

Paul-Aurélien COMBRE

Paul-Aurélien COMBRE portrait

Paul-Aurélien COMBRE

Cinéaste

Biographie

Après des études d’agronomie et de biologie, Paul-Aurelien Combre intègre l’IFFCAM, école cinéma animalier au sein de laquelle il apprend les bases des techniques de prise de vue et la réalisation documentaire.
Spécialisé dans les films sur la science, la nature et l’environnement, il a réalisé́ depuis une dizaine de documentaires aussi bien pour des chaînes nationales (France 3, Arte, France 4, France 5), thématiques (RMC Découvertes, Ushuaia TV) ou locales (TV8 Mont Blanc).

Films institutionnels :

  • Grand Lyon 100 naturel – 2014 (12×3 min.) ;
  • Hêtre et avoir – 2014 (15 + 52 min.) ;
  • Un jour à crussol – 2011 (26 min.) ;
  • Le chien protecteur de troupeaux – 2009 ( 7 min.) …

Documentaires télé :

  • Mal-Hêtre – 2017 (52 min.) ;
  • Le traîneau du destin – 2016 (52 min.) ;
  • Planète sable – 2015 (52 min.) ;
  • Entre chien et loup – 2011 (52 min.) …

Réalisations en cours :

  • Le mystère des géants disparus ;
  • La fin des asticots.
Lien internet :
www.livedocs.tv
Page Facebook :
https://www.facebook.com/paulaureliencombre/

Films projetés lors du festival nature ain 2018

« L’Avis des Mouches »

« L’avis des mouches » est un documentaire décalé et instructif sur les mouches, réalisé par Paul-Aurélien Combre pour le magazine naturaliste « La Salamandre ». Les mouches sont rarement les héroïnes des documentaires animalier. Du coup, elles en ont fait un.

 « Mal-hêtre, enquête sur la forêt française »

« Mal-hêtre, enquête sur la forêt française » Utiliser le bois de nos belles forêts françaises pour répondre à la demande de façon renouvelable. C’était l’idée, non ?

Joël BRUNET

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 Joël BRUNET

Photographe Cinéaste

Biographie

Photographe depuis 25 ans et résident de Champdor (01) , Joël BRUNET est en recherche perpétuelle de créativité et d’originalité, ses images sont une quête de la belle lumière et du cadrage parfait.
Passionné et naturaliste avant tout, il essaye de montrer la nature sous ses aspects les plus artistiques afin de sensibiliser le public à sa nécessaire préservation.
Par définition, la Photographie animalière et « nature » consiste à prendre un cliché d’un animal, d’une fleur ou d’un paysage, dans leur milieu et sans artifice ni perturbation.
Longtemps considéré comme des photographies naturalistes permettant de documenter un sujet de manière scientifique, il existe depuis une dizaine d’années un nouveau courant de la photographie animalière : la photographie nature artistique. Cette école de la photographie animalière s’attache à montrer son sujet dans son environnement, en tentant d’illustrer les liens qui les unissent, et si possible de manière originale et graphique. Ce nouveau courant a donné un second souffle à la pratique de la photographie nature, en parallèle du développement du matériel photographique numérique. De plus en plus de pratiquants passionnés s’adonnent à la photographie animalière et les évènements de type expositions, festivals et concours se multiplient en France et en Europe.

Lien internet :
http://www.joëlbrunet.com/
Page Facebook :
https://www.facebook.com/joel.brunet.5

Films

Joël Brunet a travaillé avec le Département de l’Ain en 2013 et 2014 pour la réalisation de deux films tournés intégralement dans le département : « Des Prédateurs et des Hommes » consacrés au rôle des prédateurs des mulots dans les praires du Bugey et « Grand Tétras et Gélinotte » qui présente le plan d’action du Département relatif à ces espèces.

Joël Brunet a beaucoup travaillé sur la réalisation du film sur le chat sauvage qui a pour titre  « De Griffes et de Crocs » » ce film est sortie en avant première le 15 décembre 2017 à Hauteville-Lompnès (2017 – 52 min.).

Ce film sera à nouveau à l’affiche du Festival en Mai 2018

 

Joël BRUNET Film affiche De Griffes et de Crocs 2017

Association CARDUELIS

C.MUNOZ-et-V.PRIMAULT Portrait

Association CARDUELIS

Cinéastes

Biographie

Naturalistes passionnés, Carmen Munoz Pastor et Vincent Primault (CARDUELIS) se sont rencontrés en 2010, au Mali. Ensemble, ils créent l’association Carduelis afin de mettre en valeur la faune et la flore à travers photos et documentaires animaliers. Ils réalisent alors leur premier film, Wobgo, sur les Eléphants d’Afrique de l’Ouest. Depuis, leurs voyages les ont mené du cercle polaire arctique aux forêts équatoriales guyanaises, à la recherche d’une nature authentique et sauvage. Basés en Creuse, ils ont également créé une revue naturaliste du Limousin, « La Cardère », dans laquelle ils traitent de la faune et de la flore commune à cette région. Ils réalisent leurs documentaires animaliers dans un esprit de partage, de façon totalement autonome.
FILMOGRAPHIE : WOBGO ( 40 min. – 2012 ) LA CUREE DES FAUVES ( 22 min. – 2013 ) ESQUISSES GUYANAISES ( 52 min. – 2015 ) SUR LE TERRITOIRE DU LYNX ( 30 min. – 2017 ).

Lien internet :
https://sites.google.com/site/associationcarduelis/home

Film projeté au Festival Nature Ain 2018

Sur le territoire du Lynx  pardelle – Voyage en Andalousie

Pour le Festival Nature Ain 2018, CARDUELIS propose un film sur le Lynx pardelle et la faune méditerranéenne de la Sierra Morena (Andalousie) (31 min. -2017).
Endémique à la péninsule ibérique, le Lynx pardelle est un animal mythique de la faune méditerranéenne.
Avec moins de 500 individus à l’état sauvage, il est le félin le plus menacé du monde. Sur le territoire du Lynx vous propose de le découvrir dans son milieu naturel en Andalousie, la sierra, entouré d’une faune extrêmement variée.
Trois années ont été nécessaires à la réalisation du film.